Información de la canción En esta página puedes encontrar la letra de la canción Dernier train, artista - La Caution. canción del álbum Peines de Maures / Arc-en-ciel pour daltoniens, en el genero Рэп и хип-хоп
Fecha de emisión: 16.10.2005
Etiqueta de registro: Kerozen
Idioma de la canción: Francés
Dernier train |
J’ai l’arrogance de l’autodidacte qui a tout appris seul. Décidément je me plait |
Ne m’embarrasse pas avec tes questions à la con |
J’ai les plaques diplomatiques et les body vibes dans le coffre de l’Audi (mat) |
Micro basique pour les copycats, narcoleptique |
Un arc-en-ciel dans les yeux, c’est gravement clair |
Non comestible à part entière. J’anesthésie donc la gangrène |
Traite la de pute et c’est là qu’elle … «cesse donc de te plaindre «Ne prends pas l’express et rate le train. Etc quand je braque le plein |
Siphonneur d’essence perplexe et brave, alors passe le joint, c’est très aimable |
De l’encre, hier, a coulé sur mes mains |
Je laisse mes remords dans les cendriers |
Les (bas) sur le visage en disent long, et c’est un silence grave qui t’inonde |
Cesse donc de te plaindre. Prends le dernier train… |
Quand je gère des tain’p. Expérience de dingue. Cesse donc de te plaindre |
Immondices, et bilan, nous, on nie l’envie de vivre en vous |
Je crie mon hymne en pliant tout. Identifiant 1000 embrouilles |
Tu vises dans l’mile, c’est pire que tout. Cesse de te plaindre (…) |
Pour la ménopause. Ancienne tout comme les maisons closes |
J’ai cédé au rap une grande partie d’mes nuits |
Tu nuis en grande partie au rap par tes cd |
Je n’rêve pas qu’pour moi ce soit homard et Hammer |
Amer est mon art face aux connards et suckers |
Pour savoir c’que j’kiffe rapproche Donna et Summer |
Ta musique de tante, Rumsfeld Donal est preneur |
J’suis un galérien il parait. On m’a dit qu’cette meuf était forte sur l’homme |
Comme Valérien Ismaël. Une véritable Lolipop avec un joli top |
Moi évidemment polyglotte, omnivore |
Elle était puéricultrice, j'étais cultivateur |
Bouillon de culture semblait modérateur |
Très motivé, sûre, elle m’fixe un ultimatum |
Je ne joue jamais de film où je suis l’unique acteur |
Mon pote, septique, pense que sa meuf n’est qu’une pétasse |
(chilté) donc à l’indien, je n’t’achèterais qu’une pédale |
C’est du travail d’arabe, et de têtes de nègre |
Forts comme des turcs avec de bêtes de textes |
Cesse donc de te plaindre. Prends le dernier train… |
Quand je gère des tain’p. Expérience de dingue. Cesse donc de te plaindre |
Bizarre sont ces keums sous une carcasse de femme |
Ou cette star dépressive sous une cuirasse de (fête) |
Mais c’est sympathique avec cette lymphatique averse |
Je n’suis ni sudiste, ni bouddhiste, ni nudiste, ni ludique |
Qui plus est immunisé en vrai érudit |
Nous arrivons à plaire sans thème particulier |
Nous pouvons vous former comme à Clairefontaine |
C’est comme un job que t’exerce en automate |
Western, spaghetti et sauce tomate indissociables. Au total c’est colossal |
Cocktail Molotov dans l'œsophage |
Hôtel, maison close, cauchemar pour l’odorat |
Artificiel, placebo, placez d’autres intelligences assez glauques |
Magnétoscope et les bandes () élégante anémone |
Pas les bonnes poses et les gants |
Fallait l’or, pas les roses (choisies) des plans. Vous parlez trop ! |
C’est un décor pliable, à l’envers, dans tout les sens |
Pour des candidats allant vers la quintessence |
Pour des bandes rivales parlant d’herbe et d’arsenal |
Pour une querelle tribale, à l’ancienne, c’est pardonnable |