Información de la canción En esta página puedes encontrar la letra de la canción Bustour, artista - Alpha Wann. canción del álbum Alph Lauren, en el genero Иностранный рэп и хип-хоп
Fecha de emisión: 19.01.2014
Restricciones de edad: 18+
Etiqueta de registro: Don Dada
Idioma de la canción: Francés
Bustour |
En hiver je ne vois plus le jour |
Contrairement aux autres j’quitte le stud pour le bus tour |
Est, Ouest, Nord, Sud, toute la France et l’espace francophone |
Jeans et jupes courtes bien sûr qu’les uc bougent |
Il faut qu’j’honnore tous ces contrats |
Prendre des sous, c’est le combat |
J’arrive dans le tour bus, première question: «Où est ce qu’on va? «Nique ce tracassé, ça reste de la pure passion |
Chacun des passagers vaque à ses occupations |
J’ai mal dormi, j’suis un peu fracassé |
Au studio ça s’est mal passé, juste à cause d’une panne d’ordi |
Ce soir ce sera blindé de poufs, ça chille relax dans la salle |
Jusqu'à ce qu’un mec de France Inter vienne et nous interviewe |
Quelques magazines, une télé et quelques blogs |
Tu sais c’est pas facile pour m’aider je pète quelques XXX |
Jaz, Flamme, 'Gram, Sneazz', Flingue puis Fonk' assurent le spectacle |
Comme des putains d’nains qui jonglent |
Je sais qu’c’est la vitre du bus mais j’imagine une baie vitrée |
J’ai le nez d’vant, encore en train d’effriter |
Je ne sais pas vivre sainement, je regarde dehors |
Le teu-teu me porte, il m’reste que deux clopes |
En hiver je ne vois plus le jour |
Contrairement aux autres j’quitte le stud pour le bus tour |
Est, Ouest, Nord, Sud, toute la France et l’espace francophone |
Jeans et jupes courtes bien sûr qu’les uc bougent |
Spliff au bec, j’gratte pas d’discothèques |
Les kilomètres passent, c’est la nuit qu’j’opère |
Car j’suis insomniaques et il faut qu’j’tue le temps |
J’commence à m’inquiéter vu qu'à cause de la chronique |
Et bien ma putain d’nuque tremble |
Et j’ai promis à ma gow d’aller chez le médecin |
Mais t’sais les hostos et oim c’est comme les Yankees et les Mets |
Ou le Real et l’Atletico |
J’devais appeler Bigo-Ber Deen mais j’ai illico zappé |
Vu qu’on a sabré l’Clic"et le Chandon |
D’habitude j’bois pas mais là j’suis grave pompette |
J’pense à mon pèze et à mon père, comment va le pays? |
Il n’y a rien d’attrayant si tu n’es pas président |
Ou que tu ne portes pas le treillis |
Mais bon ça s’améliore, Saah Allah, demain sera mieux (Saah Allah) |
Pour moi Zion c’est en Guinée, la terre de mes aïeux |
La Guinée c’est comme, le Mali, l’Sénégal |
Par contre là-bas c’est mieux, chez nous c’est le quart-monde |
J’emmerde le r’frain |
Là-bas à l'école y a pas de livres qui traînent |
Mais les militaires ont les meilleurs flingues |
Y a pas d'électricité et t’es au courant qu’y a pas d’eau courante |
Mais il fait beau tout le temps, va visiter, han |
J’te l’ai dit ça s’améliore, quand j’serai casé |
J’irai au bled, chez moi, par périodes |
Le spliff j’l'écrase, il a finit par me mettre à terre |
Dans mon crâne des cratères |
Faut qu’j’dorme pote il m’reste des kilomètres à f. faire |
Il m’reste des kilo. mètres à f. Putain, *Tchiiip* |
En hiver je ne vois plus le jour |
Contrairement aux autres j’quitte le stud pour le bus tour |
Est, Ouest, Nord, Sud, toute la France et l’espace francophone |
Jeans et jupes courtes bien sûr qu’les uc bougent |
Je sais qu’c’est la vitre du bus mais j’imagine une baie vitrée |
J’ai le nez d’vant, encore en train d’effriter |
Je ne sais pas vivre sainement, je regarde dehors |
Le teu-teu me porte, il m’reste que deux clopes |