Información de la canción En esta página puedes encontrar la letra de la canción L'Autoroute De la Vie, artista - L'Algérino. canción del álbum Mentalite Pirate, en el genero Рэп и хип-хоп
Fecha de emisión: 30.11.2008
Restricciones de edad: 18+
Etiqueta de registro: Warner Music France
Idioma de la canción: Francés
L'Autoroute De la Vie(original) |
Je monte dans la voiture, j’passe la première et j’avance |
J’prends l’autoroute de la vie à pleine vitesse et je pense |
J’sais pas où ça me mènera une chose est sûre: j’prends le volant |
Attendant l’heure où mon âme s’envolera |
J’aperçois un auto-stoppeur, c’est une femme |
J’m’arrête sur la bande d’arrêt d’urgence et j’me cale |
«Que fais-tu là toute seule? |
Qui tu es? |
Où tu vas ?» |
J’sais pas pourquoi j’m’arrête j’ressens un truc au fond de moi |
Elle me répond: «moi j’suis ta femme celle qui te chérira toute ta vie |
Ensemble on va construire un empire |
J’te dois le respect comme toi tu me le dois |
On va fonder un foyer fait moi confiance tu verras !» |
Vas-y grimpe, et je continue mon chemin |
J’sais pas y’a quelque chose qui a changé, j’me sens bien |
Prêt a croquer la vie à pleines dents |
Derrière chaque grand homme s’cache une femme |
Peut-être est-ce la mère de mes enfants |
J’roule et j’aperçois deux gosses au loin |
Leurs visages me rappellent quelqu’un |
Je ralentis, j’m’arrête, peut-être qu’ils ont besoin d’aide: «qui vous-êtes? |
««Nous on est tes enfants, ta descendance |
Tes dignes héritiers, ta fierté on est ton sang |
Prends-nous dans tes bras, serre-nous contre toi |
On dit que la vie est dure on veut faire d’la route avec toi !» |
«Allez-y grimper mes p’tits, et mettez votre ceinture |
Le chemin est parsemé d’embuches c’est vrai que la vie est dure |
Votre grand-père m’a appris le sens de la droiture |
Votre mère vous couvera son amour sera une toiture» |
Plus j’avance plus j’ai l’impression de prendre de l'âge |
J’m’arrête a chaque péage, des rides sur mon visage |
J’ai une femme et deux gosses dans la 'ture |
Des panneaux apparaissent et m’font signe de ralentir |
J’lève le pied de l’accélérateur |
J’le fait surtout quand je vois le reflet de mes gosses sur le rétroviseur |
intérieur |
Faut que j’les assume, que je subvienne a leur besoin |
Bon Dieu j’ai besoin d’aide, faites qu’il ne manquent de rien |
La main sur le volant, ma femme est souriante |
J’allume une clope et un signal clignote sur le tableau de bord |
J’ai presque plus d’essence, il me reste peu d’argent |
Il faut du carburant, il y a une station à quelque bornes |
J’prend la voie de ralentissement, j’décélère j’freine doucement |
Vu que la chaussée est glissante |
J’arrive à la station j’mets le plein de carburant |
J’m’apprête à monter dans mon break et repartir quand |
Un gars pose sa main sur mon épaule, il m’dit: «attend» |
Veut que j’lui accorde un instant |
Il était sapé classe, costard cravate, mocassins noirs |
Attaché-case, le regard traversant ses lunettes noires, il me dit |
«Moi j’suis l’Euro le Dollar |
En somme j’suis toute les richesses que ce bas-monde comporte |
Tout c’que je touche devient de l’or tu n’auras plus de soucis d’argent |
Tu rayonneras au zénith comme un diamant |
Regarde toi, t’en a pas marre de cette vie? |
Sors ta famille de la misère j’te propose d'être riche |
Regarde-moi ça: tes enfants font de la peine à voir |
Crois moi j’te propose la richesse et la gloire |
J’sais pas c’type j’le sens pas trop… |
Il dit qu’il peut changer ma vie |
Mais en même temps j’ai plus d’fric |
J’hésite un peu mais j’ai pas d’autre choix, «vas-y grimpe» |
Bizarrement mon break se transforme en berline |
Et ma Swatch se transforme en Breitling |
Mon alliance en argent s’transforme en or |
Ce type avait raison, l’argent contribue au bonheur |
L’humeur est joviale, tout le monde est souriant |
Mais bizarrement, je stresse et j’m'énerve bêtement |
J’m’embrouille avec ma femme, ce type à l’air ravi |
À cet instant précis j’ai compris qu’il me manquait un truc dans ma vie |
La route s’assombrit, mon regard se noircit |
Un nuage noir au-dessus d’ma tête, j’enchaîne les cigarettes |
En fait j’suis à coté du Diable et je le sais même pas |
Je vois son regard bizarre, quand une lumière apparait là-bas |
J’me dirige vers cette lueur, il m’dit «change de chemin» |
Mais j’m’accroche au volant fermement avec mes deux mains |
Un vieux vêtu de blanc se tient sous cette lueur |
J’m’arrête curieux d’savoir qui dégage tant de lumière |
Et la je sors de la voiture, j’me rapproche du vieil homme |
Et d’un ton calme et rassurant il m’dit: |
«J'suis les principes et les valeurs |
Sache que le matériel ne contribue jamais au bonheur |
Ce type qui se tient à coté de toi est faux et malsain |
Il causera ta perte, il t'égarera en chemin |
Moi je conseille le Bien et je déconseille le Mal |
Je sens que ton cœur est tâché, que ton âme va mal |
On m’appelle aussi la Foi celle qui calme tes frayeurs |
Je n’ai pas d’argent à t’offrir, juste la tranquillité du cœur» |
«C'est bien beau ce que tu racontes mais j’ai tout ce dont j’ai besoin |
Une femme, des gosses et de l’argent, en gros je manque de rien |
T’as l’air d'être quelqu’un de bon, mais y’a plus de place dans la tire |
J’reviendrai peut-être te chercher mais là je dois partir» |
J’remonte dans la caisse avec un semblant de regret |
J’accélère, j’suis de plus en plus stressé |
J’accélère, et un colosse me barre la route |
J’l'évite de justesse, mais j’perds le contrôle de ma caisse |
Merde j’frappe contre la rambarde de sécurité |
Ma tête brise le pare-brise, j’ai le visage ensanglanté |
J’entend les sanglots de ma femme et de mes mômes |
Assommé j’sors de la voiture, mais qui est cette homme? |
«Moi je suis l’ange de la mort, je suis venu récupérer ton âme |
Si tu as le vieil homme avec toi, je t’ouvre les portes du Paradis, sinon, |
c’est l’Enfer |
Tu t’es accroché aux choses éphémères et matérielles de ce bas-monde |
Mais on n’emporte rien avec soi, on emporte que ses œuvres et sa Foi» |
(traducción) |
Me subo al carro, paso el primero y sigo adelante |
Tomo la autopista de la vida a toda velocidad y pienso |
No sé a dónde me llevará, una cosa es cierta: voy a tomar el volante |
Esperando la hora en que mi alma se vaya volando |
Veo un autoestopista, es una mujer |
Me detengo en el arcén y me detengo |
“¿Qué haces aquí solo? |
¿Quien eres? |
A dónde vas ?" |
No sé por qué me detengo, siento algo muy dentro de mí. |
Ella me responde: "Yo soy tu esposa, la que te va a querer toda la vida". |
Juntos construiremos un imperio |
Te debo respeto como tú me debes |
Vamos a hacer un hogar, confía en mí, ¡ya verás!". |
Sube y yo seguiré mi camino |
No sé algo ha cambiado, me siento bien. |
Listo para morder la vida |
Detrás de todo gran hombre se esconde una mujer |
Tal vez sea la madre de mis hijos. |
Conduzco y veo a dos niños en la distancia |
Sus caras me recuerdan a alguien. |
Disminuyo la velocidad, me detengo, tal vez necesitan ayuda, "¿quién eres? |
"Somos tus hijos, tu descendencia |
Tus dignos herederos, tu orgullo somos tu sangre |
Tómanos en tus brazos, mantennos cerca |
Dicen que la vida es dura, ¡queremos viajar contigo!”. |
"Sigan y súbanse mis pequeños, y abróchense el cinturón |
El camino está sembrado de trampas, es cierto que la vida es dura |
Tu abuelo me enseñó el significado de la justicia |
Tu madre te cubrirá, su amor será un techo” |
Cuanto más lejos voy, más viejo me siento |
Me detengo en cada peaje, arrugas en mi cara |
Tengo una esposa y dos hijos en 'tura |
Aparecen señales y me indican que disminuya la velocidad |
quito el pie del acelerador |
Lo hago especialmente cuando veo el reflejo de mis hijos en el espejo. |
interior |
Tengo que asumirlos, proveer para ellos |
Maldita sea, necesito ayuda, asegúrate de que no se pierdan nada. |
Mano en el volante, mi esposa está sonriendo |
Enciendo un cigarrillo y una señal parpadea en el tablero |
ya casi me quedo sin gasolina me queda poco dinero |
Necesitamos combustible, hay una estación en alguna terminal |
Tomo el carril de desaceleración, desacelero, freno suavemente |
Como el camino está resbaladizo |
llego a la estación pongo el combustible lleno |
Estoy a punto de subirme a mi camioneta e irme cuando |
Un chico puso su mano en mi hombro, dijo, "espera" |
Quiere que le de un momento |
Era elegante, traje y corbata, mocasines negros |
Maletín, mirando a través de sus lentes oscuros, me dice |
"Yo soy el euro el dolar |
En fin, soy todas las riquezas que tiene este mundo |
Todo lo que toco se convierte en oro, no tendrás que preocuparte por el dinero. |
Brillarás en el cenit como un diamante |
Mírate, ¿no estás cansado de esta vida? |
Saca a tu familia de la miseria te sugiero que seas rico |
Mira esto: a tus hijos les duele ver |
Créeme te ofrezco riqueza y fama |
No conozco a este tipo, realmente no lo siento... |
Dice que puede cambiar mi vida. |
Pero al mismo tiempo tengo más dinero. |
Dudo un poco pero no tengo otra opción, "sigue subiendo" |
Extrañamente, mi camioneta se convierte en un sedán |
Y mi Swatch se convierte en un Breitling |
Mi anillo de bodas de plata se convierte en oro |
Este tipo tenía razón, el dinero te hace feliz |
El estado de ánimo es jovial, todos están sonriendo. |
Pero extrañamente, me estreso y me enojo estúpidamente. |
Me meto con mi mujer, este tipo se ve feliz |
En ese preciso momento comprendí que me faltaba algo en mi vida |
El camino se oscurece, mi mirada se oscurece |
Una nube negra sobre mi cabeza, encadeno los cigarrillos |
De hecho, estoy al lado del diablo y ni siquiera lo sé. |
Veo su mirada rara, cuando aparece una luz allí. |
Camino hacia esta luz, me dice "cambia el camino" |
Pero me agarro al volante con fuerza con ambas manos. |
Un anciano vestido de blanco se para en ese resplandor. |
Dejo de tener curiosidad por saber quién irradia tanta luz |
Y luego me bajo del carro, me acerco al viejo |
Y en un tono tranquilo y tranquilizador me dijo: |
"Yo soy los principios y los valores |
Sepa que lo material nunca contribuye a la felicidad. |
Ese chico parado a tu lado es falso y enfermo. |
Él causará tu caída, te llevará por mal camino |
Aconsejo el Bien y aconsejo contra el Mal |
Siento que tu corazón está manchado, tu alma está lastimada |
También me llaman Fe la que calma tus miedos |
No tengo dinero para ofrecerte, solo tranquilidad" |
"Está todo muy bien lo que dices, pero tengo todo lo que necesito |
Una esposa, hijos y dinero, básicamente no me falta nada. |
Pareces una buena persona, pero no hay más espacio en el armario. |
Podría volver por ti, pero ahora tengo que irme" |
Vuelvo a la caja con una apariencia de arrepentimiento |
Acelero, cada vez estoy más estresado |
Acelero y un coloso me bloquea el camino |
Lo evito por poco, pero pierdo el control de mi auto |
Mierda, estoy golpeando la barandilla |
Mi cabeza rompe el parabrisas, mi cara está ensangrentada |
Escucho los sollozos de mi esposa y mis hijos |
Atónito salgo del auto, pero ¿quién es este hombre? |
"Soy el ángel de la muerte, vine a tomar tu alma |
Si tienes al anciano contigo, te abro las puertas del cielo, si no, |
es un infierno |
Te aferraste a las cosas efímeras y materiales de este mundo |
Pero no te llevas nada contigo, solo te llevas tus obras y tu Fe" |