Información de la canción En esta página puedes encontrar la letra de la canción La femme du sergent, artista - Pierre Vassiliu
Fecha de emisión: 20.02.2011
Idioma de la canción: Francés
La femme du sergent |
Y avait la femme d’un militaire qui faisait collection d' képis |
Y avait des blancs, des rouges, des verts, c’en était de biens beaux bibis |
C’est la femme du sergent qui pour gagner beaucoup d’argent |
Levait la jambe à tour de bras quand son mari n'était pas là |
Lui dépensait sa solde à boire, faut dire que c'était son métier |
Aussi le soir fallait le voir parler d' l’Indo et d' la Corée |
J'étais dans les rizières, j’avais deux hommes à moi |
L’un tenant la bannière l’autre me tenant moi |
Pour recevoir ses p’tits amis elle cachait tous ses képis |
Mettait une robe de chambre kaki et se couchait en chien d' fusil |
C’est la femme du sergent qui pour gagner beaucoup d’argent |
Levait la jambe à tour de bras quand son mari n'était pas là |
Lui dépensait sa solde à boire, faut dire que c'était son métier |
Aussi le soir fallait le voir parler d' l' Indo et d' la Corée |
J'étais dans les rizières, j’avais trois femmes à moi |
On n' faisait pas d' manière une fois j' te vois ou j' te vois pas |
Elle répétait les mots d’amour que son mari lui avait appris |
C’est pour ça qu’elle disait toujours «feu à volonté toute la nuit» |
C’est la femme du sergent qui pour gagner beaucoup d’argent |
Levait la jambe à tour de bras quand son mari n'était pas là |
Lui dépensait sa solde à boire, faut dire que c'était son métier |
Aussi le soir fallait le voir parler d' l' Indo et d' la Corée |
J'étais dans les rizières, j’avais cent hommes à moi |
Le flingue en bandoulière on s' cachait dans les bois |
Un soir d’ivresse elle mourut sous un petit vieillard maniaque |
Un général plutôt fourbu lui tomba d’ssus de son hamac |
C’est la femme du sergent qui pour gagner beaucoup d’argent |
Levait la jambe à tour de bras quand son mari n'était pas là |
Lui dépensait sa solde à boire, faut dire que c'était son métier |
Aussi le soir fallait le voir parler d' l' Indo et d' la Corée |
J'étais dans les rizières, j’avais mille cons à moi |
On marchait à la bière, c'était dur croyez-moi ! |