Letras de J'en Déduis Que Je T'aime - Charles Aznavour

J'en Déduis Que Je T'aime (original)

Par la peur de te perdre,
Et de ne plus te voir,
Par ces mondes incensés,
Qui grouillent dans ma tête,
Par ces nuits sans sommeil,
Où la folie me guette,
Quand le doute m’effleure,
Et tend mon coeur de noir.
J’en déduis que je t’aime,
J’en déduis que je t’aime.
Par le temps que je prends,
Pour ne penser qu'à toi,
Par mes règnes de jour,
Où tu règnes en idole,
Par ton corps désiré,
De mon corps qui s’affole,
Et l’angoisse à l’idée,
Que tu te joues de moi,
J’en déduis que je t’aime,
J’en déduis que je t’aime.
Par, le froid qui m'étreinds,
Lorsque je t’apperçois,
Par mon souffle coupé,
Et mon sang qui se glasse,
Par la désolation,
Qui réduit mon espace,
Et le mal,
Que souvent tu me fais,
Malgré toi.
Par la contradiction,
De ma tête et mon coeur,
Par mes vingt ans perdus,
Qu’en toi, je réalise,
Par tes regards lointains,
Qui parfois me suffisent,
Et me font espérer,
En quelques jours meilleurs,
J’en déduis que je t’aime,
J’en déduis que je t’aime,
Par, l’idée que la fin,
Pourrait être un début,
Par mes joies éventrées,
Par ton indifférence,
Par tous les mots d’amour,
Qui restent en souffrnce,
Puique de te les dire,
Est pour moi défendu.
J’endéduis que je t’aime,
J’en déduis,
Mon amour.

(traducción)

Por el miedo a perderte,
y no volverte a ver,
A través de estos mundos locos,
que pululan en mi cabeza,
En estas noches de insomnio,
Donde me espera la locura,
Cuando la duda me toca,
Y colar mi corazón de negro.
Concluyo que te amo,
Concluyo que te amo.
En el momento en que tomo,
Pensar solo en ti,
Por mis reinados del día,
donde reinas como un ídolo,
Por tu cuerpo deseado,
de mi cuerpo que entra en pánico,
Y la angustia ante el pensamiento,
Que estás jugando conmigo
Concluyo que te amo,
Concluyo que te amo.
Por, el frio que me abraza,
Cuando te veo
Por mi respiración entrecortada,
y mi sangre que hiela,
A través de la desolación,
que reduce mi espacio,
y el mal,
Cuantas veces me haces,
A pesar de ti.
por contradicción,
De mi cabeza y de mi corazón,
Por mis veinte años desperdiciados,
Que en ti me doy cuenta
por tu mirada lejana,
que a veces me bastan,
y hazme esperar,
En unos días mejores,
Concluyo que te amo,
Concluyo que te amo,
Por, la idea de que el final,
podría ser un comienzo
A través de mis alegrías destripadas,
Por tu indiferencia,
Con todas las palabras de amor,
que quedan en el dolor,
Te puedo decir,
me esta prohibido.
Concluyo que te amo,
Deduzco,
Mi amor.