Letras de Zweistimmige Inventionen, BWV 772–786 / Two Part Inventions, BWV 772-786: Clementine - Yves Montand, Martin Galling (Cembalo, Harpsihord)

Zweistimmige Inventionen, BWV 772–786 / Two Part Inventions, BWV 772-786: Clementine (original)

Sous un léger corsage qui fait des plis
Deux petits seins bien sages
Comme c' est joli
J' allais vers la colline
Sous un grand ciel tout bleu
Et je voyais briller les yeux
De Clémentine, de Clémentine
Elle descendait sur le chemin
Disait bonjour avec sa main
J' avais seize ans comme elle
Je la trouvais si belle
Que je n' osais pas lui parler
Et sur le bord de la rivière
Je la regardais s' en aller
Ses cheveux blonds comme une crinière
Et son jupon flottant si haut
Qu' on voyait ses jarretières
Elle a trébuché sur une pierre
Elle est tombée dans l' eau
Sous un léger corsage qui fait des plis
Deux petits seins bien sages
Comme c' est joli
J' allais vers la colline
Sous un grand ciel tout bleu
Et je voyais briller les yeux
De Clémentine, de Clémentine
Quand je l' ai vue tomber dans l' eau
Moi j' ai couru dans les roseaux
J' avais seize ans comme elle
Je ta trouvais si belle
Que j' ai plongé pour la sauver
Mais j' ai coulé dans la rivière
Car je ne savais pas nager
C' est elle qui m' a ramené à terre
Toute mouillée contre mon corps
Sa poitrine était douce
Nous étions couchés sur la mousse
Elle m' a serré très fort
Un peu beaucoup et même
À la folie
La première fois qu' on aime
Comme c' est joli
Les amours enfantines
Quels secrets merveilleux
Je vois toujours briller les yeux
De Clémentine, de Clémentine

(traducción)

Bajo un corpiño ligero que se pliega
Dos tetitas bien portadas
que bonito es
yo iba a la colina
Bajo un gran cielo azul
Y vi los ojos brillar
De Clementina, de Clementina
Ella venía por el camino
Saludó con la mano
yo tenia dieciséis como ella
la encontre tan hermosa
Que no me atrevía a hablarle
Y a la orilla del río
la vi irse
Su cabello rubio como una melena
Y su enagua revoloteando tan alto
Podríamos ver sus ligas
Ella tropezó con una piedra
ella se cayó al agua
Bajo un corpiño ligero que se pliega
Dos tetitas bien portadas
que bonito es
yo iba a la colina
Bajo un gran cielo azul
Y vi los ojos brillar
De Clementina, de Clementina
Cuando la vi caer al agua
Corrí a través de las cañas
yo tenia dieciséis como ella
te encontre tan hermosa
Que me sumergí para salvarla
Pero me hundí en el río
porque no sabia nadar
Ella es la que me derribó
Todo mojado contra mi cuerpo
Su pecho era suave
Estábamos acostados en el musgo
Ella me abrazó muy fuerte
Un poco mucho e incluso
Con locura
La primera vez que amamos
que bonito es
amores infantiles
Que maravillosos secretos
Todavía veo brillar los ojos
De Clementina, de Clementina