| Partie des gros poissons … bien sûr … puissant
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| Vécu d’poissard
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| Peine de bâtard, procès
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| On connaît, hein
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| J’ai un putain d’sourire aux lèvres quand j’guette les pronostics
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| Des bleus, des verts, du violet, j’viens récupérer mes tickets
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| J’prenais l’bus avec Pépito, on parlait d’se refaire
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| La Rolex me va à ravir, j’ai pas l’temps, j’ai des trucs à faire
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| Et j’bois mon dernier verre, j’discute avec la te-tê du four
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| Et j’pense aux frères qu’on défère, on a pas changé nos discours
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| Évitons toutes les discordes, il va pleuvoir des cordes
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| Le AK-47 fait des putains de trous dans l’corps
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| Quand t’allumes tes caille-ras, mon pote faut pas s'égarer là
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| J’discute avec le gourou de ton gourou
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| J'étais dans l’carré VIP, Jack miel dans la tête
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| Et dans ma khapta, j’ai cru que j’frottais la plus belle
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| Par le toit, je me suis échappé narco-narco comme El Chapo
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| Péca, dis-leur que ches-po sont grosses comme nos cojones
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| Un million de té-cô, j’investis que pour faire le deuxième
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| Un million de té-cô, j’investis que pour faire le deuxième
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| Colombienne comme notre zipette et nos putains
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| J’les encule, j’roule un joint, j’m’endors avec le butin
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| Des milliards, j’voulais pas la notoriété mais là j’suis connu comme Notorious
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| Big, j’peux plus m’arrêter
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| Tu vois tout le mal qu’on fait, c’est pour s’refaire
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| Et quand l'étau se resserre, on balance pas les frères
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| Le bicraveur a plus rien dans le keus, il a dans la R la recharge de foudre
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| Beaucoup de rrain-té, très peu de joueurs de foot, beaucoup de fauteurs de
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| trouble
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| Et j’m’en remets à Dieu quand la douleur me couvre
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| Et ma couleur de peau ne m’aide pas beaucoup
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| J’fais partie des gros poissons et bien sûr que l'œil des autres est puissant
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| Un vécu d’poissard on connaît
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| Une peine de bâtard au procès, pleine lune ou croissant
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| Les loups garous sont de sortie, avenir incertain, hein, public averti
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| On disait qu’on allait sourire quand on aurait l’seille-o
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| Maintenant qu’on a l’seille-o, on sourit de moins en moins
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| C’est moi qui ramène la farine, ils veulent manger mon pain mais c’est pas
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| comme ça l’ancien
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| On disait qu’on allait sourire quand on aurait l’seille-o
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| Maintenant qu’on a l’seille-o, on sourit de moins en moins
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| C’est moi qui ramène la farine, ils veulent manger mon pain mais c’est pas
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| comme ça l’ancien |