| Elle était belle cette illusion, je m’y accrochais.
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| Et les bateaux, s’en allaient.
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| J’ai posé une étoile au fond de la mer,
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| Et les bateaux, s’en allaient.
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| Pour se souvenir parfois,
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| Qu’il n’y a rien de plus beau que toi,
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| Qu’il n’y a rien de plus beau que toi.
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| Pour se souvenir parfois,
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| Qu’il n’y a rien de plus beau que toi,
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| Qu’il n’y a rien de plus beau que toi.
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| Et la terre s’abîmait, je m’y accrochais,
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| Et les bateaux, s’en allaient.
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| J’ai posé une main sur ta bouche,
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| Et une étoile, au fond de la mer.
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| Pour se souvenir parfois,
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| Qu’il n’y a rien de plus beau que toi,
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| Qu’il n’y a rien de plus beau que toi.
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| Pour se souvenir parfois,
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| Qu’il n’y a rien de plus beau que toi,
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| Qu’il n’y a rien de plus beau que toi.
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| Pour se souvenir parfois,
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| Qu’il n’y a rien de plus beau que toi,
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| Qu’il n’y a rien de plus beau que toi.
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| Pour se souvenir parfois,
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| Qu’il n’y a rien de plus beau que toi,
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| Qu’il n’y a rien de plus beau que toi.
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| Pour se souvenir parfois,
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| Qu’il n’y a rien de plus beau que toi,
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| Qu’il n’y a rien de plus beau que toi.
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| Pour se souvenir parfois,
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| Qu’il n’y a rien de plus beau que toi,
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| Qu’il n’y a rien de plus beau que toi. |