
Fecha de emisión: 29.10.2020
Restricciones de edad: 18+
Idioma de la canción: Francés
Tout a changé(original) |
13 Organisé |
Là pour prendre la vie dans des positions indécentes, mon ami |
Si tu veux pas qu’on monte, eh, faudra nous descendre, mon ami |
Ni confiance en toi, ni en ma rétine, tu sais bien qu’tu sais rien, |
pourquoi parle-t-il? |
J’ai la mort, j’ai le démon, paraît-il, c’est mon tour, pas le tien, |
j’la tiens par les tifs |
Déjà été tué et j’sais par qui, j’tire dans l’tas comme si j’avais la Parkins' |
Si tu les comptes, j’veux les peser et par kil', j’veux la caisse plus grande |
que la place de parking |
J’suis ici, j’suis là-bas, j’suis la jeunesse sans rêve, on veut tout, mon poto, |
on est venus sans rien |
Accroche-toi car tout meurt si les couilles s’enrayent, on peut tout, |
mon poto dans ces coins sans règles |
On en jette, on les jette, on veut tout avoir, il trahit, on l'éjecte, |
on veut rien savoir |
Très fidèle, très dévoué, pas là pour la gloire, y a pour la soif, |
pour la swag et pour la soie |
Depuis qu’on est jeune, la guerre dans nos quartiers, j’sais pas combien mais |
j’sais qu’on va tout claquer |
J’tuerais des gens portant des lunettes Cartier, personne n’est immortel, |
on va tous raquer |
Égaré, mal barré, j’peux plus réparer, j’ai laissé mon bon fond sur la bande |
d’arrêt |
J’suis garé dans l’carré, j’bois des raz-de-marée, rien à narrer, |
je n’suis que ce qu’on me narrait |
J’ai pris le mic pour me soigner à quinze piges, à la base, on rappait pas pour |
être riche |
En larmes quand les frères nous faisaient l’prêche, face aux flics personne |
faisait l’autruche |
On affrontait nos torts comme des grands garçons, pas de raisins secs dans le |
caleçon |
On prenait exemple sur les anciens, aujourd’hui, l’respect, c’est un paillasson |
Tout a changé, même pour manger, des frères se shootent dans les tranchées |
Les plus âgés sont ravagés et les p’tits n’savent que s’Kalasher |
Parents fauchés, amours fâchés, des cagoulés devant le guichet |
Voila pourquoi tous mes couplets sont des lettres à France comme Polnareff |
Quand j’suis sorti du mur, personne me connaissait, j’rappais dans la Twingo, |
j'étais au quartier |
C'était moi qu’tu voyais sur une roue, c'était moi qui sentais le parfum Cartier |
Dans les bras de Morphée, j’ai vu les p’tits morfler |
Les schmidts ils font peur à six heures et les mamas, c’est pas de leur faute |
Des qualités, des défauts, me trahis pas si t’es mon frère, on va s’en vouloir |
comme des fous |
J’ai tout donné et ça m’en veut, de quoi frissonner |
J’ai mis d’côté mon côté émotionnel car y a des choses qu’il faut pas cautionner |
Tout a changé, c’est comme ça, mon frangin, personne n’a rien fait, |
pourquoi j’irais me venger? |
J’suis dans le Range, je gamberge chaud et quand j’pense, ça fait mal de voir |
ton ami faire l'étranger |
Tout a changé, tout l’monde veut manger, à dire que même des daronnes se |
baladent chargées |
Retiens bien l’message, quand t’as pas pied, il faut pas nager |
Les potos, la rue, la rue, les potos, c’est trop chaud la rue, les condés |
prennent des photos |
Est-ce que tu m’as vu? |
Le futur, un auto, les p’tits vendent la coco, |
les frères meurent en moto |
J'étais dans ma bulle, j’avais pas un euro, j’suis dans l’PMU, demande à Nono |
J’me lâche quand j’ai bu, j’me mets à nu, j’pense à ma mère quand j’regarde la |
lune |
Si tu savais, yemma, rien n’a changé, yemma |
Y a trop d’jaloux, yemma, ils font que parler, yemma |
Si tu savais, yemma, rien n’a changé, yemma |
J’reviens de loin, yemma, la roue a tourné, yemma |
J’ai rien oublié, génération veut des billets mais billets nous mènent dans |
l’corbillard |
Ouais, tout a changé même si moi-même, j’ai pas changé, on s’est jamais plaint |
dans le brouillard |
J’peux pas éponger une vie noyée dans les soucis, on était jeunes et insouciants |
Pas encore soucieux, 2020, ça part en sucette, j’ai cuisiné sans la recette |
donc j’connais les enjeux |
Avec rien, on faisait un et avec un, on faisait tout |
Et maintenant, même si tu leur donnes cent, ils font plus rien et même avec, |
ça s’mêle de tout |
Donc j’peux pas oublier sans être outillé, on a marqué la tess, on l’a fait |
briller |
Tout l’monde a vrillé, maintenant, ça cherche à s’envoler vers le ciel avec des |
ailes grillées |
Y avait des rires, des larmes, hiver, été, rappels de souvenir donc je pleurs |
sous l’averse |
Le ventre ouvert, cœur déchiré, passé dans l’mixeur, le reste en PLS |
Époque accidentée, sentiment sur l’trottoir, l’histoire ne m'écrit pas, moi, |
j'écris mon histoire |
J’repense à tous mes torts mais il y a zéro mystère, on commence comme des |
potes, on finit adversaires |
(Tout a changé) |
À la base, y avait pas d’avenir |
Tout a changé (Tout a changé) |
À la base, y avait pas d’avenir |
Tout a changé |
(Tout a changé, tout a changé) |
(Tout a changé, tout a changé) |
(Tout a changé, tout a changé) |
(Tout a changé, tout a changé) |
Oh, atterri au monde dans cette ville dans les années 90 |
Marseille, F-E-L-I-X, Dieu m’a créé pour pas que j’traîne dans le bendo |
Ma mère me pensais très nia, attiré par le mensonge, je l’ai nié |
Dans la cité, j'élastiquais les billets pour pas qu’tu fasses le ménage et |
qu’tu t’casses le dos |
Le dos, faut qu’j’sorte ma tête de l’eau |
Je savais que c'était pas dans le bendo que j’allais faire des loves |
Oh maman, souris, là, j’sors de toutes ces conneries, ma femme, mes gosses et |
j’esquive |
La taule, la drogue, les geôles, les flingues, les boum boum et les perquises |
Là, j’sors de toutes ces conneries, j’taffe, j’taffe, j’taffe, j'écris |
J’veux qu’mon gosse voie que je brille, qu'à l'école ça lui dise |
Ton daron, c’est un monstre, quand il débite c’est la folie (Folie) |
Folie (Folie), folie |
Regarde la vie qu’on mène, j’ai changé mon domaine |
Ma haine, ma peine dans mes veines, j’prends tout, j’taille aux Seychelles |
Tout a changé, tant d’faux sourires, propre sur moi, j’vais les pourrir |
J’marche pas au pas, j’less fais courir, si j’t’aime vraiment, prêt à t’couvrir |
Jamais j’mordrai la main qui veut m’nourrir, à de meilleurs lendemains, |
pas peur de mourir |
La vie d’avant n’est que souvenir, j’peux plus m’ouvrir, j’veux plus souffrir |
Voilà du bon pour les tympans, cœur bat au BPM du tempo |
Entends-tu les cris sous les pin-pon? |
J’suis 1−3, l’honneur du drapeau |
Tout a changé dès l’arrivée des armes, dans mon temps, on faisait des dettes |
puis des fêtes |
On sait même plus la destination des âmes, maintenant, l’adversaire n’accepte |
plus aucune défaite |
Il y a les hommes de paix, les forts puis les faibles, la jalousie plane, |
la rancœur la précède |
Le déshonneur et la honte tiennent la baraque pendant que le respect, bah lui, |
fait la vaisselle |
Ne cherche pas la merde à ton gars le plus sage, des concours de bites du plus |
con au plus sage |
Tu trouveras ta dignité au fond du sac, ne ramène pas ta rue, j’ai mon droit de |
cuissage |
La vie m’a pas fait de cadeau, débrouillard, j’ai dû trimer |
Tout seul, j’ai dû faire un garot, telle est ma destinée, boy |
Y a qu’Dieu qui m'épaule, j’ai vu des horreurs, plus rien ne m'étonne |
Non, j’ai pas changé d’fusil d'épaule sauf que tout a changé depuis l'école |
J’ai fait la guerre pour trouver la paix, chasser mes démons et faire le point |
J’laisse un goût amer de mon passé, j’ai dû couper les ponts et voir au loin |
J’entends les coups de feu qui résonnent, la rue fabrique et détruit des hommes |
On avait tous un rêve quand on était mômes, depuis, tout a changé, |
chacun ses raisons |
T’as vu les traces dans l’auto, ça, c’est les coups de couteaux, oh-oh-oh |
Sur le même océan mais pas sur le même bateau, oh-oh-oh |
Aujourd’hui, ça tombe des go, plus d’sentiments pour le poto, oh-oh-oh |
Hier, on était innocents, ensemble sur la photo, oh-oh-oh |
(Tout a changé) |
À la base, y avait pas d’avenir |
Tout a changé (Tout a changé) |
À la base, y avait pas d’avenir |
Tout a changé |
(Tout a changé, tout a changé) |
(Tout a changé, tout a changé) |
(Tout a changé, tout a changé) |
(Tout a changé, tout a changé) |
(traducción) |
13 Organizado |
Aquí para tomar la vida en posiciones indecentes, mi amigo |
Si no nos quieres arriba, ey, tendremos que bajar, amigo |
Ni confianza en ti, ni en mi retina, sabes muy bien que no sabes nada, |
¿por qué está hablando? |
Tengo la muerte, tengo el diablo, parece, me toca a mí, no a ti, |
la sostengo por los tifs |
Ya me mataron y se por quien tiro en el monton como si tuviera parkins |
Si los cuentas, quiero pesarlos y por kilo quiero la caja más grande |
que el estacionamiento |
Estoy aquí, estoy allí, soy la juventud sin sueños, lo queremos todo, mi amigo, |
venimos sin nada |
Aguanta que todo se muere si las bolas se paran, podemos hacer cualquier cosa, |
mi poto en estos rincones sin reglas |
Lo tiramos, lo tiramos, lo queremos todo, traiciona, lo tiramos, |
no queremos saber nada |
Muy leal, muy entregada, no por la gloria, por la sed, |
por el botín y por la seda |
Desde jóvenes, la guerra en nuestros barrios, no sé cuánto pero |
Yo se que vamos a abofetear todo |
Mataría a la gente que lleva gafas Cartier, nadie es inmortal, |
todos nos vamos a cabrear |
Perdido, mal cruzado, ya no puedo reparar, dejé mi trasero bueno en la cinta |
deténgase |
Estoy estacionado en la plaza, bebo maremotos, nada que contar, |
Soy solo lo que me dijeron |
Tomé el micrófono para curarme a los quince años, en la base, no estábamos rapeando para |
ser rico |
En lágrimas cuando los hermanos nos predicaban, frente a la policía nadie |
jugó el avestruz |
Enfrentamos nuestros errores como niños grandes, sin pasas en el |
ropa interior |
Seguimos el ejemplo de los mayores, hoy el respeto es un felpudo |
Todo cambió, hasta para comer, los hermanos disparan en las trincheras. |
Los mayores están destrozados y los pequeños no saben que son Kalasher |
Padres en quiebra, amores enojados, gente encapuchada frente al mostrador |
Por eso todos mis versos son cartas a Francia como Polnareff |
Cuando salí de la pared, nadie me conocía, estaba rapeando en el Twingo, |
yo estaba en el barrio |
Fui a mí a quien viste en una rueda, fui yo quien olió el perfume de Cartier |
En los brazos de Morfeo vi a los pequeños morfler |
Los schmidt dan miedo a las seis y las mamas, no es su culpa |
Cualidades, defectos, no me traiciones si eres mi hermano, nos culparemos |
como locos |
Lo di todo y me culpa, lo suficiente como para temblar |
Dejo de lado mi lado emocional porque hay cosas que no se deben perdonar |
Todo cambió, así es, hermano, nadie hizo nada, |
¿Por qué iría por venganza? |
Estoy en el rango, estoy jugando caliente y cuando pienso, me duele ver |
tu amigo haciendo el extraño |
Todo ha cambiado, todos quieren comer, decir que hasta los daronnes son |
deambular cargado |
Recuerda bien el mensaje, cuando no tienes pies, no debes nadar |
Los amigos, la calle, la calle, los amigos, la calle está demasiado caliente, el condés |
tomar fotografías |
¿Me has visto? |
El futuro, un carro, los chiquitos venden el coco, |
hermanos mueren en moto |
Yo estaba en mi burbuja, no tenía ni un euro, estoy en la UGP, pregúntale a Nono |
Me suelto cuando he bebido, me desnudo, pienso en mi madre cuando la miro |
luna |
Si supieras, yemma, nada ha cambiado, yemma |
Hay demasiada gente celosa, yemma, solo hablan, yemma |
Si supieras, yemma, nada ha cambiado, yemma |
Vengo de lejos, yemma, la rueda ha girado, yemma |
No olvidé nada, la generación quiere boletos pero los boletos nos llevan |
el coche fúnebre |
Sí, todo cambió incluso si yo no cambié, nunca nos quejamos |
en la niebla |
No puedo limpiar una vida ahogada en preocupaciones, éramos jóvenes y despreocupados |
Todavía no me preocupo, 2020 va cuesta abajo, cociné sin la receta |
así que sé los problemas |
Con nada hicimos uno y con uno hicimos todo |
Y ahora, aunque les des cien, no hacen nada y hasta con, |
lo mezcla todo |
Así que no puedo olvidar sin estar equipado, marcamos la tess, lo hicimos |
brillar |
Todos retorcidos, ahora está tratando de volar hacia el cielo con |
alitas a la parrilla |
Hubo risas, lágrimas, invierno, verano, recuerdos, así que lloré. |
bajo el aguacero |
Estómago abierto, corazón desgarrado, poner en la licuadora, el resto en PLS |
Accidental era, sentimiento en la vereda, la historia no me escribe, yo, |
escribo mi historia |
Pienso en todos mis errores, pero no hay misterio, empezamos como |
homies, acabamos con los adversarios |
(Todo cambió) |
Básicamente, no había futuro. |
Todo cambió (Todo cambió) |
Básicamente, no había futuro. |
Todo cambió |
(Todo cambió, todo cambió) |
(Todo cambió, todo cambió) |
(Todo cambió, todo cambió) |
(Todo cambió, todo cambió) |
Oh, aterrizó en el mundo en esta ciudad en los años 90 |
Marsella, F-E-L-I-X, Dios me creó para que no me quedara en el bendo |
Mi madre pensó que estaba muy negado, atraído por la mentira, lo negué. |
En la ciudad elasticé los boletos para que no limpies y |
que te rompas la espalda |
La parte de atrás, tengo que sacar la cabeza del agua |
sabia que no estaba en el bendo que iba a hacer los amores |
Oh mamá, sonríe, estoy saliendo de toda esta mierda, mi esposa, mis hijos y |
esquivo |
La cárcel, las drogas, las cárceles, las armas, el boom boom y los allanamientos |
Ahí me salgo de toda esta mierda, trabajo, trabajo, trabajo, escribo |
Quiero que mi niño vea que brillo, que en la escuela le dice |
Tu daron, es un monstruo, cuando vende es una locura (Locura) |
Locura (Locura), locura |
Mira la vida que llevamos, cambié de dominio |
Mi odio, mi dolor en mis venas, tomo todo, corté en las Seychelles |
Todo cambió, tantas sonrisas falsas, límpiame, las voy a pudrir |
No camino, los hago correr, si de verdad te amo, listo para cubrirte. |
Jamás morderé la mano que me quiera dar de comer, a mejores mañanas, |
sin miedo a morir |
La vida anterior es solo un recuerdo, ya no puedo abrirme, ya no quiero sufrir más. |
Eso es bueno para los tímpanos, el corazón late al BPM del tempo |
¿Oyes los gritos debajo del pin-pon? |
Estoy 1−3, honor a la bandera |
Todo cambió cuando llegaron las armas, en mi día nos endeudamos |
luego las fiestas |
Hasta sabemos el destino de las almas, ahora el adversario no acepta |
no más derrotas |
Están los hombres de paz, los fuertes luego los débiles, los celos se ciernen, |
el resentimiento lo precede |
La deshonra y la vergüenza dominan la casa mientras el respeto, bueno, |
lava los platos |
No le des una mierda a tu chico más sabio, más concursos de pollas |
con el más sabio |
Encontrarás tu dignidad en el fondo de la bolsa, no me devuelvas la calle, tengo derecho a |
Cocinando |
La vida no me dio un regalo, ingenioso, tuve que trabajar |
Solo tuve que hacer un torniquete, tal es mi destino, muchacho |
Solo Dios me apoya, he visto horrores, ya nada me sorprende |
No, no he cambiado mi arma larga excepto que todo ha cambiado desde la escuela. |
Fui a la guerra para encontrar la paz, expulsar mis demonios y hacer un balance |
Dejo un sabor amargo de mi pasado, tuve que cortar lazos y ver la distancia |
Escucho los disparos, la calle hace y destruye hombres |
Todos tuvimos un sueño cuando éramos niños, desde entonces todo ha cambiado, |
cada uno tiene sus propias razones |
Viste las huellas en el auto, esas son las puñaladas, oh-oh-oh |
En el mismo océano pero no en el mismo barco, oh-oh-oh |
Hoy cae de la marcha, más sentimientos por el poto, oh-oh-oh |
Ayer éramos inocentes, juntos en la foto, oh-oh-oh |
(Todo cambió) |
Básicamente, no había futuro. |
Todo cambió (Todo cambió) |
Básicamente, no había futuro. |
Todo cambió |
(Todo cambió, todo cambió) |
(Todo cambió, todo cambió) |
(Todo cambió, todo cambió) |
(Todo cambió, todo cambió) |
Nombre | Año |
---|---|
Roule | 2016 |
Mafiosi ft. Soso Maness, JUL, ISK | 2021 |
Oh mon papa ft. Emma Cerchi | 2020 |
Bando ft. JUL | 2020 |
Miami Vice ft. Sysa, DRIME, JUL | 2020 |
Va Bene | 2018 |
Le coach ft. VINCENZO | 2019 |
No me mirès màs ft. Soprano | 2016 |
Les menottes | 2018 |
Bande organisée ft. Kofs, JUL, Naps | 2020 |
Mention Max | 2021 |
Hiro | 2011 |
Youleuh 6 ft. Elams, Kamikaz, Sysa | 2021 |
Pow pow | 2019 |
La bandite | 2019 |
Il est où? | 2021 |
C'est la folie ft. Soprano | 2019 |
Mon précieux | 2016 |
Marrakech Saint Tropez ft. Florin Salam | 2015 |
Blocco ft. Baby Gang | 2024 |
Letras de artistas: Soprano
Letras de artistas: JUL
Letras de artistas: L'Algérino