| Mon flow, mon swing te rentrent dans l’uc comme un string |
| Les meufs trouvent que j’suis bon, moi qu’elles sont bonnes |
| Après quatre albums, j’les (hmm) comme Al Capone |
| Poupée c’est Flex Busta ou Flex Baba |
| Ouvre bien tes oreilles comme Babar, j’suis hip-hop resta |
| Si t’as pas les boules et le manche qu’est-ce tu fous dans c’putain d’game |
| Tu penses ramasser mes tunes sans qu'ça pose aucun problème |
| J’te crache dessus négro j’te marche dessus |
| Tous tes fans qui croyaient qu’t'étais bon sont grave déçus |
| J’fais des beats qui excitent la street, t’as besoin de bibi |
| Vite, je prends mon Bic, le mic et je m’applique grave |
| Tu pues la défaite, pars en retraite, bats en retraite |
| Moi, pour niquer les grosses têtes j’m’applique grave |
| Gardav le leustav et XXX, t’es pas assez XXX quand j’joue les rowsfav |
| Le temps qu’tu décodes ça, j’serai déjà dans mon cercueil |
| À attendre que l’diable me roule un deux-feuilles |
| Pourquoi tu veux m’porter l'œil? J’brille et ça t’aveugle |
| Plus qu’une paire de Air Force One blanches toute neuve |
| Dans la rue les kiffeurs me check, moi-même j’les check |
| C’est pour eux qu’j’ai fait Nuff Respect et mes mixtapes |
| Les meufs trouvent que j’suis bon, moi qu’elles sont bonnes |
| Après quatre albums, j’les (hmm) comme Al Capone |
| Mon phone fait (dring!) ma chaîne en argent fait (bling!) |
| Mon flow, mon swing te rentrent dans l’uc comme un string |
| Les meufs trouvent que j’suis bon, moi qu’elles sont bonnes |
| Après quatre albums, j’les (hmm) comme Al Capone |
| Poupée c’est Flex Busta ou Flex Baba |
| Ouvre bien tes oreilles comme Babar, j’suis hip-hop resta |
| J’ai vu un tas d’négros partir en vrille |
| À force de courir après des tass' qui elles-mêmes courent après tout c’qui |
| brille |
| J’ai vu des vrais négros tomber dans la colle |
| Tomber dans l’alcool, les narines ouvertes pour tomber dans la drogue |
| Les négros me font d’la peine à gaspiller leur salive |
| À payer des verres à des putes qui les zappent quand j’arrive |
| Dans ta gueule négro (rrrha), dans ta chatte négro |
| On s’en bat les couilles, on s’en branle, on s’en tape négro |
| Ils veulent me voir au fond d’une tombe |
| Avec des vers bouffant ma cervelle ou bien le cou au bout d’une corde |
| J’ai la rage comme un clébard, les négros veulent me ber-bar |
| Ils fumeront à ma santé à mon départ |
| Les bâtards, comme ces chiennes qui ont les dents longues |
| Elles aiment les crapules, pas les mecs normaux qui opèrent dans l’ombre |
| Pas d’temps à perdre avec ces minettes qui couinent |
| Jouissent comme des petites gouines, tu seras jamais ma queen |
| Tu changes de code PIN comme tu changes de coup d’pine |
| Tu traînes qu’avec des mecs pour qu’ils lâchent leurs copines |
| Pas d’temps à perdre avec une (ding!) coincée |
| Ou une (zou!) parfumée qui cache une (tsong!) froissée |
| T’as déroulé du câble, hein, mangé du sable, hein |
| Pour que dalle, t’emballes, tu passes à table, hein |
| J’suis pas assez foncedé pour lever mon verre à la tienne |
| Et puis j’suis pas assez en chien pour aller renifler une chienne |
| Les meufs trouvent que j’suis bon, moi qu’elles sont bonnes |
| Après quatre albums, j’les (hmm) comme Al Capone |
| Mon phone fait (dring!) ma chaîne en argent fait (bling!) |
| Mon flow, mon swing te rentrent dans l’uc comme un string |
| Les meufs trouvent que j’suis bon, moi qu’elles sont bonnes |
| Après quatre albums, j’les (hmm) comme Al Capone |
| Poupée c’est Flex Busta ou Flex Baba |
| Ouvre bien tes oreilles comme Babar, j’suis hip-hop resta |