| J’ai traversé des époques assez rudes, j’ai souvent cherché mon chemin dans la
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| brume
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| Négro, je vois ton cerveau qui serre à chaque fois qu’tu m’vois péter la serrure
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| Oui, j’ai fait les douze travaux d’Hercule, des lions dans l’arène se battent
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| avec moi
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| Secret de famille sous tous les toits, des keufs qui pensent qu’ils ont tous
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| les droits
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| Moi qui crois être au-dessus des lois, je sais qu’un jour, tout le monde se
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| réveille
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| Ils en voudront à leur rappeur préféré de les avoir plongé dans un long sommeil
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| Si l’Général se laisse aller, demain, nos yeux seront salés
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| Même cagoulé devant le sang coulé pour de sales histoires, ça m’a saoulé
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| Pour être honnête, c’est le travail qui paye et qui mène au sommet
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| Vrai ou pas, j’suis Lee Harvey Oswald avec fusil à lunette (wouh)
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| Ce monde n’est pas pour les faibles (wouh), ils tombent tous comme des dominos
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| Pour faire les choses, n’attends pas deux mille ans
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| Si j’rigole, c’est pour les abdominaux
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| Avec les femmes, j’aime être dominant (hé)
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| Épouvanté par le dégât des armes et du 530, frappe directe dans le poteau
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| rentrant, y aura plus personne à qui s’en prendre
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| J'écoute la 'sique jusqu'à plus entendre, t’es pas réglo, on va plus s’entendre
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| Avec ta version, rien qu’tu t’enfonces, la juge va t’mettre la sentence
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| Hasard, danse au bord de l’abîme, vêtu de noir
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| Pourvu que ça brûle comme l’autre soir
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| Souffrir à ce point pour sortir du noir
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| C’est la symphonie du hasard
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| Danse au bord de l’abîme, vêtu de noir
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| Pourvu que ça brûle comme l’autre soir
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| Souffrir à ce point pour sortir du noir
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| Des gros voyous et de grands couturiers, des coups durs et des espaces clôturés
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| Avant, je me faisais filocher, maintenant, j’fais de la sape pour les défilés
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| La bouche béante devant tout ça
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| Comment tu vas? |
| Couci-couça
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| C’coup-ci, l’Uzi va faire du sale
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| C'était mon sosie mais pas moi, ah
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| 2018, j’arrête pas, ah
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| Le temps passe, j’ai donc pressé le pas
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| Oui, mon Dieu, protège-moi, ah, contre les shtouns et les forces du mal
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| Socrate, il faut qu’tu l’en sortes du sale, ces bâtards ont perdu la mémoire
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| Fais les choses, futur te remerciera, m’en bats les couilles, je reste Général
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| De la vie, il est difficile d’en trouver le sens; |
| c’que tu perds dans le feu,
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| tu le retrouves dans la cendre, pas dans un bidon d’essence
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| Chaque fois que j’apparais, j’innove et chaque fois, je deviens plus fort
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| Toujours un hommage à nos morts, fuck les keufs qui viennent à l’aurore, hé
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| Les zèbres sont pourchassés par des lionnes car elles sont comme nos daronnes
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| Les zèbres sont pourchassés par des lionnes car elles sont comme nos daronnes
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| En c’qui m’concerne, j’suis dans les affaires, j’vends d’la sape et je fais des
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| concerts
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| On se concerte avec Fianso pour savoir si je dois rentrer dans l’Cercle
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| Hasard, danse au bord de l’abîme, vêtu de noir
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| Pourvu que ça brûle comme l’autre soir
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| Souffrir à ce point pour sortir du noir
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| C’est la symphonie du hasard
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| Danse au bord de l’abîme, vêtu de noir
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| Pourvu que ça brûle comme l’autre soir
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| Souffrir à ce point pour sortir du noir |