| Les keufs descendent chez toi
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| Pour retourner chez toi
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| Ils m’disent ici c’est la France, négro tu peux retourner chez toi
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| Chez toi, chez toi
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| Tu peux retourner chez toi
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| Ils m’disent ici c’est la France, négro tu peux retourner chez toi
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| C’est pas nous l’insécurité mais la police
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| Ici tout est triste sauf les gosses et leur sourire
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| Tellement d’regrets derrière un soupire
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| La douceur du miel ne me console pas de la piqûre
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| Les oiseaux noirs volent au dessus de nos casquettes, c’est pour ça qu’la vie
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| est dure
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| On n’peut pas revenir sur nos erreurs alors j'écris sans ratures
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| La bravoure parmi les rapiat ça rends vraiment féroce
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| Les keufs d’Auber racistes qui veulent me donner le mauvais rôle
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| J’suis un désertitiste, je fais des loves, je distribue des cahiers
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| Je n’aurais pas pu vendre de la sappe sans ma cage d’escalier
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| Untuched pour habiller le monde entier
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| Personne n’a enquillé sur la route du succès en voiture maquillée
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| Est-ce à mon tour de briller? |
| D'être aux commandes de Starflite?
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| Si la tête est au-dessus du cœur c’est pour qu’le cerveau domine
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| Un gros mental aguerrit, forteresse inattaquable
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| Négro les sorcières ne voient que dalle dans leur boule de cristal
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| Les keufs descendent chez toi
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| Pour retourner chez toi
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| Ils m’disent ici c’est la France, négro tu peux retourner chez toi
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| Sauf que partout c’est chez moi
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| Le ciel est mon seul toit
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| Frérot j’vois trop les choses en grands pour rester à l'étroit
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| La street mon pote, eh non c’est pas les Seychelles
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| Les rescapés, les vaillants ont de profondes séquelles
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| Gun roulette au contrôle, fraternelle mélancolie
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| Toutes les histoires ont une fin, on a vu mourir Wolverine
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| Même si les griffes sont d’acier, j’vais pas déchirer ta robe
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| Salope, tout le monde t’as roulé dessus comme le circuit Carole
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| L’Etat nous met la carotte, on la mange pourtant sans rien dire
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| On a voulu terminer ma carrière car j’en avais trop dis
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| On t’pète vendredi pour être déferré lundi
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| Tu m’portes l'œil comme le regard de Kenzo sur tes habits
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| Oui, j’suis légendaire comme la tête à Basile Boli
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| Socrate dans un gros bolide
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| Seul dans mes soirées torrides
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| Marqué à vie par le deuil, ça rend l’argent obsolète
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| J’regarde même plus derrière moi même si y’a des choses que j’regrette
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| Un gros mental aguerrit, forteresse inattaquable
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| Négro les sorcières ne voient que dalle dans leur boule de cristal
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| Les keufs descendent chez toi
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| Pour retourner chez toi
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| Ils m’disent ici c’est la France négro tu peux retourner chez toi
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| Sauf que partout c’est chez moi
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| Le ciel est mon seul toit
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| Frérot j’vois trop les choses en grands pour rester à l'étroit
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| Général le seul et unique
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| Général le seul et unique
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| La street
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| Les keufs descendent chez toi
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| Pour retourner chez toi
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| Ils m’disent ici c’est la France, négro tu peux retourner chez toi
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| Chez toi, chez toi
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| Tu peux retourner chez toi
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| Ils m’disent ici c’est la France, négro tu peux retourner chez toi
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| Les keufs descendent chez toi
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| Pour retourner chez toi
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| Ils m’disent ici c’est la France, négro tu peux retourner chez toi
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| Chez toi, chez toi
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| Tu peux retourner chez toi
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| Ils m’disent ici c’est la France, négro tu peux retourner chez toi
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| La street mon pote, j’représente quoi qu’il arrive
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| J’suis la pour inspirer les frères pas pour les mener à la dérive
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| J’suis l’général le seul et unique
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| C’est l’général le seul et unique
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| La street |