Letras Première Catégorie (Featuring Calbo Et Booba) - Lino, Booba, Calbo

Première Catégorie (Featuring Calbo Et Booba)

Va falloir s’grouiller, profitez nos chargeurs sont pas rouillés
Qu'ça parte en couille, jusqu’ici on a su s’débrouiller
On va brouiller vos ondes avec nos grandes gueules, foutre un putain de bordel
Après ça va, vas-y viens nous embrouiller
Tu peux fouiller qui tu veux ici où l’arme est vocale
Du rap local, poison toujours planqué dans l’bocal
Faut mouiller l’maillot, ici c’est l’dur maillon
Cherche pas plus loin y’a pas plus bad dans l’rayon
On va négocier avec c’qui nous reste comme patte
J’vais bousiller l’industrie parce-que seul dans le coup on va s'égosiller
Y’a trop d’dies, derrière le mic les mecs sont brutals
Une guerre totale s’annonce tu fais front ou tu détales
Faut tout scier tous s’y mettre s’arrêter quand tout y est
Faut qu’on étale toute la merde et nos dossiers
Viens qu’on lâche tout avant que nos bouches ils viennent recoudre
C.A.L. quand la parole devient poudre
J’suis un chouïa d’moral, trop d’haine et beaucoup d’testostérone
On revient brouillave Marianne avec nos poèmes (avec nos poèmes)
Foudroyé par le feu qui sort d’ma bouche
Que le hip-hop ramasse la sav et sorte d’la douche
J’suis un chouïa d’moral, trop d’haine et beaucoup d’testostérone
On revient brouillave Marianne avec nos poèmes (avec nos poèmes)
Foudroyé par le feu qui sort d’ma bouche
Que le hip-hop ramasse la sav et sorte d’la douche
Sorti tout droit du béton, haut de gamme, brûle ton rap au lance-flamme
Dangereux pour femmes et enfants, clan infâme
Ton blaze sur une pierre tombale
Vaincu pour un euro ou pour un cul, truc de dombave, que du vécu
L’instinct colonial, j’en bave
Nique leur justice à sens unique, on fait du rap tah la té-ci
Au réveil on vient inciter, brave et hardcore
Essaye d’nous faire cesser d’exister, d’accord
J’réponds au mal par le mal, tu connais pas Kopp?
92i sponsorisé par Monseigneur et Facom
Violence verbale à son apogée
Que les salopes n’osent pas approcher et qu'ça reste ça comme
L’instrumental est pliée, lutter est inutile
Soit sûr qu’on va tout niquer, douter est inutile
Leur parole est poudreuse, t’en as plein les narines
B2O, 92i kho, tu reconnais ma rime
J’suis un chouïa d’moral, trop d’haine et beaucoup d’testostérone
On revient brouillave Marianne avec nos poèmes (avec nos poèmes)
Foudroyé par le feu qui sort d’ma bouche
Que le hip-hop ramasse la sav et sorte d’la douche
J’suis un chouïa d’moral, trop d’haine et beaucoup d’testostérone
On revient brouillave Marianne avec nos poèmes (avec nos poèmes)
Foudroyé par le feu qui sort d’ma bouche
Que le hip-hop ramasse la sav et sorte d’la douche
Ce môme qui braille c’est rien qu’une autre victime qui vient au monde
C’est ça pleurs petit, bienvenue dans les entrailles du monstre
Première entaille, monte le son, j’graille le mic
J’suis dans la cabine derrière l'équipe prépare déjà la tiraille
J’me rehabille, repars au turbin, froid et urbain
Pour ceux qui l’aime sec, mon rap donne naissance aux 22ème siècle
J’veux l’monde comme ce gangster cubain (Tony Montana: OK !)
Aux putain d’portes de l’enfer la rue arrache leurs ailes aux chérubins
A trop économiser sa rage, notre son se vide de son sens
J’l’entends agoniser quand le monde se vide de son sang
Y’a nos textes à l'Élysée, c’est la chanson d’la guillotine
Donne du feu, deux feuilles, du shit, un peu d’nicotine (brisée)
L’ambience part en couille, horrible t’es visé
Booba, Ärsenik, arme de première catégorie
On m’dit de choisir entre flingue et ière-pri
J’prends la prière et garde le flingue près de moi au cas où Jésus serait pris
J’suis un chouïa d’moral, trop d’haine et beaucoup d’testostérone
On revient brouillave Marianne avec nos poèmes (avec nos poèmes)
Foudroyé par le feu qui sort d’ma bouche
Que le hip-hop ramasse la sav et sorte d’la douche
J’suis un chouïa d’moral, trop d’haine et beaucoup d’testostérone
On revient brouillave Marianne avec nos poèmes (avec nos poèmes)
Foudroyé par le feu qui sort d’ma bouche
Que le hip-hop ramasse la sav et sorte d’la douche
J’suis un chouïa d’moral, trop d’haine et beaucoup d’testostérone
On revient brouillave Marianne avec nos poèmes (avec nos poèmes)