| Il y a si longtemps, si longtemps que je t’attends
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| Je n’ai plus le temps de croire au printemps
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| Quand tu es parti, nous avons juste vingt ans
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| Il n’y a pourtant pas si longtemps
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| Si le temps perdu ne se rattrappe jamais
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| Si je reste seul avec mes regrets
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| Si le temps perdu est bien perdo désormais
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| Je sais bien que je t’attendrai
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| Car c’est pour toi, pour toi,
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| Pour toi, que je suis restée là,
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| Car c’est pour toi, pour toi,
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| Pour toi, toi que ne m’aimes pas
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| Si tu revenais, à botir tes illusions,
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| Ranimer les felurs de cette maison
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| Si tu revenais me chauffer l’amour qui meurt
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| Je connais encore le bonheur
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| Il n’y a que toi qui obeille le printemps
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| Quanbd il fait trop froid, quand souffle le vent
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| Il n’y a que toi qui sait faire de l’amour
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| Un bonheur nouveau chaque jour
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| Et c’est pour toi, pour toi,
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| Pour toi, que je suis restée là,
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| Et c’est pour toi, pour toi,
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| Pour toi, toi que ne m’aimes pas
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| Et tu reviendras que je te prends dans mes bras
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| Tout comme autre fois, dit rappelle-toi
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| Quand tu seras là, l’amour te reconnaitra
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| Et le temps, demain reviendra
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| Car c’est pour toi, pour toi,
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| Pour toi, que je suis restée là,
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| Car c’est pour toi, pour toi,
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| Pour toi, toi que ne m’aimes pas |