| Vous avez grandi ensemble, mais la drogue vous a séparés |
| Quand il s’agit d’argent sale, c’est pas du propre que tu vas préparer |
| Chacun son équipe de tarés, qui va tirer, qui va détaler? |
| Pour empêcher ces funérailles, faudrait voir ton arme s’enrayer |
| Oui oui oui s’enrayer, sinon c’est la mort direct |
| J’ai peur de Freddy Krueger, je fais donc des cauchemars les yeux ouverts |
| Tu t’en fous tu restes au quartier, le biff' rentre, tes stups sont cachés |
| Les clients défilent, les keufs te pètent, pas de preuve ils t’ont relâché |
| Au-dessus des lois tu t’es cru chaud, que les autres sont bêtes que c’est toi |
| le bandit |
| Tes associés aiment la frime, niquer leur gent-ar en VIP |
| Baiser tes tchoins, toi t’es pourri, donc tu n’vois pas qu’elle sont cheum |
| Elles restent avec toi parc’qu’elles t’ont vu, rouler dans une voiture à 100e |
| Lésé, baisé puis freiné par une pute qui veut ton oseille |
| Toutes celles qui peuvent te sucer jusqu’aux os ont peur du Soleil |
| La rue c’est partout la même, la rue c’est partout la même |
| Ta meuf qui te trompe quand t’es au hebs, la rue c’est partout la même |
| La rue c’est partout la même, la rue c’est partout la même |
| Quand c’est toi qui fait l’oseille, tout l’monde te suce, la rue c’est partout |
| la même |
| La rue c’est partout la même, la rue c’est partout la même |
| T’achètes une arme, tu tires sur lui, la rue c’est partout la même |
| La rue c’est partout la même, la rue c’est partout la même |
| Personne te calcule quand tu n’as plus rien, la rue c’est partout la même |
| Ça a pété, tout l’monde au hebs, t'étais pas chez toi, ils t’ont pas crevé |
| T’as pris tes lovés, tu t’es sauvé, y’a trop d’dec' qui traînent au quartier |
| Tes potos mis en examen et toi en fiche de recherche |
| Les mandats d’dépôt qui se renouvèlent, l’organisation qui doit se refaire |
| Gérer le biz', gérer le biz', quand t’es tout seul en vale-ca c’est dur |
| Je vois la meuf du poto qui fricote, embrasse un raclo dans la rue |
| Toi, quand tu vois ça t’es traumat', envie de les régler à coups d’batte |
| Donc, cagoulé tu vas les attendre à la sortie du cinéma |
| Les voilà, tu les massacres, trop l’seum tu vas pas à la salle |
| Sale pute comment as-tu osé? Il est pas mort il est au placard |
| Il t’a tout donné t'étais rien, juste une pute de cité |
| Il n’a écouté que son cœur, il t’a donc javellisé |
| La rue c’est partout la même, la rue c’est partout la même |
| Ta meuf qui te trompe quand t’es au hebs, la rue c’est partout la même |
| La rue c’est partout la même, la rue c’est partout la même |
| Quand c’est toi qui fait l’oseille, tout l’monde te suce, la rue c’est partout |
| la même |
| La rue c’est partout la même, la rue c’est partout la même |
| T’achètes une arme, tu tires sur lui, la rue c’est partout la même |
| La rue c’est partout la même, la rue c’est partout la même |
| Personne te calcule quand tu n’as plus rien, la rue c’est partout la même |
| Une histoire qui se règle, je retourne à mes affaires |
| Y’a une tête qui s’est fait péter, eux lisent ça dans les faits divers |
| Mais tu lâches pas c’est la vie, on est des guerriers, les soces comptent sur |
| toi |
| C’est souvent au pied du mur qu’un vrai gangster se surpasse |
| Y’a rien, y’a rien, c’est ton mektoub, y’a rien |
| Tu changes de plan comme de caleçon, c’est ton mektoub, y’a rien |
| C’est la rue |
| Que des crapules, les pécules qui gonflent |
| Les keufs qui viennent chez toi quand tu ronfles |
| Les keufs qui viennent chez toi quand tu ronfles |
| C’est partout la même |
| C’est partout la même |
| La rue c’est partout la même, la rue c’est partout la même |
| Ta meuf qui te trompe quand t’es au hebs, la rue c’est partout la même |
| La rue c’est partout la même, la rue c’est partout la même |
| Quand c’est toi qui fait l’oseille, tout l’monde te suce, la rue c’est partout |
| la même |
| La rue c’est partout la même, la rue c’est partout la même |
| T’achètes une arme, tu tires sur lui, la rue c’est partout la même |
| La rue c’est partout la même, la rue c’est partout la même |
| Personne te calcule quand tu n’as plus rien, la rue c’est partout la même |