| J’suis l’homme idéal pour celle qui m’acceptera comme je suis
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| Le passé construit, les mères de demain, les hommes d’aujourd’hui
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| Pur produit du ghetto français, je regarde froidement ce qui me plait
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| Je le fais même pas exprès
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| Mon cœur sature mon cerveau et synchronise mes réactions
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| Je me mêle les pinceaux, ainsi que les émotions
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| J’ai retrouvé la notion du bien par les chemins du mal
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| J’essaie d’combler ce qui manque à ma vie mais seul j’ai du mal
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| Mes qualités, mes défauts me portent
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| Ceux qui s’aiment pour ce qu’ils sont se supportent
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| Pas comme une folle qui met un fou à la porte
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| Issu des foyer brisé comme le cœur
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| Au visage givré, griffé pour soulager des rancœurs, les problèmes
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| Les incompatibles s’acceptent pour les mômes
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| Comme la pauvreté, la promiscuité sans faire l’aumône
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| On promet d’discuter mais on a trop la haine
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| Donc on s’insulte autant de fois qu’on s’est dit je t’aime
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| Les meufs de cité s’imprègnent du caractère de leur frère
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| Donc leur maris vont pleurer dans les bras de leurs mères
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| C’est le bras de fer à la maison, on s’pousse à bout
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| L’indépendance a toujours raison et veut pisser debout
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| Accepte-moi comme je suis
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| On a tous l’esprit contaminé par cette société
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| L’humour et le charme séduit
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| Boude et te laisse endurcit
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| Ça dure plus y’a de quoi s’inquiéter
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| Avec qui faire sa vie?
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| Plus rien ne suffit, c’est plein d’vices et de dossiers
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| Et les cœurs sont cuits
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| Y’a pas d’sentiments que des centimes et des centimètres
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| J’ai enregistré trop de choses par l’ouïe et la vue
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| Mon subconscient est plein à en craquer, ma vie est la rue
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| M’a beaucoup aidé
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| Quoi qu’on en dise, pour elle j’viens plaider
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| Elle m’a nourrit, héberger comme son fils
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| À la fois ma hantise je l’ai dans la peau
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| Mon regard, mon humour
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| T’es bien content quand tu rigoles du fond de ton amour
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| M’en veut pas si j’ai besoin de sortir voir mes potes
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| Va voir ta cop', si tu veux j’te dépose, t’accompagner à sa porte
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| Les meufs rien qu'ça papote
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| Raconte-lui comment je t’ai rendu croque
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| Dès l’premier jour de drague
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| Jusqu'à qu’j’devienne ta drogue
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| Mon caractère est à prendre ou à laisser
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| Autrement dit ton cœur est à comprendre ou à blesser
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| Le syndrome du cœur d’acier, on parlera de s’embrasser
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| Si j’valide ton dossier
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| Si j’te fuck la nuit c’est qu' le jour est fait pour bosser
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| Si tu m’aimes c’est avec mes dilemmes, mon taf et mon passé
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| Accepte-moi comme je suis
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| On a tous l’esprit contaminé par cette société
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| L’humour et le charme séduit
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| Boude et te laisse endurcit
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| Ça dure plus y’a de quoi s’inquiéter
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| Avec qui faire sa vie?
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| Plus rien ne suffit, c’est plein d’vices et de dossiers
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| Et les cœurs sont cuits
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| Y’a pas d’sentiments que des centimes et des centimètres
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| À cause du succès je n’sais plus à quoi m’fier
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| Y’a d’plus en plus de matérialistes et je dois m’méfier
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| T’es attirée par Rohff pas Housni
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| Tu connais mes singles pas qui j’suis, d’où j’viens c’est grave muslim
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| La dounia me joue des tours
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| Les tentations me tournent autour, m’affaiblit et me détourne
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| Je sais où je dois aller mais j’sais plus trop où j’en suis
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| On accumule les pêchers comme si y’en avait pas assez
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| Ma femme: la musique, la solitude: ma maitresse
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| On prend d’l'âge, nos parents veulent nous marier mais rien ne presse
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| Nos vices attisent nos faiblesses
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| Les couples se font, s’défont, se gouttent et on s’lèse
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| Les couples ne durent plus, la société pervertie la donne
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| Pas grave si t’es con ou conne tant que t’es bon ou bonne
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| Elles se font fraiches, t’as de la fraiche
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| Elle sait qu’t’habites dans un pavillon
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| Même si t’es moche, elle t’trouve super million
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| J’suis pas un sex-symbole, j’ai un plus beau zen que Tom Cruise cousine
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| Raconter sa vie à une fille c’est charger un Uzi
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| J’suis l’mal dominant, de charmantes demoiselles
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| Qui font de toi un oiseau qui s’imagine pas sans elles
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| Accepte-moi comme je suis
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| On a tous l’esprit contaminé par cette société
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| L’humour et le charme séduit
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| Boude et te laisse endurcit
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| Ça dure plus y’a de quoi s’inquiéter
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| Avec qui faire sa vie?
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| Plus rien ne suffit, c’est plein d’vices et de dossiers
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| Et les cœurs sont cuits
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| Y’a pas d’sentiments que des centimes et des centimètres
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| J’ai grandi comme j’ai grandi, j’aurais pu être pire
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| Accepte moi comme je suis j’te ferai croquer mon empire
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| C’que tu me donneras avec le temps j’te l’rendrais
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| Si tu veux repartir pour une vie ordinaire je comprendrais
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| On est différent, les filles c’est les fleurs, les bijoux en or
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| Nous c’est dehors le charbon, le hardcore
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| On fait pas exprès d’t’impliquer dans les histoires
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| De garde-av, de parloir à toi de voir garde espoir
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| Personne n’est parfait regarde le monde
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| Je tournerai les projecteurs sur toi pour pas rester dans l’ombre
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| Façonné par le ghetto et ces vices on a besoin d’un meuf cool
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| Pas d’une actrice, épargne moi d’tes caprices
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| Marqué à vie, notre vie est assez révélatrice
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| Et tu le ressens quand tu caresses nos cicatrices |