| Je t’ai fixé droit dans les yeux, ce soir là. |
| Avoir su…
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| Que ça nous mènerait là.
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| Tu m’as souri et je t’ai suivi, même si à première vue… Tu m’plaisais pas tant
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| qu'ça.
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| C’est peut-être les filles que, de fil en aiguille, je t’avais vu réussir à
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| séduire… Mais demande-moi pas ce qui m’a poussée vers toi!
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| Je n’veux plus partir. |
| Toi, reste avec moi. |
| C’est un martyre de te savoir loin
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| de moi. |
| Je me sens vivre, qu’une fois dans tes bras.
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| Tu m’as fixé droit dans les yeux, au réveil et soudain je t’ai trouvé plus beau
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| que la veille. |
| Dans tes bras, mine de rien, j’me suis dit que j'étais bien.
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| L’envie de m'éclipser a passé.
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| Moi qui HAIS, moi qui DÉTESTE la nudité gênée et les élans de fausse tendresse.
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| Quand tu m’as dit «reste», étrangement j’suis restée.
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| Et làJe n’veux plus partir. |
| Toi, reste avec moi. |
| C’est un martyre de te savoir
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| loin de moi. |
| Je me sens vivre, qu’une fois dans tes bras.
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| Ta main sur mes dentelles, ma bouche sur ton visage, un gout de ciel.
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| Mon corps dans les nuages, plus rien n’m’atteint jusqu’au matin.
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| Dans une pluie de rien, deux gouttes de chance qui dansent, se balancent.
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| Bien plus qu’une bagatelle.
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| On s’est fixé rendez-vous pour un café, échapper au vacarme des décibels.
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| Maintenant que t’as frôlé mes dentelles, si on s’en tenait aux petits riens et
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| qu'à quatre mains on domptait l’désir jusqu'à l’impatience… Qu’on rhabillait
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| nos désirs, qu’on découvrait nos romances… Dis-moi à quoi tu penses.
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| J’veux rien m’inventer.
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| Je n’veux plus partir. |
| Toi, reste avec moi. |
| C’est un martyre de te savoir loin
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| de moi. |
| Je me sens vivre, qu’une fois dans tes bras.
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| (Merci à Mélystar450 pour cettes paroles) |