Información de la canción En esta página puedes encontrar la letra de la canción Amour et paix, artista - Lino.
Fecha de emisión: 04.11.2021
Restricciones de edad: 18+
Idioma de la canción: Francés
Amour et paix(original) |
Juste des mots comme des roquettes, une cible un ingé son une somme coquette |
Une prod arrachée de quoi nourrir les fauves à ma table, j’fais le même trajet, |
je cherche encore un siècle à ma taille |
J'élève mon empire sur des cendres c’est pas immense, évite le bruit une balle |
dort dans la chambre |
C’st le prix, à raquer et ncore j’suis dans le déni je fais des punchlines |
comme si ça comptait encore |
J’suis béni, enfin j’crois que j’suis au-dessus, une fée bourrée s’est penchée |
sur mon berceau et m’a vomit dessus |
J’rappe vrai, trop franc en-dessous de la ceinture tu sens les coups |
Ils m'écoutent en se protégeant les couilles |
L’Humanité je prends des cours, de Marseille au Val-d'Oise on parle d’unité le |
même sang coule, douleurs siamoises |
J’ai payé l’ardoise, je peux dire des insanités, à 20 piges j’avais déjà fait |
l’album de la maturité |
Sur Pit Bass je me défonce en m’hydratant, j’ai le toucher de Midas je me fais |
les couilles qu’en me les grattant |
J’suis toujours partant la vérité se cache dans l’art, j’suis une espèce |
menacée j’aurai ma place dans l’Arche |
Tu te souviens l'époque beat à 90, ça rappait fort dans le block un peu comme |
dans le Queens |
Organisé mais bon le monde se divise, demande aux deux frères en Lacoste, sexe, |
pouvoir et biff |
Si tu rodes dans ma ville c’est que t’as l’amour du risque, toujours sous haute |
tension comme un contrôle du Fisc |
Vision chaotique, vrai de vrai, pris pour cible, trait pour trait, |
J’suis paranoïa zin, entouré de parasites |
Ma cité va craquer, pour ça que je suis toujours au taquet, débloque à la Lune |
pas besoin de Kassovitz |
Donc on fait la danse du guerrier dans l’Paradis assassiné ressens la douleur |
ici sans être fixe |
Bienvenue à Babylone quartiers sensibles, amitiés gâchées, trahisons, homicides |
À quoi bon sert la vie de rêve si tu ne kiffes pas, sacoche pleine de problèmes |
chargeur toujours vide |
Pour nous le chemin n'était pas balisé on a mis nos rimes dans les tympans |
Ils ont voulu nous canaliser, on danse au rythme des pimpons |
Boy c’est la guerre, boy c’est la guerre, amour et paix pour tout le reste on |
verra |
Boy c’est la guerre, boy c’est la guerre, amour et paix pour tout le reste on |
verra |
Depuis 20 piges dans les mêmes locaux, à gratter sur des feuilles et rêver de |
vivre comme un gagnant du Loto |
On a perdu des potos, et quand tu fais les comptes il reste encore les trois |
enfoirés sur la photo |
Le a tréma mon logo, casquette vissée sur le côté et sur le polo toujours le |
croco j’raque encore de la photo, frèros qui ont pas su élevés les mômes quand |
on a mis le game en que-clo |
Pour l’amour du risque, artificier j’fais de l’art de rue dans les cités d’or |
on a tous atterri |
Fallait que je te dise toujours au taquet avec le ck-ro, on avance, |
on se ressemble tous trait pour trait |
Fuck le monde et ses normes, le charme de la tristesse nous a poussé à faire |
des shows énormes |
Kilos de riches j’visser encore les toxicos la vie de rêve je l’ai eu et |
toujours titulaire au Classico |
On n’a pas grandi dans les mêmes villes, mais j’aurais pu rapper les mêmes rimes |
J’ai pas la même vie, la même daronne, mais j’aurais pu écrire les mêmes paroles |
Parce que la douleur est la même, ta peine est la mienne, on a connu la colère |
et la haine, on sait où ça nous mène |
On se croit différent, mais on se ressemble au plus profond de nous-même, |
y a qu'à voir comment le diable nous berne |
Il connait nos failles et nos forces, on a beau muscler nos pecs et nos dorsaux, |
nos cœurs sont brisés sous nos torses |
Voilà pourquoi j'écris des morceaux, pourquoi je boxe avec les mots comme LINO, |
Monsieur Bors |
J’oublie pas d’où je viens les nuits à traîner sous le porche, avec les anciens |
on a gravé nos noms dans la roche |
J’oublie pas les potes partis, la belle époque avec Le 3ème Œil au quartier, |
les blocks party |
Les nuits a errer sous les parkings, le parvis de Notre-Dame, coupé du monde je |
fume un autre gramme |
Je passe du rire aux larmes, la vie a parfois comme un goût de supplice, |
vas-y ressers-moi quelques gouttes suffisent |
Pour nous le chemin n'était pas balisé on a mis nos rimes dans les tympans |
Ils ont voulu nous canaliser, on danse au rythme des pimpons |
Boy c’est la guerre, boy c’est la guerre, amour et paix pour tout le reste on |
verra |
Boy c’est la guerre, boy c’est la guerre, amour et paix pour tout le reste on |
verra |
Les paroles sont universelles même en autarcie RMI, hé je rentre au studio |
comme au Colisée |
Chaque jour c’est mon anniversaire, crise existentielle face aux rookies j’me |
sens comme un surveillant du lycée |
De ma tour de Babel clair et j’ai dû choisir d’aller à l’essentiel et la misère |
a des choses à dire |
Bien sûr que je suis dans le thème, j’ai fait le signe j’ai fait le J, |
je reste bloqué dans le game un peu comme dans Jumanji |
Depuis le son des bandits j’ai trop tiré sur le bout de shit, et je vois le |
3ème Oeil et Saté qui font shi shi |
Et vas-y clique, salive moi et ma bande de marginaux, toujours sur la défensive |
pourtant j’suis pas Marquinhos |
Les mêmes thèmes, les mêmes scènes, les mêmes peines, les mêmes bats |
Les mêmes clics, les mêmes clacs, les civs donc les mêmes plaques |
Insolent et pas soumis, de l’usine à la chaine, de Besson à Kassovitz, |
de Taxi à la Haine |
Assis à la même table, tous ici ont marqué l'époque Affranchis |
Les chtars nous écoutaient au Virgin Méga Store |
La vie un film, ça te braque, pas de pardon, «Sanka t’es mort ?» |
«J'suis fatigué patron» |
L’histoire c’est nous fiston, marquer le rap français d’un (?) |
Imposer le verbe dans nos dictions |
L’histoire c’est nous je répète, la vie un long fleuve tranquille, |
chez nous c’est un Vieux Port un soir de tempête |
Pour nous le chemin n'était pas balisé on a mis nos rimes dans les tympans |
Ils ont voulu nous canaliser, on danse au rythme des pimpons |
Boy c’est la guerre, boy c’est la guerre, amour et paix pour tout le reste on |
verra |
Boy c’est la guerre, boy c’est la guerre, amour et paix pour tout le reste on |
verra |
(traducción) |
Solo palabras como cohetes, un objetivo, un ingeniero, una suma ordenada |
Un producto arrebatado lo suficiente para alimentar a las bestias en mi mesa, hago el mismo viaje, |
Busco otro siglo en mi talla |
Estoy levantando mi imperio sobre cenizas, no es enorme, esquiva el ruido de una bala |
dormir en el dormitorio |
Es el precio, para rastrillar y aún estoy en negación. Hago remates. |
como si aun importara |
Estoy bendecido, finalmente creo que estoy arriba, un hada borracha se inclinó |
en mi cuna y me vomitó |
Rapeo cierto, demasiado franco debajo del cinturón, sientes los golpes |
Me escuchan protegiendo sus bolas |
L'Humanité Tomo lecciones, de Marsella a Val-d'Oise hablamos de unidad |
la misma sangre fluye, dolores siameses |
Pagué la pizarra, puedo decir tonterías, a 20 pines ya había hecho |
el album de la madurez |
En Pit Bass obtengo una gran hidratación, obtuve el toque de Midas. |
mis bolas que rascándomelas |
Siempre estoy dispuesto a hacerlo, la verdad se esconde en el arte, soy una especie |
amenazado tendré mi lugar en el Arca |
¿Recuerdas la era de los ritmos de los 90? Estaba rapeando fuerte en el bloque como |
en reinas |
Organizado pero bien dividido el mundo, pregunta a los dos hermanos en Lacoste, sexo, |
poder y biff |
Si deambulas por mi ciudad es porque amas el riesgo, siempre bajo alto |
La tensión como control fiscal. |
Visión caótica, real real, dirigida, rasgo por rasgo, |
Soy un zin paranoico, rodeado de parásitos. |
Mi ciudad se va a romper, es por eso que todavía estoy enganchado, desbloqueado en la Luna |
no hay necesidad de Kassovitz |
Entonces hacemos la danza guerrera en el Paraíso asesinado Siente el dolor |
aqui sin arreglar |
Bienvenidos a Babilonia barrios sensibles, amistades arruinadas, traiciones, homicidios |
De que sirve la vida soñada si no te gusta, bolsa llena de problemas |
revista siempre vacia |
Para nosotros el camino no estaba marcado, pusimos nuestras rimas en los tímpanos |
Querían encauzarnos, bailamos al ritmo de los pimpones |
Chico, es guerra, chico, es guerra, amor y paz para todos los demás. |
veremos |
Chico, es guerra, chico, es guerra, amor y paz para todos los demás. |
veremos |
Durante 20 años en el mismo local, arañando hojas y soñando con |
vivir como un ganador de lotería |
Perdimos homies, y cuando haces la cuenta todavía quedan tres |
hijos de puta en la foto |
La diéresis mi logo, tapa atornillada en el lateral y en el polo siempre el |
croco sigo odiando la foto, hermanos que no supieron criar a los niños cuando |
ponemos el juego en que-clo |
Por amor al riesgo, artífice hago street art en las ciudades de oro |
todos aterrizamos |
Tenía que decirte siempre en la cornamusa con el ck-ro, seguimos adelante, |
todos nos vemos exactamente iguales |
A la mierda el mundo y sus estándares, el encanto de la tristeza nos hizo hacer |
grandes espectáculos |
Kilos de rico sigo jodiendo a los adictos la vida soñada la tenia y |
todavía comenzando en el Classico |
No crecimos en las mismas ciudades, pero podría haber rapeado las mismas rimas |
No tengo la misma vida, el mismo daronne, pero podría haber escrito la misma letra. |
Porque el dolor es el mismo, tu dolor es el mío, hemos conocido la ira |
y el odio, sabemos a dónde nos lleva |
Creemos que somos diferentes, pero en el fondo somos iguales, |
solo mira como el diablo nos engaña |
Él conoce nuestros defectos y nuestras fortalezas, sin importar cuánto construyamos nuestros pectorales y músculos de la espalda, |
nuestros corazones están rotos debajo de nuestros pechos |
Por eso escribo canciones, por eso encajo palabras como LINO, |
Sr. Bors |
No olvido de dónde soy las noches pasando el rato en el porche con los mayores |
tallamos nuestros nombres en la roca |
No olvido los amigos que se fueron, los buenos viejos tiempos con The 3rd Eye en el vecindario, |
fiestas de barrio |
Las noches vagando bajo los aparcamientos, la explanada de Notre-Dame, aislada del mundo I |
fuma otro gramo |
Paso de la risa al llanto, la vida a veces me sabe a tortura, |
adelante, relléname unas gotas son suficientes |
Para nosotros el camino no estaba marcado, pusimos nuestras rimas en los tímpanos |
Querían encauzarnos, bailamos al ritmo de los pimpones |
Chico, es guerra, chico, es guerra, amor y paz para todos los demás. |
veremos |
Chico, es guerra, chico, es guerra, amor y paz para todos los demás. |
veremos |
Las letras son universales incluso en la autarquía de RMI, oye, voy a volver al estudio. |
como en el Coliseo |
Todos los días es mi cumpleaños, crisis existencial en la cara de los novatos, yo |
sentirse como un supervisor de escuela secundaria |
Desde mi torre de Babel claro y tuve que elegir ir al grano y la miseria |
tiene cosas que decir |
Por supuesto que estoy en el tema, hice el signo, hice la J, |
Me quedo atascado en el juego un poco como en Jumanji |
Desde el sonido de los bandidos tiré demasiado del trozo de hachís, y veo el |
3rd Eye y Saté que hacen shi shi |
Y haz clic, salivame a mí y a mi pandilla de inadaptados, siempre a la defensiva |
sin embargo, no soy Marquinhos |
Los mismos temas, las mismas escenas, los mismos dolores, los mismos latidos |
Los mismos clics, los mismos clacks, las civilizaciones, por lo tanto, las mismas placas. |
Insolentes y no sumisos, de la fábrica a la cadena de montaje, de Besson a Kassovitz, |
de Taxi a Haine |
Sentados en la misma mesa, todos aquí marcaron la era Affranchis |
Los chtars nos escuchaban en la Mega Store de Virgin |
La vida es una película, te enciende, no hay perdón, "Sanka, ¿estás muerto?" |
"Estoy cansado jefe" |
La historia somos nosotros hijo, marca el rap francés con un (?) |
Imponer el verbo en nuestras dicciones |
La historia somos nosotros repito, la vida un largo río tranquilo, |
con nosotros es un Puerto Viejo en una tarde tormentosa |
Para nosotros el camino no estaba marcado, pusimos nuestras rimas en los tímpanos |
Querían encauzarnos, bailamos al ritmo de los pimpones |
Chico, es guerra, chico, es guerra, amor y paz para todos los demás. |
veremos |
Chico, es guerra, chico, es guerra, amor y paz para todos los demás. |
veremos |