Traducción de la letra de la canción Tes Détresses - Auden

Tes Détresses (original)

Je vole à ton secours
Tes détresses en tambour
N’ont jamais fait surface
Dans tes yeux de velours
Quand devant moi la grâce
Si légère tu dansais
Tu cadençais tes valses
D’un adieu, jamais
Et l’ombre qui t’entour est un mystère
Que je ne saurais découvrir
De ton profond coma, de ton enfer
Toi seul a le don d’en sortir
Et l’ombre qui t’entour est un mystère
Que je ne saurais découvrir
De ton profond coma, de ton enfer
Toi seul a le don
Maudis soient, les vautours qui tournent autour de toi
Qui s’empressent t’apporte
Te chante la mort
Comme je chante pour toi
Si je n’ai pas su lire le fond de tes pensées
Je saurais dévêtir le sang de ton secret
Et l’ombre qui t’entour est un mystère
Que je ne saurais découvrir
De ton profond coma, de ton enfer
Toi seul a le don d’en sortir
Et l’ombre qui t’entour est un mystère
Que je ne saurais découvrir
De ton profond coma, de ton enfer
Toi seul a le don
Alors moi je m'élance
Comme un fou dans la reine
Je serais la nuisance
Dans le cœur des tempêtes
Alors moi je m'élance

(traducción)

vuelo en tu ayuda
Tus angustias en tambores
nunca salió a la superficie
En tus ojos de terciopelo
cuando ante mi gracia
Tan ligero que estabas bailando
cronometraste tus valses
De una despedida, nunca
Y la sombra que te rodea es un misterio
que no puedo descubrir
De tu coma profundo, de tu infierno
Solo tu tienes el don para salir adelante
Y la sombra que te rodea es un misterio
que no puedo descubrir
De tu coma profundo, de tu infierno
solo tu tienes el don
Maldice a los buitres que dan vueltas a tu alrededor
que se apresura a traerte
te canta de la muerte
mientras canto para ti
Si no pudiera leer tu mente
Puedo despojar la sangre de tu secreto
Y la sombra que te rodea es un misterio
que no puedo descubrir
De tu coma profundo, de tu infierno
Solo tu tienes el don para salir adelante
Y la sombra que te rodea es un misterio
que no puedo descubrir
De tu coma profundo, de tu infierno
solo tu tienes el don
así que me apresuro
Como un loco en la reina
yo seria la molestia
En el corazón de las tormentas
así que me apresuro