Información de la canción En esta página puedes encontrar la letra de la canción 15 flows, artista - Sango. canción del álbum Juvénile, en el genero Иностранный рэп и хип-хоп
Fecha de emisión: 04.02.2014
Etiqueta de registro: Believe
Idioma de la canción: Francés
15 flows |
Étant petit j’ai jamais voulu être un fou de la tess |
J’voulais qu'à chaque fois que j’ouvre la bouche tu bouges la tête |
J’suis devenu père de famille en oubliant l’bout de latex |
Et j’deviens dingue quand j’ai un stylo entre le pouce et l’index |
J’ai lu vos protocoles, j’commets des holocaustes horribles |
Devenu claustrophobe à cause de trop grosses phobies |
Dans ton iPod, j’me suis introduit |
J’voulais être un pro du Hip-Hop, j’ne suis qu’un produit |
J’ai liquidé les tocards qui disaient qu’ils étaient potables |
J’pouvais pas faire quoi que ce soit |
Sans vous présenter mes soldats |
Parait-il le Rap est mort, j’viens mettre la musique enceinte |
J’ai pas qu’un flow, enfin, j’en ai qu’un mais j’le divise en 15 |
Ça fait un bail que j’suis dans ce Rap Jeu |
Et j’ai compris que j’aurais pas tout c’que je veux |
Depuis qu’on juge un MC à sa coupe de cheveux |
J’parle peu mais n’en pense pas moins |
Mon offense n’est pas loin |
Marre d’entendre des babouins, faut l’effacer par le feu |
S-A-N-G-O, K-E-M-A pour 15 flows |
C’est plein d’fauves qui ont faim d’trop |
Qui n’ont rien d’autre que de l’info |
Pour le 7.5.0.1.8, j’pose mes lignes |
Cause délit, gros débit, poses tes billes quand le boss médite |
J'écris un énième texte, j’suis le boss |
Y’a pas photo comme au 16ème siècle |
Mes gars détiennent technique |
Les ondes hertziennes pètent, j’me dois de rester l’maître |
Donc j’blesse avec des textes qu’atteignent l’Everest |
Prends ces 15 flows comme une galerie d’art |
J’use de mon pinceau même les samedis soirs |
Un tas de rimes qui marquent l’histoire |
L’avenir j’fais pas que d’y croire, je vois le miroir |
Donc j’amenuise mon mal de vivre en cas de victoire |
J’compte plus les heures à tracer dans la foule, à rincer sans amour |
Et sans un sou, oui ! J’me paye le luxe de cracher dans la soupe |
Mais te fais pas de bile, quand j’attrape ce mic' |
T-T-T'attrapes le trac car j’te parle de ma vie |
Dans une musique unique, unique et furtive |
Donc approche et tends l’oreille |
Crois en la parole d’un Gavroche des temps modernes |
Qui préfère prendre l’air que prendre la poussière et faire le sourd |
Ce monde est une question dont j’aimerais faire le tour |
Pas de coup d’pouce, on s’pousse tous |
Dans une course poursuite vers le gouffre |
Silence, j'écris car j’ai dû purger mes peines |
Partir en vrille c’est vouloir briller, s’brûler les ailes |
Névrotique, mec, j’ai des airs nocifs et presque autiste |
Et j’reste vrai, j’blesse les faux types |
Textes explosifs, voire fautifs ça tout Paris en rêve |
Et pour toucher l’sommet, j’fous toute ma vie en l’air |
Hum, j’ai toujours du mal à rentrer dans les cases |
Quand j’entends mon nom dans leurs bouches |
J’ai qu’une envie c’est d’changer d’blaze |
J’rate toujours les bons moments pendant que j’attends l’extase |
Trop d’jalousie, j’hésite à faire semblant d'être naze, hum |
Ton ingé son fait semblant d’brancher l’casque |
Nouvelle école, on va t’changer d’classe |
15 flows, ça vend trop d’talent vocalement |
Prends ton pied, donne ta jambe |
J’suis un putain d’génie frotte ma lampe |
On crache chacun notre tour, lyrical bukkake |
15 flows et tes nymphos repartent la bouche plâtrée |
Trouve mes goonies sur Youjizz ou sur Booska-P |
Viens dans mes Stan, dans mes Jordan ou dans mes Shoes AP |
Moi, j’rappe français comme une blanquette de veau |
Et j’prends des vacances à Valence quand j’suis en dèche de flow |
Toujours en loup, toujours en woof, toujours en quête d’euros |
Frelot, mon Rap t’irrite comme la branlette de trop |
Got it in the bla-bla deep in my soul |
Got it in the bla-bla writing it the wall |
God bless, yes got it in the flesh |
Thanks to my mother she always give me the best |
Nouveau buzz, nouveau titre 1−2 1−2 v’là l'équipe |
Nouveau meurtre sur le beat 22−22 v’là les flics |
J’ai pas de fric, pas de clip, peu de promo, pas de sticker |
Mais en 20 secondes chrono, bluffe tous les pronostiqueurs |
Ex-fils de prolo, j’vise le gros lot, explique-leur |
Lyrics impérissables, j’suis un véritable kickeur |
Et j’mène ma guérilla, style impérial dis-leur |
Qu’il y a plus à craindre de moi que d’un serial killer |
OK ! D-I-S-I-Z |
Mon flow c’est une tondeuse, te mets la boule à zed |
Les MC’s s’prennent pour Indiana Jones |
À la recherche du flow perdu, galèrent quand ils posent |
Disiz Steven Spielberg effets spéciaux |
Je rappe en 3D, j’ai le pop-corn flow |
Et j’en ai 15 comme Sango, Vietnam, John Rambo ! |
Le leur gluant gombo c’est du porc tranche de jambon, hey ! |
Tu veux du flow? T’as tapé à la bonne porte |
J’vais t’parler de mes tarés tous entamés à la bonne dope |
Paré dans les zones chaudes, tu parles de crédibilité |
Garde ta débilité, j’suis passé par la Sorbonne |
Cramé comme les Golgoths, j’opère à temps plein |
D’Auber à Pantin et tu m’as peut-être croisé dans les transports |
Affamé, j’arrive en force fait baliser ton club d’homos |
J’suis comme ton dealeur: j’ai la qualité pour seule promo |
On m’a dit 15 flows donc je m’infiltre doucement |
Le groove me hante, Y-A-N-S, mais il vient d’où ce man? |
La vibe c’est pas d’obliger d’suivre le mouvement |
Simplement une bouffée d’air fraîche lorsque le souffle manque |
Alors man, reste tranquille, mes racines resplendissent |
Dis-moi, mais qu’est ce t’en dis du négro des tropiques? |
Mes punchlines estropient, ouais poto, j’aime trop l’risque |
Tes serments m’donnent mal au crâne donc cesse ton speech |
Revoilà l’homme aux 1000 et 1 flows, donc passe-leur l’info |
J’ai rendu pas mal de ces jeunes filles nymphos |
Donc j’me place dès l’intro, impro |
J’ai des phases, j’en ai bien d’trop |
Les fans t’oppressent chaque fois que les miens posent |
Crois-moi c’est pour bientôt |
Qu’les bails arrivent, qu’les projets s’imposent |
Y a rien à faire avec ça, j’suis en symbiose |
15 flows et rien d’faux juste avant que la bombe n’implose |
Qu’les keufs arrivent, qu'ça pète et qu’les voisins causent |
Si les poulets parlent trop bastos, j’ai pas d’stups |
Mais sur l’net, ils sont tous accros d’ma dope |
Mort vulgaire à tous ces chards-clo qui rappent faux |
Tu sais que j’ai le budget Ralph Lau' dans mon cash flow |
Je reste l'élu, tu vas croire qu’il pleuvait des mesures |
À partir du moment où t’as pressé «lecture» |
Marre de m’geler les burnes, j’ai flairé le truc |
Donc je tabasse le beat comme s’il m’devait des thunes |
Mettez les gosses à l’abri |
C’est la grosse calamité que l’on appelle le Nekflamme |
Le seul de la planète Namek qui deviendra le maître d’arme |
Mais nan, mec, tu ne peux pas me la mettre |
Surtout depuis que l’on a le label |
Arrête de me parler d’armes, tu vois les RG XXX |
Je m’amène dans l’arène, j’te dis pas comment ça m’a forgé |
Les gros requins plein d’pots de vin commencent à m’approcher |
Mais nique ça, ça fait plaisir, Cas de Conscience quoi de neuf? |
À part mon sang, on est ensemble, comme ça on s’sent moins seul |