Información de la canción En esta página puedes encontrar la letra de la canción Oh bah oui, artista - Lacrim.
Fecha de emisión: 30.03.2017
Restricciones de edad: 18+
Idioma de la canción: Francés
Oh bah oui |
J’me suis souvenu qu’les blessures du cœur faisaient mal |
Et que les larmes avaient le goût de la mer |
La patience, une vertu, j’la garde pour mes gosses |
Ferme pas d’travers, on va te niquer ta mère |
J’connais des rappeurs, c’est comme des nymphs |
Pour une bite, ils iraient baisser leur robe |
Sale fils de pute, j’suis en connexion avec des hommes |
Susceptibles d’alimenter l’Europe |
Un gang de malades, de malades, de malades |
3 heures du mat' dans l’cimetière, j’me balade |
J’me réveillais j’avais la vue sur le T2 |
Là j’me lève, j’ai la vue sur tout Paname |
On rase les clubs, ils rasent des teubs' |
Lacrim au placard, ne sait que faire des tubes |
Crois-moi sur parole, ce qui rend fou l’homme |
Ça n’est pas le doute mais c’est la certitude |
Jeune menotté, prisonnier sans diplôme |
J’me démerde, dès 16 ans j’roule dans un p’tit cône |
J’ai l’habitude des larmes, on communique par tél' satellite |
Pour cent kils, y’a pas d'émoticones |
La vie c’est dur mon frère, et l’argent c’est facile |
Y’a la coke pour m’acheter mes dix hectares sur la côte |
Zéro degré, j’fais chauffer ma piscine |
J’tape la pose, prends la tof', des condés sur mes côtes |
Force, force à tous ceux qui rêveraient d’me tuer |
Ah la rafale bug, miraculé, il suffit d’une erreur pour t’enculer |
Force, force, j’suis dans ma cité, j’fume un pilon |
Va niquer ta mère, on fait des millions |
Cent kilos d’beuh-er dans l’pavillon |
Pah, pah, pah ! Oh bah oui, si tu manges mon pain |
Qu’on en vienne aux mains, ça ne sert à rien |
Pah, pah ! Oh bah oui, même s’ils sont pleins |
C’est des être-humains et mes frères sont mille, hein |
J’enseigne le sale, pas les Beaux-Arts |
J’pèse comme un trafiquant mort, Kopp El Chapo Mendoza |
J’aurais tué pour poignées de dollars |
Audemars au poignet de Omar |
J’vendais d’la frappe, j’vendais pas de marrons |
Ils me demanderont c’qu’ils ont fait aux Noirs |
Dans un appart de mac Avenue Mac-Mahon |
Sur grand écran je leur ferai voir |
De nôtre côté, personne cédera |
Avant d'être D.U.C. j’fus bon galérien |
Porte tes couilles, personne t’aidera |
Grosses douilles tah les oufs pour couper les liens |
Sale fils de pute, t’es walou, t’es rien |
Comme Jamel Debbouze qui te serre dans ses bras |
J’suis pas dans ta sphère, fuck un Terrien |
On va t’niquer ta mère, tu l’sais très bien |
J’pénètre leur espace aérien (oui) |
Dès que j’suis sorti du placard |
J’crache sur la pelouse comme un Algérien (Benzo) |
L’herbe y sera plus verte bâtard |
J’suis dans l’tur-fu, j’suis raëlien |
Sortez les nains, y’a Patrice qui vient |
J’suis un Glock israélien dans la mano d’un Palestinien |
Force, force, à tous ceux qui rêveraient d’me tuer |
Ah la rafale bug, miraculé, il suffit d’une erreur pour t’enculer |
Force, force, j’suis dans ma cité, j’fume un pilon |
Va niquer ta mère, on fait des millions |
Cent kilos d’beuh-er dans l’pavillon |
Pah, pah, pah ! Oh bah oui, si tu manges mon pain |
Qu’on en vienne aux mains, ça ne sert à rien |
Pah, pah ! Oh bah oui, même s’ils sont pleins |
C’est des être-humains et mes frères sont mille, hein |