Información de la canción En esta página puedes encontrar la letra de la canción LE RECRUTEMENT DE BEN LADEN, artista - Kalash Criminel.
Fecha de emisión: 22.02.2024
Restricciones de edad: 18+
Idioma de la canción: Francés
LE RECRUTEMENT DE BEN LADEN |
J’peux pas perdre la guerre, j’ai gagné toutes les batailles\nJ’peux pas perdre la guerre, j’ai gagné toutes les batailles\nOn s’trompe pas sur le recrutement (On s’trompe pas sur le recrutement)\nComme la CIA avec Ben Laden (La CIA, la CIA, hein)\nJ’lui donne de l’amour gratuitement (De l’amour, de la force)\nAu final, tu reçois d’la haine (Au final, au final, hein)\nMon cœur s’est vite endurci (Vite, vite, vite)\nY a très peu d’choses qui me font d’la peine (Y a très peu d’choses qui me font\nd’la peine)\nVendredi, salat janaza\nY a trop d’frères qui manquent à l’appel (Y a trop d’frères partis trop tôt, oh)\nTout c’qui est risqué mérite une récompense (Yes, yes, yes)\nÀ Goma à l’Est, y a la guerre, et toi tu veux qu’on dansent\nJ’suis zaïrois et j’le fais pour les miens (Pour les nôtres)\nL’ONU a du sang sur les mains (Fuck, fuck, fuck)\nJ’me méfie d’ton sourire et d’ta sympathie (Ouais)\nQue Dieu m'éloigne des groupies et ceux qui pactisent (Ouais, ouais)\nLangage codé, la routine (Ouais, ouais), ça parle en bis dix\nJ’me rappelle, j’gagnais un tête à tête, ça revenait à dix (Hardcore)\nComme aller sur YouPorn et taper l’nom d’un mort\nQuand faut faire le bien, les être humains ont du mal à s’mettre d’accord\nAvant d’la ken, faut qu’tu paies d’abord (Wouh)\nL’argent n’achète pas l’amour mais c’est quand même un bon apport\nOn s’trompe pas sur le recrutement (On s’trompe pas sur le recrutement)\nComme la CIA avec Ben Laden (La CIA, la CIA, hein)\nJ’lui donne de l’amour gratuitement (De l’amour, de la force)\nAu final, tu reçois d’la haine (Au final, au final, hein)\nMon cœur s’est vite endurci (Vite, vite, vite)\nY a très peu d’choses qui me font d’la peine (Y a très peu d’choses qui me font\nd’la peine)\nVendredi, salat janaza\nY a trop d’frères qui manquent à l’appel (Y a trop d’frères partis trop tôt) |