| Pour être honnête, j’sais pas faire autrement, ma haine n’a pas su cicatriser
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| La musique, j’l’aimais jusqu'à c’que j’sois dedans, contrats véreux veulent me
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| faire signer
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| «Personne t’aimera comme moi» m’a dit Maman, si c’n’est le joint que j’vais
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| rouler
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| Qui m’f’ra oublier méchanceté d’ce monde? |
| Le diable et son fessier bien roulé
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| Très loin des maisons de disques mais près de mon public avisé
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| Très loin des ventes et des chiffres mais près de la musicalité
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| Regarde au-d'ssus, il n’y a plus de nuages, la pluie ne risque pas de tomber
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| Regarde mon cœur, il n’a plus de grillage mais personne ne risque d’y entrer
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| L’absence de lumière fait qu’j’suis dans le noir
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| On se dit frères parce qu’on fume quelques noix
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| La méchanceté des hommes m’attriste beaucoup
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| La voix des anges résonne moins qu’celle des vautours
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| J’les porte dans mon cœur, ils me portent l'œil, j’ai tué le game et j’ai fait
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| le deuil
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| Négro me dit qu’on est ensemble mais qu’en cas d'échec, j’s’rai tout seul
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| Sperme dans la bouche, elle aime le goût du risque, elle croit pas en moi mais
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| veut être sur la liste
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| J’ai qu’un seul amour, c’est la chanson, solitaire, j’n’ai pas d’besoin
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| d’attention
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| Je tire et je tue, tu meurs et c’est tout, t’avais qu'à fermer ta grande gueule
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| Je tire et je fume, j’m’en vais sur la Lune, loin des perquis' à Argenteuil
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| Esprit torturé, douleur intestinale, j’ai avalé méchanceté de l’Homme
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| J’l’ai digéré, j’ai pris le bien du mal, j’me sens comme Adam juste avant la
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| pomme
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| L’absence de lumière fait qu’j’suis dans le noir
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| On se dit frères parce qu’on fume quelques noix
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| La méchanceté des hommes m’attriste beaucoup
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| La voix des anges résonne moins qu’celle des vautours
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| À chaque fois qu’je sors sans prendre des sous, la vie me rappelle que je viens
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| de loin
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| Pique dans le dos tel le sombre hérisson, trahison sponso' par Louboutin
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| J’serre plus de meufs que de mains, le genre masculin, je m’en méfie
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| Trous écartés, genoux fléchis, biatch, j’connais d’jà fin du récit
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| Enfermé dans cellule, je désaoule, j’reprends conscience de mes soucis
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| Dans son vagin, je me défoule, à chaque «je t’aime», je me détruis
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| Pour elle, j’suis tout autre chose que Damso, elle voit en moi c’que je n’vois
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| plus
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| Métissé comme touche de piano, entre le vivre et le vécu
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| J’fais un malaise eucharistique, j’suis entre sucré et salé
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| Le diable se cache derrière l’artistique, pour milieu d’la musique,
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| j'étais pas prêt
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| Dieu ne ment jamais
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| Nan, Dieu ne ment jamais
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| Dieu ne ment jamais, yeah
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| Damso
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| SantosVie, FuentesVie, tout est Vie |