Información de la canción En esta página puedes encontrar la letra de la canción Avant de partir, artista - Niro. canción del álbum OX7, en el genero Иностранный рэп и хип-хоп
Fecha de emisión: 06.07.2017
Restricciones de edad: 18+
Etiqueta de registro: ambition
Idioma de la canción: Francés
Avant de partir(original) |
Hé, mentalement emprisonné même pour les plus honnêtes |
Y a pas qu’dans mes cauchemars qu’j’entends les balles résonner |
Tu trahis mon orgueil, j’ai du mal à t’pardonner |
Quand j’reçois trop d’amour, j’ai du mal à en donner |
J’prends sur moi, déguise mes soucis, fais semblant d’rigoler |
Quand j’pète les plombs, ils sont choqués, m’regardent d’un air étonné |
Personne n’est parfait, pourquoi j’les regarderais d’un air désolé |
Du sol au sommet, j’ai mes défauts, mes gars pour m'épauler |
Quelques années d’carrière derrière, là, j’ai repris les devants |
Toutes ces années pour être rabaissé à une semaine de vente |
J’en veux plus aux médias d’jamais nous soutenir, c’est bon |
Ils m’ont jamais promis, si mes souvenirs sont bons |
Mes fils pleurent quand j’franchis la porte, j’repars au charbon |
Papa n’est pas mauvais mais papa n’est pas bon |
Au début, on est pur, on grandit, on l’est plus |
Si demain, j’disparais, j’aurais fait c’que j’ai pu |
J’suis rré-bou, j’ai trop bu, j’suis debout, j’suis têtu |
Tu m’appelles, j’réponds plus, fils de pute, j’suis déçu |
J’me débrouille, j’fais mes thunes, tu m’censures, habitude |
J’ressens tout, je titube, du sang sur le bitume |
J’frime pas même si mon fils est plus riche que ton père |
J’ai moins d’mal à faire tomber ces salopes que mon verre |
J’transforme le temps en oseille, voilà c’que j’préfère en faire |
Y aura toujours assez d’place pour tous les hagar en enfer |
J’encule la ligue, on m’parle déjà du prochain transfert |
Le rap français tapine entre Amsterdam et Anvers |
Obligé d’faire la guerre, j’encule tes promesses de paix |
Si j'écoute mon ange de gauche, j’prends perpét' sans remise de peine |
Va t’faire enculer, c’est pas l’heure des gentillesses |
Trop terre-à-terre, y a trop d’affaires à faire en dièses |
Tu crois qu’t’es un voyou, toi, tu cherches de l’estime |
J’vais t’en ramener des vrais, tu vas parler la langue des signes |
J’suis pas dans leur délire, clair, net, et précis |
Tu pensais nous éteindre, nous, c’est la rue, imbécile |
J’suis pas dans leur délire, clair, net, et précis |
Tu pensais nous éteindre, nous, c’est la rue, imbécile (haha) |
Hé, avant d’partir, hé |
C’est p’t'être mon dernier titre (peu importe c’que ça apporte) |
Peu importe c’que ça apporte |
Dire c’que j’ai à dire |
Avant qu’la mort frappe à ma porte |
C’est p’t'être mon dernier titre |
Peu importe c’que ça rapporte |
J’vais dire c’que j’ai à dire |
Avant qu’la mort frappe à ma porte |
J’ai essayé d’faire le bien, c'était chaud |
Elle était froide la che-dou |
J’partage mes peines qu’avec moi-même |
Le haram m’a fait les yeux doux |
J’demande pardon à mes proches |
J’ai besoin d’partir |
J’suis pas heureux ici, la mort m’aura avant d’me repentir |
Chaque fois qu’je fais confiance, j’essuie mes pieds sur un tapis propre |
J’m’en suis voulu à chaque fois qu’j’me suis méfier d’mes amis proches |
Si tu m’aimes pas, ma3rlich |
Si tu m’aimes, c’est réciproque |
Il est temps d’faire de l’oseille |
Que tous ceux qu’j’apprécie croquent |
J’vis pas dans les normes mec |
J’ai déjà rêver qu’j’dormais |
J’suis mort-né |
J’accepte mes torts |
Mais des fois, j’suis borné |
J’avoue, j’suis pas toujours rester droit |
Surtout quand j’ai déversé ma haine en format MP3 |
Le jour de joumou3a, sous tension, je suis passé au prétoire |
J’attend que ces fils de putes viennent pour me dicter mes droits |
On m’a dit «T'es la pourquoi ?», j’ai répondu «J'suis là pour toi !» |
Niro t’inquiète pas baise les tous on sortira tous après toi |
Je dis pas toujours ce que je pense |
Pour pas faire du mal mais wallah, si tu savais mon parcours |
T’aurai mal de me voir là |
Laisse la pitié pour les chiens |
J’ai de l’amitié pour les miens |
Faut pas si fier, je connais bien |
Y’en a c’est v’la les comédiens |
A part les vrais le reste je le baise |
En brochette je serai déjà loin |
De ce rap de zoulouss, j’avais pris un gros chèque |
Hachek, que dieu me pardonne j’ai gâcher ma vie |
Que dieu me pardonne de faire le haram |
D’avoir vendu du shit des armes sans peur que ça vire au désastre |
Que dieu me pardonne de faire cette musique |
Je le fais pour nourrir mes proches |
M'écarter d’l’illicite, pourquoi pas me remplir les poches |
Des fois je suis perdu comme je t’ai dit auparavant |
Paraplégique mon premier album, mental de hessler |
J’ai pas pris d’avance avant de fermer la parenthèse |
Le rap ça pue sa mère la pute, y’as pas d’oseille petit frère |
Va faire du foot ça paieras plus |
J’ai des connaissance dans la droiture, d’autres dans le trafic de drogue dur |
Ceux dans la droiture sont en hess, les trafiquants recomptent leur fortune khey |
J’ai connu des meufs hlel, j’ai reconnu les impostures |
Les grosses kehba déguisées, cachées derrière un costume |
Un traître ça se reconnait pas à ses joies mais à ses colères |
Sous la haine, les mots font mal faut savoir les contrôler |
Si t’es mon pote on est ensemble tu peux avoir confiance |
Je parlerai pas en mal en toi j’ai les même amis d’enfance |
Mon pote Koro m’a dis «Poto, qu’est ce qu’on va devenir ?» |
J’ai répondu «T'inquiètes insh’Allah ça pourrait pas être pire |
On prend d’l'âge t’as eu un gosse masha’allah |
Ton fils s’appellera Imrane il est despi soubhan allah |
Tu te rappelles quand tu m’as vu en garde a vu |
J'étais là bas pour toi je serai toujours ton frère |
Ma réussite seras la même pour toi |
Ya rebi el aàlamine j’ai mal au fond de moi |
Je me sent pas propre je ressent l’enfer chaque jour que la mort approche |
ici-bas |
Khey mes faiblesses m’on eut |
Je suis mort sans avoir vécu |
J’ai passé mon temps a vesqui |
A nous trouver des excuses |
On aime pas les responsabilités dans nos ghettos |
Y’en a toujours un qui veut une plus grosse part sur le gâteau |
Pourquoi tu m’aimes pas fils de pute, je t’ai jamais rien fait |
J’suis un enfant d’la sère-mi |
J’connais ses défauts, j’connais ses bienfaits |
Mama, j’te remercierais jamais assez |
J’ai grandi, ça m’manque le temps où tu m’enlaçais |
Depuis qu’les non-dit sont dit |
Il est temps qu’on s’pardonne |
Wallah, j’ai mal chaque jour que Dieu fait sur Terre |
Il m’faut qu’tu m’crois Mama, j’t’aime encore plus que moi-même |
Ma sœur, c’est la meilleure, mashallah j’suis fière d’elle |
Et même si j’suis pas souvent là, j’serais jamais très bien loin d’elle |
J’la préserve comme la prunelle de mes yeux |
Et j’sais qu’elle va pas s’en remettre quand j’vais retourner dans les cieux |
Mashallah, elle est pieuse |
Dans le ghetto, personne la voit |
Elle sort pas, celui qui la voudra sera prêt à perdre sa vie pour l’avoir |
Zoulou |
Une spéciale à tous les quartiers d’France |
A tous les frères enfermés |
Libérez Moha Ti chacal |
À Jihad et Wahid |
C’est la fin du game |
C’est la fin d’l’album |
(traducción) |
Oye, mentalmente encarcelado hasta para los más honestos |
No es solo en mis pesadillas que escucho balas sonando |
Traicionas mi orgullo, me cuesta perdonarte |
Cuando recibo demasiado amor, me resulta difícil dar |
Lo asumo, disfrazo mis preocupaciones, pretendo reír |
Cuando me asusto, se sorprenden, me miran con asombro. |
Nadie es perfecto, ¿por qué los miraría con aire de pena? |
Desde el suelo hasta la cima, tengo mis defectos, mis muchachos para apoyarme |
Unos años de carrera atrás, ahí tomé la delantera |
Todos estos años para ser degradado a la venta de una semana |
Estoy más enojado con los medios por apoyarnos, es bueno |
Nunca me prometieron, si mal no recuerdo |
Mis hijos lloran cuando cruzo la puerta, vuelvo al carbón |
Papá no es malo pero papá no es bueno |
Al principio somos puros, crecemos, somos más |
Si mañana desaparezco, habría hecho lo que hubiera podido. |
Soy rré-bou, bebí demasiado, estoy despierto, soy terco |
Me llamas, ya no contesto, hijo de puta, estoy decepcionado |
Me las arreglo, gano mi dinero, me censuras, hábito |
Siento todo, me tambaleo, sangre en el asfalto |
No presumo aunque mi hijo sea más rico que tu padre |
Tengo menos problemas para derribar a estas perras que mi bebida |
Convierto el tiempo en acedera, eso es lo que prefiero hacer con él |
Siempre habrá suficiente espacio para todos los hagars en el infierno |
A la mierda la liga, ya me están avisando del próximo traspaso |
El rap francés flota entre Ámsterdam y Amberes |
Obligado a ir a la guerra, jodo tus promesas de paz |
Si escucho a mi ángel de la izquierda, me quito la vida sin pena. |
Vete a la mierda, no es el momento para la amabilidad |
Demasiado realista, demasiado negocio para hacer en objetos punzantes |
Te crees un matón, buscas estima |
Te traeré los reales, hablarás lenguaje de señas |
No estoy en su delirio, claro, limpio y preciso |
Pensaste que nos estabas apagando, somos la calle, tonto |
No estoy en su delirio, claro, limpio y preciso |
Pensabas que nos apagabas, somos la calle, pendejo (jaja) |
Oye, antes de irte, ey |
Este puede ser mi último título (lo que sea que traiga) |
No importa lo que traiga |
Di lo que tengo que decir |
Antes de que la muerte toque a mi puerta |
Este puede ser mi último título. |
No importa lo que traiga |
diré lo que tengo que decir |
Antes de que la muerte toque a mi puerta |
Traté de hacerlo bien, hacía calor |
ella tenia frio el che-dou |
Comparto mis penas solo conmigo mismo |
El haram me hizo lucir dulce |
pido disculpas a mis familiares |
Necesito irme |
No soy feliz aquí, la muerte me alcanzará antes de que me arrepienta |
Cada vez que confío, limpio mis pies en una alfombra limpia |
Me culpé cada vez que sospechaba de mis amigos cercanos. |
Si no me amas, ma3rlich |
si me amas es mutuo |
Es hora de hacer un poco de acedera |
Que todos aquellos a los que aprecio crujen |
Yo no vivo en el hombre de los estándares |
ya soñé que dormía |
yo nací muerto |
acepto mis errores |
Pero a veces, estoy limitado |
Lo admito, no siempre me mantuve recto |
Especialmente cuando derramé mi odio en formato MP3 |
El día de joumou3a, bajo tensión, fui a la sala del tribunal |
Estoy esperando a que vengan estos hijos de puta a decirme mis derechos |
Me dijeron "¿Por qué estás ahí?", Le respondí "¡Estoy aquí para ti!" |
Niro, no te preocupes, que se jodan todos, todos saldremos tras de ti. |
No siempre digo lo que quiero decir |
No es por lastimar pero wallah, si supieras mis antecedentes |
Te dolerá verme allí |
Deja lastima a los perros |
tengo amistad para los mios |
No seas tan orgulloso, lo sé bien. |
hay comediantes |
Aparte de los reales el resto me la jodo |
Como un pincho ya estaré lejos |
De ese rap Zulu, tomé un cheque gordo |
Hashek, Dios me perdone, desperdicié mi vida |
Dios me perdone por hacer haram |
Por vender hachís sin miedo a que se convierta en un desastre |
Dios me perdone por hacer esta musica |
Lo hago para alimentar a mis seres queridos. |
Aléjate de lo ilícito, por qué no llenarme los bolsillos |
A veces estoy perdido como te dije antes |
Parapléjico mi primer disco, hessler mental |
No tomé una iniciativa antes de cerrar el paréntesis. |
El rap apesta a su madre la perra, no hay hermanito alazán |
Ve a jugar al fútbol, pagará más. |
Tengo conocidos en la rectitud, otros en el tráfico de drogas duras |
Los de rectitud están en hess, los traficantes cuentan su fortuna khey |
Conocí a las chicas hlel, reconocí las imposturas. |
El gran kehba disfrazado, escondido detrás de un traje. |
A un traidor no se le reconoce por sus alegrías sino por su ira |
Bajo el odio las palabras duelen hay que saber controlarlas |
Si eres mi homie estamos juntos puedes confiar |
No voy a hablar mal de ti tengo los mismos amigos de la infancia |
Mi amigo Koro me dijo "Poto, ¿en qué nos vamos a convertir?" |
Respondí: "No te preocupes, insh'Allah, no podría ser peor". |
Nos estamos haciendo viejos tuviste un hijo masha'allah |
Tu hijo se llamará Imrane él es despi soubhan allah |
¿Recuerdas cuando me viste en custodia vio |
estuve ahi para ti siempre sere tu hermano |
Mi éxito será el mismo para ti. |
Ya rebi el aàlamine me duele por dentro |
No me siento limpio, siento el infierno todos los días, la muerte se acerca. |
aquí abajo |
Khey mis debilidades me tienen |
morí sin haber vivido |
Pasé mi tiempo en vesqui |
Para darnos excusas |
No nos gustan las responsabilidades en nuestros guetos |
Siempre hay alguien que quiere una porción más grande del pastel |
Porque no me amas hijo de puta, yo nunca te hice nada |
Soy un hijo del sère-mi |
Conozco sus defectos, conozco sus beneficios. |
Mamá, nunca podría agradecerte lo suficiente |
Crecí, extraño la época en que me abrazabas |
Ya que lo no dicho se dice |
es hora de perdonar |
Wallah, me duele cada día que Dios hace en la Tierra |
Necesito que me creas mamá, te amo incluso más que a mí mismo |
Mi hermana es la mejor, mashallah estoy orgulloso de ella |
E incluso si no estoy allí a menudo, nunca estaré muy lejos de ella. |
La conservo como la niña de mis ojos |
Y sé que no lo superará cuando vuelva a los cielos |
Mashallah, ella es piadosa |
En el gueto nadie la ve |
No sale, el que lo quiera estará dispuesto a perder la vida por tenerlo |
zulú |
Un especial a todos los distritos de Francia |
A todos los hermanos encerrados |
Chacal libre de Moha Ti |
A Jihad y Wahid |
es el final del juego |
es el final del album |