Información de la canción En esta página puedes encontrar la letra de la canción Boulevard des rêves brisés, artista - Mysa
Fecha de emisión: 23.04.2007
Restricciones de edad: 18+
Idioma de la canción: Francés
Boulevard des rêves brisés(original) |
Là où j’habite tu passes si vite du rêve de gamin aux galères des grands |
Les nerfs à cran, si tu craques tu passes au JT derrière l'écran |
Très peu d’espoir alors on squatte les squares |
On s’laisse croire à une vie meilleure, entube tous les monnayeurs |
Et les mauvais payeurs, si t’as le vice, nous on a le tournevis |
Partage le blé en famille et n’laisse jamais un sou pour le fisc |
Mode de vie dramatique, fait pas face à ma clique, c’est maladif |
Ouais rien qu’des fanatiques, des armes automatiques |
Si t’as des griefs, réfléchis avant d’le dire |
C’est la première règle quand tu grandis dans un stand de tir |
Ici on scande le pire, tous prêts à fumer l’Elysée |
Quand on t’apprend d’la merde, t’as même envie d’brûler les lycées |
On nous a pas à la bonne, et tu vois pas le ras-le-bol? |
L'évasion d’nos parents c’est un téléviseur, une parabole |
Faudrait qu’on s’barre en fuite, pourquoi ça part en cuite |
Le samedi soir dans le hall, dans la merde on est au moins 48 |
C’qui porte la poisse c’est de passer sous l'échelle sociale |
On s’tue, on s’tire dessus, et les gosses dans leur berceau chialent |
Ce soir le panier à salades est encore rempli de frisés |
J’habite un endroit peu prisé, boulevard des rêves brisés |
J’y ai forgé mon état d’esprit et cette avenue c’est ma vie |
T’aurais voulu qu’j’y crève? |
j’en ai rien à foutre de ton avis |
J’réside boulevard des rêves brisés, c’est pour tous les p’tits gamins bronzés |
Qui grandissent sur la route, mes frères frisés |
J’y ai laissé du sang sur le pavé, la vertu côtoie les dépravés |
Les marques d’la vie sur le visage sont gravés |
Lève ta main si t’es la risée d’ta ville, des résidences aux murs grisés |
C’est triste et c’est le boulevard des rêves brisés |
Suis-moi là où les lames de rasoirs t’envoient sagement t’rassoir |
Là où on t’change en passoire et où les gens peuvent pas se voir |
Plus on est de fous, plus on t’pille, plus on t’chie d’ssus |
Pour s’défendre il y a des armes de guerres, rien à foutre du jiu-jitsu |
On est high-tech comme Fujitsu, t’as parlé? |
On l’a vite su |
Résultat sur ton crâne il y avait le fusil d’ssus |
Alors oublie les histoires et si t’es chaud désiste-toi |
Déguise-toi si t’as parlé aux dés-kis |
T’y verras qu’du feu, dans ma vie j’ai vu qu’du béton |
Les seules plages que j’connais c’est celle de mon CD et du ghetto |
Tu sais la vie est simplement c’que tu fais pour des billets |
Ca s’shoote derrière un mur et la BAC s’fait déquiller |
Nous on lit pas l’avenir mais on peut lire le passé sur les visages |
La simple présence de kondés peut faire tache dans notre paysage |
Dikave les quads, les cross passent les dos d'âne les plus hauts d’Europe |
Maîtrise bien ton regard, pour pas qu’ton fion ait plu aux deux rotts |
Regarde ici c’est le rap, la jeunesse n'écoute plus trop de rock |
Et n’importe qui peut te quitter, ouais sache que les putes rôdent dehors |
La rue n’est qu’un mirage, s’en sortir est un miracle |
Tous prisonniers du rêve occidental comme en Irak |
J’y ai forgé mon état d’esprit et cette avenue c’est ma vie |
T’aurais voulu qu’j’y crève? |
j’en ai rien à foutre de ton avis |
J’réside boulevard des rêves brisés, c’est pour tous les p’tits gamins bronzés |
Qui grandissent sur la route, mes frères frisés |
J’y ai laissé du sang sur le pavé, la vertu côtoie les dépravés |
Les marques d’la vie sur le visage sont gravés |
Lève ta main si t’es la risée d’ta ville, des résidences aux murs grisés |
C’est triste et c’est le boulevard des rêves brisés |
Survivre est un art si tu connais pas trop Metz |
T’apprendras rapidement qu’ici l’lendemain n’est pas une promesse |
Capitale des drogues, ça bicrave l’homicide involontaire |
J’suis l’reporter d’la rue, reste à l'écoute quand j’signe un commentaire |
Ça parle et tire dans ton dos, équipe-toi d’un rétroviseur |
Les stups prennent de la coke et corrompus sont les proviseurs |
Ça va pas? |
déstresse ! |
on est équipés et roule en express |
Premier avertissement on t’allume a la fusée d’détresse |
Comme les baveux, le corps chargé, sous héro ou LSD |
Rien qu’en serrant leur main tu risques de pécho une MST |
J’sais d’quoi j’parle, certains m’ont dit: «les putes, on les charme «Et combien de corps inanimés chaque année r’trouvés dans les décharges? |
Ou sont passées les armes du bloc de l’Est? |
Demande aux ressortissants dans les foyers qui ont fourni les blocs de Metz |
Ici il y a trop peu d’mecs sains |
Tu repars avec un carton d’Subutex quand t’allonges 20 euros au médecin |
Regarde la France, similaire à une émission de télé-réalité |
Préfère les dep au rebeu et ça chante Johnny Hallyday |
Ce monde à l’envers ressemble à une descente à l’enfer |
On marche sur le fil de la vie avec des sandales en fer |
Ça passe ou ca casse, et si tu jacasses, oublie tes sarcasmes |
On t’fracasse comme une carcasse, t’envoie dans le mur à la Jackass |
C’est la VRP qui frappe à ta porte |
Sous-estime pas notre arrivée dans l’biz et tout c’que c’putain d’fracas |
t’apporte |
Mate, j’ai la dalle et crève le gent-ar dicave, ma vie r’ssemble à rien |
J’ai pas d’taf, aucun revenu, j’ai la dalle comme un somalien |
Tous capable de tout, donc du pire, méprisé, viens pas m’les briser |
J’habite un endroit peu prisé, boulevard des rêves brisés |
J’y ai forgé mon état d’esprit et cette avenue c’est ma vie |
T’aurais voulu qu’j’y crève? |
j’en ai rien à foutre de ton avis |
J’réside boulevard des rêves brisés, c’est pour tous les p’tits gamins bronzés |
Qui grandissent sur la route, mes frères frisés |
J’y ai laissé du sang sur le pavé, la vertu côtoie les dépravés |
Les marques d’la vie sur le visage sont gravés |
Lève ta main si t’es la risée d’ta ville, des résidences aux murs grisés |
C’est triste et c’est le boulevard des rêves brisés |
(traducción) |
Donde vivo vas tan rápido del sueño de un niño a galeras de adultos |
Nervios de punta, si te crujes vas a las noticias detrás de la pantalla |
Muy poca esperanza, así que okupamos las plazas. |
Nos dejamos creer en una vida mejor, jodemos a todos los acuñadores |
Y vagabundos, si tienes el vicio, nosotros tenemos el destornillador |
Comparte el trigo con la familia y nunca dejes un centavo para el recaudador de impuestos |
Estilo de vida dramático, no te enfrentes a mi camarilla, es enfermizo |
Sí, nada más que fanáticos, armas automáticas. |
Si tienes quejas, piénsalo antes de decirlo |
Esa es la primera regla cuando creces en un campo de tiro. |
Aquí cantamos lo peor, todos listos para fumar el Elysée |
Cuando te enseñamos mierda, incluso quieres quemar las escuelas secundarias |
No estuvimos en el indicado, y no ves el cabreo? |
La fuga de nuestros padres es un televisor, una antena parabólica |
Deberíamos huir, ¿por qué está hirviendo? |
Sábado por la noche en el vestíbulo, cagamos al menos 48 |
Lo que trae mala suerte es pasar por debajo de la escala social |
Nos matamos, nos disparamos, y los niños en su cuna lloran |
Esta noche la canasta de ensaladas sigue llena de rizos |
Vivo en un lugar impopular, bulevar de sueños rotos |
Allí forjé mi estado de ánimo y esta avenida es mi vida. |
¿Te hubiera gustado que muriera allí? |
Me importa un carajo tu opinión |
Vivo en el boulevard de los sueños rotos, es para todos los niñitos bronceados |
Que crecen en el camino, mis hermanos rizados |
Dejé sangre en el pavimento, la virtud se encuentra con los depravados |
Las marcas de vida en la cara están grabadas. |
Levanta la mano si eres el hazmerreír de tu ciudad, residencias con paredes grises |
Es triste y es el bulevar de los sueños rotos |
Sígueme donde las cuchillas de afeitar te envían sabiamente de vuelta a tu asiento |
Donde te conviertes en un colador y la gente no puede verse |
Cuanto más locos estamos, más te saqueamos, más te cagamos |
Para defenderse hay armas de guerra, nada que ver con jiu-jitsu |
Somos de alta tecnología como Fujitsu, ¿lo mencionaste? |
rápidamente aprendimos |
Resultado en tu cráneo estaba el arma arriba |
Así que olvida el alboroto y si retrocedes |
Vístete si hablaste con los dados |
Solo veras fuego, en mi vida solo he visto concreto |
Las únicas pistas que conozco son las de mi CD y el gueto |
Sabes que la vida es solo lo que haces por boletos |
Está disparando detrás de una pared y el BAC queda fuera de combate. |
No leemos el futuro pero podemos leer el pasado en las caras |
La mera presencia de kondés puede manchar nuestro paisaje |
Dikave los quads, los cruces pasan los badenes más altos de Europa |
Controla bien tu mirada, para que tu culo no guste a los dos podridos. |
Mira aquí es rap, la juventud ya no escucha mucho rock |
Y cualquiera puede dejarte, sí, conoce las azadas que merodean afuera |
La calle es solo un espejismo, salir es un milagro |
Todos prisioneros del sueño occidental como en Irak |
Allí forjé mi estado de ánimo y esta avenida es mi vida. |
¿Te hubiera gustado que muriera allí? |
Me importa un carajo tu opinión |
Vivo en el boulevard de los sueños rotos, es para todos los niñitos bronceados |
Que crecen en el camino, mis hermanos rizados |
Dejé sangre en el pavimento, la virtud se encuentra con los depravados |
Las marcas de vida en la cara están grabadas. |
Levanta la mano si eres el hazmerreír de tu ciudad, residencias con paredes grises |
Es triste y es el bulevar de los sueños rotos |
La supervivencia es un arte si no conoces muy bien Metz |
Aprenderás rápidamente que aquí el día siguiente no es una promesa. |
Capital de las drogas, bicraves homicidio |
Soy el reportero de la calle, estén atentos cuando firme un comentario. |
Habla y dispara tu espalda, consigue un espejo retrovisor |
Los estupefacientes toman coca y los principales son corruptos |
¿No estoy bien? |
desestresarse! |
estamos equipados y manejamos en expreso |
Primera advertencia te iluminamos con la bengala de socorro |
Como los droolers, el cuerpo cargado, en héroes o LSD |
Con solo darle la mano te arriesgas a contraer una ETS |
Ya se de lo que hablo, algunos me han dicho: "putas, las encantamos" ¿Y cuantos cuerpos inanimados se encuentran en los vertederos cada año? |
¿Adónde han ido las armas del bloque del Este? |
Pregunte a los nacionales en los hogares que proporcionaron bloques de Metz |
Aquí hay muy pocos chicos sanos. |
Te vas con una caja de Subutex cuando mientes 20 euros al médico |
Mira Francia, similar a un reality show de televisión |
Prefiero el dep al árabe y canta Johnny Hallyday |
Este mundo al revés se siente como un descenso al infierno |
Caminamos el hilo de la vida con sandalias de hierro |
Hazlo o rómpelo, y si hablas, olvida tu sarcasmo |
Te aplastamos como un cadáver, te enviamos a la pared a la Jackass |
Es el VRP llamando a tu puerta |
No subestimes nuestra llegada al negocio y todo ese jodido ruido. |
te trae |
Compañero, tengo la losa y muero el gent-ar dicave, mi vida se parece a nada |
No tengo trabajo, ni ingresos, tengo la losa como un somalí |
Todos capaces de cualquier cosa, así que los peores, despreciados, no vengan a romperlos por mí. |
Vivo en un lugar impopular, bulevar de sueños rotos |
Allí forjé mi estado de ánimo y esta avenida es mi vida. |
¿Te hubiera gustado que muriera allí? |
Me importa un carajo tu opinión |
Vivo en el boulevard de los sueños rotos, es para todos los niñitos bronceados |
Que crecen en el camino, mis hermanos rizados |
Dejé sangre en el pavimento, la virtud se encuentra con los depravados |
Las marcas de vida en la cara están grabadas. |
Levanta la mano si eres el hazmerreír de tu ciudad, residencias con paredes grises |
Es triste y es el bulevar de los sueños rotos |