Información de la canción En esta página puedes encontrar la letra de la canción Otto, artista - SCH. canción del álbum JVLIVS, en el genero Рэп и хип-хоп
Fecha de emisión: 18.10.2018
Restricciones de edad: 18+
Etiqueta de registro: Warner Music France
Idioma de la canción: Francés
Otto |
J’connais des tueurs qu’tu trouves adorables |
Un ennemi mort, c’est la tranquillité |
Un gosse, une crosse qui dépasse de l’anorak |
Apprends qu’le respect passe par l’humilité |
Des tueurs qu’tu trouves adorables, oh |
Le respect |
Fils de pute, on tire, on va pas rater, j’avais pas un radis |
Sur un banc, j’ai grandi, là j’vis Rue Paradis |
J’passe le Prado piano dans mon quatre anneaux |
Encore un son déclassé, j’en ai pour les putos |
Y a des bitchs, on va cramer, j’suis qu’de passage |
J’viens du trou du cul d’en bas moi, nous, on a ramé |
Mon bras, mon Cobra, on compose un syndic' |
Mon gang son aura, ouais les manos salies |
Yeux tout black, j’reprends ton rrain-té comme l’Antéchrist |
Là, c’est plus comme avant, j’sors en pare-balles |
Fuck un assistant |
Un reuf a pris quinze années aux assises |
T’as l’choix, jugé par douze ou porté par six |
Client dans un trip, j’l’encaisse avant l’OD |
On n’a plus d'âme et tu sais déjà qu’on est maudits |
J’ai perdu des potos, j’ai même plus les photos |
Mon daron s’appelait Otto, il aimait pas les putos |
Mon pote on gravit, on s’arrose |
Ici, tout pour la famille, Cosa Nostra |
Cœur en glace, rappelle-toi l’incendie |
Les gens qu’j’aime, table à mille eu, j’sais qu’ils m’envient eux |
Le sun s’est levé, je n’dormais pas |
Ces pierres précieuses en témoignent |
Le ciel s'éclaire avec ou sans toi |
J’la quitterai si mère veut qu’j’m’en sépare |
Même si on arrête là, ça n’arrête pas |
On kiffe et on n’arrête pas |
Une seule vie donc le temps presse |
Le temps presse et le ciel nous fait des dessins |
J’tourne en ville phares éteints, les films ont déteint |
Nous, on prend la haine, on t'éteint |
Le sun s’est levé, je n’dormais pas, hier est un acquis |
Personne ne m’a promis demain |
Et t’faire mourir, j’ai 10 000 façons, là, c’est la moisson |
On va t’ligoter comme un saucisson |
J’oublierai pas mes racines sous prométhazine |
Éteins tes putains d’phares au hazi, là, t’es pas à Aldi |
Ma mère vise aussi bien au .38 qu’elle écrit au Bic |
Mes kheys, ils ont des r’gards innocents, ils ouvrent des coffres au plastic |
J’ai digéré les plus jolies putes, ça m’fout plus la trique |
Avant d’voir d’Saint-Nicolas, j’me ferais bien un flic |
Perso, nous on est armés, jeunes et hargneux |
J’vole au-d'ssus d’un nid d’oiseaux, j’sais pas lequel épargner |
Hier R, aujourd’hui entreprise, tiens mon KBIS |
On sort ni vendredi ni samedi, j’suis mieux d’vant l’alim' |
Tu m’verras plus qu’en stard-co et en poster |
J’suis pas dans leurs délires de All-Star, j’suis moi et ma paire |
Température Häagen-Dazs, gris comme à Stuttgart |
Mon shlass dans son fourreau comme Zelda, génération Shootstar |
Fils de pute, on a grandi |
Donc ton trou d’balle s’agrandit |
J’ai perdu des potos, j’ai même plus les photos |
Mon daron s’appelait Otto, il aimait pas les putos |
Le sun s’est levé, je n’dormais pas |
Ces pierres précieuses en témoignent |
Le ciel s'éclaire avec ou sans toi |
J’la quitterai si mère veut qu’j’m’en sépare |
Même si on arrête là, ça n’arrête pas |
On kiffe et on n’arrête pas |
Une seule vie donc le temps presse |
Le temps presse et le ciel nous fait des dessins |
J’tourne en ville phares éteints, les films ont déteint |
Nous, on prend la haine, on t'éteint |
Le sun s’est levé, je n’dormais pas, hier est un acquis |
Personne ne m’a promis demain |
Ça n’arrête pas |
On kiffe et on n’arrête pas |
Le temps presse, le temps presse et le ciel nous fait des dessins |
J’tourne en ville phares éteints, les films ont déteint |
Nous, on prend la haine, on t'éteint |
Le sun s’est levé, je n’dormais pas, hier est un acquis |
Personne ne m’a promis demain |
J’connais des tueurs qu’tu trouves adorables |
Un ennemi mort, c’est la tranquillité |
Un gosse, une crosse qui dépasse de l’anorak |
Apprends qu’le respect passe par l’humilité |
Des tueurs qu’tu trouves adorables, oh |
Le respect |
Katrina Squad |