Letras de Devenir le soleil - Helioss, Frederic Gervais, Nicolas Müller

Devenir le soleil - Helioss, Frederic Gervais, Nicolas Müller
Información de la canción En esta página puedes encontrar la letra de la canción Devenir le soleil, artista - Helioss. canción del álbum Devenir le soleil, en el genero Классика метала
Fecha de emisión: 22.04.2020
Etiqueta de registro: Helioss
Idioma de la canción: Francés

Devenir le soleil

(original)
Hommes face au ciel, visages fermés
Poings clos, lèvres serrées
Les pieds dans la poussière
Né d’une seule et mille voix un cri s'élève:
«Le noir a fondu sur nous»
(Le matin n’est pas venu)
Maudissant le zénith constellé d’astres sombres
Un prêtre claque des dents, frissonnant d’un passé
Où les étoiles riaient, se laissaient contempler
Il se penche et écoute le ver qui dans la tombe
Connaît les temps anciens et se les remémore:
«Le soleil est entré au royaume de la mort»
(Der Wurm hat Recht)
Au ventre sec de Nout tissé d’yeux immobiles
(ils scrutent la face de Geb abandonnée des dieux)
Manque le père de toutes choses, le grand joyau serti
Que la belle déesse porte fièrement en son nombril
Orphelin du Soleil qui n’occupe plus les cieux
L’azur est condamné aux déserts infinis
(Les étoiles rient, elles savent
Que Râ ne reviendra pas)
Wait for the man to come
He knows why they whisper
If he can’t bring the sun back
Then who can?
Il suffirait d’attendre que l’horizon stérile
Libère l’astre du jour, jurent les morts à venir
L’homme se tait et attend que des coeurs qui s’arrachent
Grandisse l’acceptation du choisi entre mille
Son chemin est tracé, il sait qu’il mène au pire
Il connaît le Soleil, il sait où il se cache
C’est là, dans la montagne, que le flambeau se terre
C’est là, dans la montagne, que l’homme devra descendre
(Die Tür ist geöffnet)
--Deuxième Chant: Lumière Brûlante--
«Tout ce temps la lumière était là, juste sous nos pieds;
elle servait de
linceul aux corps de nos aînés.
Nous imaginions
Le Royaume des Morts obscur et silencieux.
Nous avions tort: car c’est dans le
ventre d’un volcan que se consumaient
Nos espoirs de repos.»
(Blinde Wut)
«Dans le premier Cercle brûle une rage sans limite;
elle corrompt la chair et
tord les esprits.
Ici tout est clair, à
Seulement quelques lettres de l’aveuglant — mais c’est une lumière sale,
une lumière furieuse qui n’aurait d’existence
Que dans l’exubérance
Blake évoquait les Tigres de la Colère, ignorant de quel feu brûlaient leurs
yeux
Mais Blake n’a jamais atteint le premier Cercle»
(Heilige Wut)
Underneath the skin there’s no flesh and bones, just light and anger
This is where war belongs, this is where madness runs
Infinite webs of life, born, dead and born again
No end to wait, no end to crave
No end to beg, begging is for shadows
«L'homme est descendu dans le cercle pour y chercher les derniers rayons du
soleil;
il n’avait pas imaginé le
Maelstrom, la sueur, les hurlements et la colère.
Tout ce qui était sous terre
criait, et de leurs cris naissait une lumière
Aveuglante.
Les guerriers d'époques anciennes y perpétuaient des massacres
commis des siècles en arrière — ils avaient
Oublié qu’ils étaient morts un jour -, et plus le sang coulait, plus la lumière
grandissait
L’homme crut alors avoir trouvé
Ce qu’il était venu chercher»
(Liebte Wut)
I’ve found what I’ve been looking for
In the rage of men lies clarity
Make me one of thee
Let me hold the fire that’s burning inside you
Even if I know anger is a light no one can bring back
«Quand l’homme fut plein de la lumière du premier Cercle, qu’il s’en fut gorgé
et eut succombé à ses délices, il comprit
Qu’il avait adoré un mirage: la lumière qu’il cherchait n'était pas celle de
la colère des anciens morts, ni celle de la rage
Des futurs vivants, mais quelque chose qui gisait plus loin, et plus
profondément.
La rage consumerait ses os, ses
Tendons et ses muscles — elle le transformerait en une cendre crayeuse.
Il fallait donc descendre, descendre encore
Hélas»
--Troisième Chant: Lumière Morte--
Sur la route du soleil gisent des miroirs fendus
Ils renvoient les échos d’une lumière disparue
L’homme écoute le ver qui chuchote tout bas
Qu’on ne doit à aucun prix revenir sur ses pas
La voie s'étire au loin en pente douce et sombre
La clameur diminue, les anciennes colères tombent
De la lumière du haut ne demeure qu’un halo
Un cercle brûlant de rage, qui disparaît bientôt
Le deuxième souterrain est celui des vestiges
Un crépuscule immense dont les ombres sont liges
L’homme ici n’est pas seul;
il marche avec ses pairs
Pour avancer il doit se fier à sa lumière
Le deuxième souterrain est celui de l’absence
Une lumière y brûlait jadis d’un feu immense
Mais désormais ses cendres en tapissent le chemin
Des cadavres souriants vous y tendent la main
«Reste avec nous», disent-ils, «pourquoi aller plus loin?»
«Ici la lumière couve, apaise, guérit, prend soin»
L’homme regarde alentour, aveugle, et désespère
Car il ne parvient pas à percer ce mystère
Le deuxième souterrain est celui du mensonge
Celui qui prend, étreint, celui qui prie, et ronge
Sous des dehors habiles de paix, sérénité
Rien ne bouge plus jamais, tout y demeure scellé
«Reste plutôt avec nous», continuent les cadavres
«Il n’y a rien plus bas, ceux qui sont morts le savent»
L’homme contemple triste cette vaste étendue
Se souvient du chemin: il n’est donc pas perdu
«Votre lumière est morte, je n’en ai pas voulu»
--Quatrième Chant: Lumière Absente--
J’ai rencontré l’obscurité
Elle marchait devant moi
Me suivait
Et chacun de ses pas dans les miens me rappelait cette fois où je l’avais cru
partie
Fou, je l'étais, de penser que les ombres pouvaient un jour cesser de me suivre
Car le noir est en nous.
Il est le ciment dont nous nous fabriquons
Il ne nous quitte jamais
Alors, j’ai passé la porte
J’ai avancé à sa rencontre
Pour le laisser m’engloutir
(Abondance d’absence et de silence est encore abondance)
Au beau milieu du noir, de ce que j’imaginais être son épicentre,
je me suis assis
Il me parut facile alors d’oublier les raisons qui m’y avaient conduit
Fermer les yeux, être son propre centre
Ne faire plus qu’un avec l’obscurité
Craindre que la mort vienne vous faucher
Car dans le noir rôdent celles qu’on nomme les affamées
Elles chassent les hommes perdus
Elles dévorent ceux qui renoncent
Assourdi de silence
Pourtant je vis encore, je respire cet air noir
Et si les créatures rôdent, elles sont encore loin
(Se lever, il faut se lever)
Contre les ténèbres, avancer
Il n’est qu’un seul remède
Il n’est qu’un seul espoir
(Se lever, il faut se lever)
Rien ne viendra t’aider
Il n’est qu’une seule porte
Il n’est qu’un seul chemin
(Se lever. Il faut se lever)
(Hier ist keine Tür: du bist die Tür)
--Cinquième Chant: Lumière Éteinte--
I’ve been all the way down
I met those who worshipped blood, fear and madness
But I walked
I met the corpses slowly fading to black
They told me to stay with them
But I walked
I met obscurity, and in its center I met myself
I walked again
Men thought light was lying deeper underground
But it was buried inside me
Passée l’obscurité, l’homme poursuit son chemin
Et il descend jusqu’où personne ne peut descendre
Trouve alors le soleil, encastré en son centre
Mais l’orbe ne brille plus.
Il a cherché en vain
Face à lui gît le corps sans vie d’un astre éteint
Une force a étouffé le désir brûlant
Capable d'éclairer le monde et ses enfants
Et a éteint le feu qui couvait en son sein
Mais l’homme se reprend:
«Aucune force ne peut assassiner un astre.
Seulement une absence.»
Et de comprendre enfin que ce sont nos silences
Qui effacent les routes et éteignent les feux
Ses jambes l’abandonnent.
Il s’effondre et se blesse
Aucune prière, aucun chant, plus rien ne vient
Il s’imagine revenir, il repense aux anciens
Et il ouvre les bras: que le noir se repaisse
Ici, le crépuscule des mondes
(devenir le soleil)
Une voix, une seule, résonne, la sienne
(devenir le soleil)
Des tréfonds elle s’embrase
(devenir le soleil)
Elle prend naissance en lui
(devenir le soleil)
Elle déchire ses entrailles
(devenir le soleil)
C’est cette lumière en lui
(devenir le soleil)
Elle lui hurle de briller
(devenir le soleil)
Elle exige de régner
(devenir le soleil)
Devenir le soleil
(devenir le soleil)
Prendre la relève
(devenir le soleil)
(traducción)
Hombres mirando al cielo, caras cerradas
Puños apretados, labios apretados
Pies en el polvo
Nacido de una y mil voces se eleva un grito:
"La oscuridad ha descendido sobre nosotros"
(La mañana no ha llegado)
Maldiciendo el cenit salpicado de estrellas oscuras
Un sacerdote castañetea los dientes, temblando de un pasado
Donde las estrellas reían, se dejaban contemplar
Se agacha y escucha al gusano que en la tumba
Conoce los viejos tiempos y los recuerda:
"El sol ha entrado en el reino de la muerte"
(Der Wurm hat Recht)
Al vientre seco de Nuez tejida con ojos inmóviles
(miran el rostro de Geb abandonado por los dioses)
Falta el padre de todos, el gran conjunto de gemas.
Que la bella diosa luce orgullosa en su ombligo
Huérfano del Sol que ya no ocupa los cielos
El azur está condenado a desiertos infinitos
(Las estrellas se ríen, saben
Que Ra no volverá)
Espera a que venga el hombre.
Él sabe por qué susurran
Si no puede traer el sol de vuelta
Entonces, ¿quién puede?
Bastaría esperar el horizonte yermo
Libera el lucero, jura que los muertos vendrán
El hombre está en silencio y espera los corazones desgarrados.
Crece la aceptación de los elegidos entre mil
Su camino está trazado, sabe que lleva a lo peor
Conoce el Sol, sabe donde se esconde
Es allí, en la montaña, donde descansa la antorcha.
Es allí, en la montaña, que el hombre debe descender
(Die Tür ist geöffnet)
--Segundo Canto: Luz Ardiente--
“Todo este tiempo la luz estuvo allí, justo debajo de nuestros pies;
ella sirvió como
mortaja a los cuerpos de nuestros mayores.
imaginamos
El Reino Oscuro y Silencioso de los Muertos.
Estábamos equivocados: porque está en el
vientre de un volcán que se estaba consumiendo
Nuestras esperanzas de descanso".
(Wut ciego)
“En el primer Círculo arde una rabia sin límites;
corrompe la carne y
torcer las mentes.
Aquí todo está claro,
Solo unas pocas letras de la anteojera, pero es una luz sucia,
una luz furiosa que no tendría existencia
que en la exuberancia
Blake habló de los Wrath Tigers, sin saber cuál era el fuego de sus
ojos
Pero Blake nunca llegó al Inner Circle".
(Heilige Wut)
Debajo de la piel no hay carne ni huesos, solo luz e ira
Aquí es donde pertenece la guerra, aquí es donde corre la locura
Redes infinitas de vida, nacidas, muertas y nacidas de nuevo
No hay fin para esperar, no hay fin para anhelar
No hay fin para rogar, rogar es por sombras
"El hombre descendió al círculo para buscar allí los últimos rayos del
Sol;
No se había imaginado el
Vorágine, sudor, gritos y rabia.
Todo lo que estaba bajo tierra
lloró, y de sus llantos nació una luz
Cegador.
Guerreros de la antigüedad perpetuaron masacres allí
cometido hace siglos, habían
Olvidé que estaban muertos un día, y cuanto más fluía la sangre, más la luz
estaba creciendo
Entonces el hombre pensó que había encontrado
a lo que vino"
(Liebte Wut)
he encontrado lo que he estado buscando
En la rabia de los hombres yace la claridad
Hazme uno de ti
Déjame sostener el fuego que arde dentro de ti
Incluso si sé que la ira es una luz que nadie puede devolver
"Cuando el hombre estaba lleno de la luz del primer Círculo, cuando estaba saciado de ella
y había sucumbido a sus delicias, comprendió
Que había adorado un espejismo: la luz que buscaba no era la de
la ira de los muertos antiguos, ni la de la rabia
Futuros vivientes, pero algo que yacía más allá, y más
profundamente.
La rabia consumiría sus huesos, su
Los tendones y sus músculos... ella lo convertiría en ceniza calcárea.
Así que tuvimos que bajar, bajar un poco más
Pobre de mí"
--Tercer Canto: Luz Muerta--
En el camino hacia el sol yacen espejos divididos
Envían de vuelta los ecos de una luz desvanecida
El hombre escucha al gusano susurrante
Que sin costo alguno debemos volver sobre nuestros pasos
El camino se extiende en una pendiente suave y oscura
El clamor amaina, caen viejas iras
De la luz de arriba queda solo un halo
Un círculo ardiente de rabia, que pronto desaparece.
El segundo subterráneo es el de los restos.
Un inmenso crepúsculo cuyas sombras yacen
El hombre aquí no está solo;
camina con sus compañeros
Para avanzar debe confiar en su luz
El segundo subterráneo es el de la ausencia.
Una luz una vez ardió allí con un gran fuego
Pero ahora sus cenizas bordean el camino
Cadáveres sonrientes se acercan a ti
“Quédate con nosotros”, dicen, “¿por qué seguir adelante?”.
"Aquí la luz arde, alivia, cura, cuida"
El hombre mira a su alrededor, ciego, desesperado.
Porque él no puede desentrañar este misterio
El segundo subterráneo es el de la mentira.
El que toma, abraza, el que reza, y roe
Bajo hábiles exteriores de paz, serenidad
Nada vuelve a moverse, todo queda sellado
“Quédate con nosotros en su lugar”, continúan los cadáveres.
"No hay nada más bajo, los que están muertos lo saben"
El hombre mira con tristeza esta vasta extensión.
Recuerda el camino: para que no se pierda
"Tu luz está muerta, yo no la quería"
--Cuarto Canto: Luz Ausente--
conocí la oscuridad
Ella caminó frente a mí
me estaba siguiendo
Y cada paso que daba en el mío me recordaba aquella vez que le creí
parte
Estaba loco al pensar que las sombras podrían dejar de seguirme
Porque la oscuridad está en nosotros.
Él es el pegamento que hacemos
El nunca nos deja
Así que entré por la puerta
avancé para encontrarlo
Para dejar que me trague
(Abundancia de ausencia y silencio sigue siendo abundancia)
En medio de la oscuridad, de lo que imaginaba ser su epicentro,
me senté
Me pareció fácil entonces olvidar las razones que me habían llevado allí.
Cierra los ojos, sé tu propio centro
Conviértete en uno con la oscuridad
Miedo a que la muerte te derribe
Porque en la oscuridad rondan los llamados hambrientos
Cazan hombres perdidos
Devoran a los que renuncian
Ensordecido con el silencio
Sin embargo, todavía vivo, respiro este aire negro
Y si las criaturas vagan, todavía están lejos
(Levántate, tengo que levantarte)
Contra la oscuridad, adelante
solo hay un remedio
solo hay una esperanza
(Levántate, tengo que levantarte)
Nada vendrá a ayudarte
solo hay una puerta
Solo hay una manera
(Levántate. Tienes que levantarte)
(Hier ist keine Tür: du bist die Tür)
--Quinto Canto: Luz Extinguida--
He estado todo el camino hacia abajo
Conocí a los que adoraban la sangre, el miedo y la locura
pero caminé
Puse los cadáveres desvaneciéndose lentamente a negro
Me dijeron que me quedara con ellos.
pero caminé
Me encontré con la oscuridad, y en su centro me encontré a mí mismo.
caminé de nuevo
Los hombres pensaron que la luz estaba más profunda bajo tierra
Pero estaba enterrado dentro de mí
Más allá de la oscuridad, el hombre sigue su camino
Y baja donde nadie puede bajar
Luego encuentra el sol, incrustado en su centro.
Pero el orbe ya no brilla.
Buscó en vano
Frente a él yace el cuerpo sin vida de una estrella extinta
Una fuerza ha sofocado el deseo ardiente
Capaz de iluminar al mundo y a sus hijos
Y apagó el fuego que ardía dentro
Pero el hombre se recompone:
“Ninguna fuerza puede matar a una estrella.
Sólo una ausencia.
Y finalmente entender que estos son nuestros silencios
Que borran los caminos y apagan las luces
Sus piernas lo dejan.
Se derrumba y se lastima
No hay oraciones, no hay canciones, nada más viene
Se imagina volviendo, piensa en los viejos
Y abre los brazos: que el negro se festeje
Aquí el crepúsculo de los mundos
(convertirse en el sol)
Una voz, una sola, resuena, su
(convertirse en el sol)
Desde lo más profundo ella enciende
(convertirse en el sol)
Nace en él
(convertirse en el sol)
Ella rasga su interior
(convertirse en el sol)
Es esa luz en él
(convertirse en el sol)
Ella le grita que brille
(convertirse en el sol)
Ella exige reinar
(convertirse en el sol)
Conviértete en el sol
(convertirse en el sol)
Tomar el control
(convertirse en el sol)
Calificación de traducción: 5/5 | Votos: 1

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