Traducción de la letra de la canción Mystère Et Suspens - Fonky Family

Mystère Et Suspens - Fonky Family
Información de la canción En esta página puedes leer la letra de la canción Mystère Et Suspens de - Fonky Family.
Fecha de lanzamiento: 26.12.1999
Idioma de la canción: Francés

Mystère Et Suspens

(original)
C’est pour nos familles
On sais d’où on vient sans savoir où on va
Avoir les quartiers rues et la révolution
On se demande sincèrement à quand
Ils mettent la révolution
Hé Ducon si je pose autant de questions
C’est que j’ai pas les solutions
Que faire quand y a plus rien à tirer
A la clé de nos bonnes résolutions
Ça peut plus durer, combien se seront jurés
Pour finir sous une pierre tombale ou devant les jurés
Dommage qu’il n’y ait pas toujours de récompense à nos efforts
Qu'à la moindre erreur la justice nous fasse payer le prix fort
On fait c’qu’on peut avec c’qu’on a
Les moyens du bord
Où la devise reste sauf c’qui peut encore l'être femmes et gosses d’abord
J’pleure pas sur mon sort y a pire que moi
A l’heure où tu m'écoutes au dessus de ta tête t’as peut-être plus d’toit
Mon job n’est pas d’noircir c’tableau
De toute façon c’est pas d’ma faute si la misère demeure le pire des fléaus
On cherche pas à s’enrichir sur les malheurs des autres
Toutes les vérités sont bonnes à dire et même les notres
Au cours d’une vie y a tout un tas de trucs qui n’s’oublient pas
Tel le décès de ton gosse avant qu’il puisse faire ses premiers pas
Notre issue finale seul l’avenir le dira
Dieu seul sait comment ça s’finira ou négocira
Mystère et suspence
Soit on colle soit on peine
On s’meurt à fonder une famille au top
Pour laisser une femme veuve
Et toute une floppé de petit Sat derrière
La vie tient à peu de choses
Cette phrase pourrait être ma dernière
Quant j’quitte mes gars
Qui dit que j’vais les revoirs
J’suis pas à l’abris d’la bavure
Du mec qui me dit faire son devoir
Où d’une fan qui aurait pétée les plombs
Voudrait m’buter comme John Lennon, Martin Luther ou Malcom
Tout n’est qu’incertitude c’est l’embrouille dur de voir clair
Au milieu de ces turpitudes
Dédié à ceux et celles qui mènent des vies d’chiens ou d’chiennes
J’rapporte la mienne et t’as l’impression que j’raconte la tienne
C’est l’effet FF
Des gars plus vrais qu’nature
Ce côté pied sur Terre et à la fois immature
Quand j’planne comme Bob Marley
J’sais plus si c’est moi ou la roue
Qui est entrain d’parler
J’compte plus voir la vie réaliser mes vœux
Mais si j’crève j’aurais vu naître le Hors-Série Volume 1
Et si Dieu veut sur ce avant de dire aur’voir à jamais
J’ai sûrement tout un tas d’trucs à connaître
Des épreuves à surmonter
Peut importe tant que les miens sont à mes côtés
J’ferais peut-être partie de ceux sur qu’il faudra compter
J’vais là où la vie m’mène
Là où mes pieds m’traînent
J’viens d’là où les gens disent tous emmerder l’système
Peu importe la manière forte ou douce
Chacun essaie de survivre conscient qu’on y reste tous
J’vais là où la vie m’mène
Là où mes pieds m’traînent
J’viens d’là où les gens disent tous emmerder l’système
Croire en l’argent s’en trop voir le respect qu’il dégage
Puiser la force dans l’amour la haine la peine ou la rage
Il fallait que je maîtrise les mots pour m’défendre
Car ce sont des munitions
Si t’as pas les mots t’es baisé
Fallait que je brûle mes illusions
Fallait bien que j' crie aussi c’est ça le drame
On t'écoute quand tu fais du bruit qu’tu casses ou qu’tu pointes une arme
La mienne un Mic …
J’filme la vie comme Spike
Fume la nuit non stop fallait que j’décompresse
Nom d’code: DON CHO
Fallait que j’le dise haut
Fallait que j’vise
On avait allumé un feu fallait qu’j’l’attise
Fallait qu’j’ai un but fallait qu’j’fasse mon truc
Y a pas d’magie
Même si j’parle au passé c’est du futur qu’il s’agit
Il fallait pas que je sois trop feignant
Car je ne suis pas né dans la soie
Fallait qu’j’y crois et pas en me plaignant
Mon prénom c’est François
Régnant sur rien fallait bien qu’jparte
Fallait que j’revienne les mains pleines
FF fallait que j’le marque
Fallait qu’on vienne et qu’on démontre à n’importe quel endroit qu’ce soit
Fallait qu’tu viennes à notre rencontre
Peut importe quand peut-être ce soir
Fallait qu’on garde espoir c’est tout c’qu’on pouvait faire
Fallait qu’on soit’sincère pas dire tout c’qui pouvait plaire
Fallait qu’j’défende mon avis mon corps mon humour
Ma famille mes amis jusqu'à la mort mon amour
Il le fallait et tant mieux s’il le fallait bien
J’reste anxieux ne croyez pas que pour moi tout allait bien
Tapé m’en 5 mais pas dans les yeux
Si vous me recevez bien
J’vais là où la vie m’mène
Là où mes pieds m’traînent
J’viens d’là où les gens disent tous emmerder l’système
Peu importe la manière forte ou douce
Chacun essaie de survivre conscient qu’on y reste tous
J’vais là où la vie m’mène
Là où mes pieds m’traînent
J’viens d’là où les gens disent tous emmerder l’système
Croire en l’argent s’en trop voir le respect qu’il dégage
Puiser la force dans l’amour la haine la peine ou la rage
Sonne le faux ou le vrai
A ton avis bon ou mauvais
Demande à ton ami peut-être qu’il nous connaît
Entre le bien et le mal on avise
On s’dit que tout est écrit, et qu’c’est la vie quoiqu’il arrive
Le système abîme les nôtres donc la haine les anime
Et c’est normal que su leur sang quand on rimes
Certains trouvent incompréhensible
Normal, c’n’est pas eux la cible au tribunal
C’est jamais leur noms qu’on cite
Et non jamais eu besoin de voler pour vivre
Ou connaître le malhêtre à cause d’une vie sans équilibre
Ou se droguer pour se sentir libre
Ou se mettre ivre pour oublier le combat qui s’livre
Tout ce que je raconte est minime
Je ne suis ni un caïd ni un sain
Ni accro à la cocaïne
Moi j’suis simple comme mes frères et les tiens
Sans rire il sait qu’on nourrit tous le mal
Et fait la grève de la faim
Ou bien comme a dit Brahim:
J’vais là où la vie m’mène
Là où mes pieds m’traînent
J’viens d’là où on emmerde l’système
De là où les rues craignent de là où la haine impreigne
De là où les gens freignent de là où le bien et le mal reignent
Bref je vois que c’est les même histoires chez les riches et les pauvres
Deal de shit et d’gave et de jeunes qui s’gachent
Dans certain cas c’est un gang
Qu’on mét au dépard en place ou pas
C’est leur égaux qu’on nargue et là y a plus de blancs et de nègres
Plus perspicara celui qui roule en cabriolet
C’est le même dégout quand c’est ta chair qui vient te cambrioler
Et meurt d’une seringue au bras et complètement isolé
Ça m’rend fou d’les voir s’abîmer on est désolé
On a tous des ambitions différentes
Respectons nos différences
Dans nos rues peu ont les bonnes références
Conséquence: c’est la merde
Et on s’y accommode
On vit’sur les nerfs
Et y a plus rien de commode
C’est les sous qui tiennent les commandes
Pourquoi jouer le voyou
Quand t’as tout c’que tu demandes
Chez nous y a pas d’secret le pognon régit tout
Les jeux sont fait et en fin d’course
Il nous désunit tous
J’vais là où la vie m’mène
Là où mes pieds m’traînent
J’viens d’là où les gens disent tous emmerder l’système
Peu importe la manière forte ou douce
Chacun essaie de survivre conscient qu’on y reste tous
J’vais là où la vie m’mène
Là où mes pieds m’traînent
J’viens d’là où les gens disent tous emmerder l’système
Croire en l’argent s’en trop voir le respect qu’il dégage
Puiser la force dans l’amour la haine la peine ou la rage
C’est pour nos familles
On sais d’où on vient sans savoir où on va
Avoir les quartiers rues et la révolution
On se demande sincèrement à quand
Ils mettent la révolution
(traducción)
Esto es para nuestras familias.
Sabemos de dónde venimos sin saber a dónde vamos
Que tengan las calles de los barrios y la revolución
Nos preguntamos sinceramente cuándo
Ponen la revolución
Oye Ducon si te hago tantas preguntas
es que no tengo las soluciones
Qué hacer cuando no queda nada para disparar
La clave de nuestras buenas resoluciones
Puede durar más, cuántos habrán jurado
Terminar debajo de una lápida o frente al jurado
Lástima que no siempre hay una recompensa por nuestros esfuerzos.
Que al menor error la justicia nos hará pagar un alto precio
Hacemos lo que podemos con lo que tenemos
Medios a la mano
Donde el lema permanece excepto lo que todavía puede ser mujeres y niños primero
No estoy llorando por mi destino, hay peor que yo
En un momento en que me escuchas por encima de tu cabeza, es posible que tengas más techo
Mi trabajo no es ennegrecer esta imagen
De todos modos, no es mi culpa si la miseria sigue siendo el peor flagelo
No buscamos enriquecernos con las desgracias ajenas
Todas las verdades son buenas para contar y hasta la nuestra
En la vida hay muchas cosas que no puedes olvidar
Como la muerte de tu hijo antes de que pueda dar sus primeros pasos
Nuestro resultado final solo el tiempo lo dirá
solo dios sabe como terminara o negociara
misterio y suspenso
O nos pegamos o luchamos
Nos morimos por formar una familia en la cima
dejar viuda a una mujer
Y un montón de pequeños sentados detrás
la vida es pequeña
Esta frase podría ser la última
Cuando dejo a mis chicos
Quien dice que los voy a volver a ver
No soy inmune al error
Del tipo que me dice que cumpla con su deber
O un fan que hubiera flipado
Me mataría como John Lennon, Martin Luther o Malcom
Todo es incertidumbre, es la dura confusión de ver claro
En medio de estas bajezas
Dedicado a aquellos que llevan vidas de perros o perras.
yo traigo lo mio y tu sientes que te estoy contando lo tuyo
Es el efecto FF
Chicos más reales que la naturaleza.
Este lado realista e inmaduro
Cuando floto como Bob Marley
No sé si soy yo o la rueda
quién esta hablando
Ya no espero ver la vida cumplir mis deseos
Pero si muero habría visto nacer la Edición Especial Volumen 1
Y si Dios quiere en esto antes de que nos despidamos para siempre
Seguro que tengo un montón de cosas que saber
Desafíos a superar
No importa mientras mi gente este a mi lado
Podría ser uno de esos en quien confiar
Voy donde la vida me lleva
Donde mis pies me arrastran
Vengo de donde la gente dice que se joda el sistema
No importa cuán duro o suave
Todos tratan de sobrevivir sabiendo que todos nos quedamos allí.
Voy donde la vida me lleva
Donde mis pies me arrastran
Vengo de donde la gente dice que se joda el sistema
Cree en el dinero, no obtengas demasiado, mira el respeto que emana.
Extrayendo fuerza del amor, odio, dolor o rabia.
Tuve que dominar las palabras para defenderme
porque son municiones
Si no tienes las palabras estás jodido
tuve que quemar mis ilusiones
Tuve que gritar también, esa es la tragedia
Te escuchamos cuando haces ruido cuando rompes o cuando apuntas un arma
el mío un micrófono...
Filmo la vida como Spike
Fuma la noche sin parar que tuve que descomprimir
Nombre clave: DON CHO
Tuve que decirlo en voz alta
tuve que apuntar
Habíamos encendido un fuego, tuve que avivarlo
Tenía que tener una meta, tenía que hacer lo mío
no hay magia
Incluso si estoy hablando del pasado, se trata del futuro.
No tenía que ser demasiado perezoso
Porque no nací en seda
Tuve que creerlo y no por quejarme
mi primer nombre es francois
Reinando sobre nada, tuve que irme
Tuve que volver con las manos llenas
FF tenia que marcarlo
Teníamos que venir y manifestarnos en cualquier lugar.
Tenías que venir a encontrarnos
En cualquier momento tal vez esta noche
Tuvimos que mantener la esperanza, eso es todo lo que podíamos hacer
Teníamos que ser sinceros para no decir todo lo que podía agradar
Tuve que defender mi opinión, mi cuerpo, mi humor
Mi familia mis amigos hasta la muerte mi amor
Tenía que ser y mucho mejor si tenía que ser
me quedo ansiosa no creas que para mi todo estuvo bien
Golpéame en 5 pero no en los ojos
si me recibes bien
Voy donde la vida me lleva
Donde mis pies me arrastran
Vengo de donde la gente dice que se joda el sistema
No importa cuán duro o suave
Todos tratan de sobrevivir sabiendo que todos nos quedamos allí.
Voy donde la vida me lleva
Donde mis pies me arrastran
Vengo de donde la gente dice que se joda el sistema
Cree en el dinero, no obtengas demasiado, mira el respeto que emana.
Extrayendo fuerza del amor, odio, dolor o rabia.
Toca lo falso o lo real
en tu opinion bueno o malo
Pregúntale a tu amigo tal vez nos conoce
Entre el bien y el mal te aconsejamos
Nos decimos que todo está escrito, y que es vida pase lo que pase
El sistema daña el nuestro, así que el odio los impulsa.
Y es normal que sepan su sangre cuando rimamos
Algunos lo encuentran incomprensible
Normal, no son el objetivo en la corte
Nunca son sus nombres los que citamos
Y nunca tuve que robar para vivir
O experimentar la infelicidad de una vida sin equilibrio
O hacer drogas para sentirse libre
O emborracharse para olvidar la pelea que está pasando
Todo lo que digo es mínimo.
No soy ni un capo ni un cuerdo
ni adicto a la cocaina
Yo soy simple como mis hermanos y los tuyos
Sin reírse sabe que todos alimentamos el mal
Y hacer una huelga de hambre
O como dijo Brahim:
Voy donde la vida me lleva
Donde mis pies me arrastran
Vengo de donde jodemos el sistema
Desde donde las calles temen, desde donde el odio invade
Desde donde la gente se frena desde donde gobiernan el bien y el mal
De todas formas veo que son las mismas historias entre ricos y pobres
Trato de hachís y dio y jóvenes que la cagan
En algunos casos es una pandilla.
Ya sea que lo pongamos en su lugar o no
Son sus iguales de los que nos burlamos y hay más blancos y negros.
Más perspicara el que conduce en un descapotable
Es el mismo asco cuando es tu carne la que viene a robarte
Y muere por una jeringa en el brazo y completamente aislado
Me vuelve loco verlos estropearse, lo sentimos
Todos tenemos diferentes ambiciones.
Respeta nuestras diferencias
En nuestras calles pocos tienen las referencias correctas
Consecuencia: es una mierda
Y nos ocupamos de eso
Vivimos de los nervios
Y no hay nada más conveniente
Son los centavos los que tienen las órdenes.
¿Por qué jugar al pícaro?
Cuando tienes todo lo que pides
Con nosotros no hay secreto el dinero lo gobierna todo
Los juegos están hechos y al final de la carrera.
Nos destroza a todos
Voy donde la vida me lleva
Donde mis pies me arrastran
Vengo de donde la gente dice que se joda el sistema
No importa cuán duro o suave
Todos tratan de sobrevivir sabiendo que todos nos quedamos allí.
Voy donde la vida me lleva
Donde mis pies me arrastran
Vengo de donde la gente dice que se joda el sistema
Cree en el dinero, no obtengas demasiado, mira el respeto que emana.
Extrayendo fuerza del amor, odio, dolor o rabia.
Esto es para nuestras familias.
Sabemos de dónde venimos sin saber a dónde vamos
Que tengan las calles de los barrios y la revolución
Nos preguntamos sinceramente cuándo
Ponen la revolución
Oye
Calificación de traducción: 5/5 | Votos: 1

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