Información de la canción En esta página puedes encontrar la letra de la canción Chronique ordinaire, artista - Swift Guad. canción del álbum Hécatombe, en el genero Иностранный рэп и хип-хоп
Fecha de emisión: 31.01.2013
Etiqueta de registro: M.i.s Associes
Idioma de la canción: Francés
Chronique ordinaire(original) |
Une petite vie, des p’tites économies, une petite retraite et puis une petite |
tombe |
On nait seul, on vit seul, on meurt seul |
Une voiture dans l’abribus, des boyaux sur le hardtop |
Un crime avec une poussette encastrée sur le parechoc |
Des barjots gonflés à bloc, dans un excès d’alcool |
Il est jeune et inconscient, il se prenait pour Al Capone |
Il est aux shtars comme la plupart des mecs d’en bas |
Et sa vie est un enfer, il ne reçoit pas de mandat |
Résistance c’est l'étendard, intégré comme le Zidane |
Elle a trop été tentée elle s’retrouve avec le sida |
Une image, des nuages, des immeubles une vie minable |
On vit en concubinage avec malchance et fusillade |
Il est beur, barbu, il parle souvent du djihad |
Elle est vicieuse et foudroyante, elle se prononce en une syllabe |
Car ici y’a plus d’miracle, la mort est vieille comme le monde |
Alors je lis sur les visages de ses femmes et d’ses hommes de l’ombre |
Une lueur trop poétique, parce que leurs propos m'épuisent |
Il enchaine popo et tise et dit qu’les jeunes s’auto-détruisent |
Car on est loin d’avoir grandi dans un domaine résidentiel |
Ma bohème s'écrit sans thème, c’est poème et chrysanthème |
Dans la rue j’ai vu trop d’chiennes et des problèmes existentiels |
Ici tous les gosses ont peur des prochaines présidentielles |
On est loin d’avoir grandi dans un domaine résidentiel |
Ma bohème s'écrit sans thème, c’est poème et chrysanthème |
À l’antenne j’ai vu trop d’chiennes et des problèmes existentiels |
Ici tous les gosses ont peur des prochaines présidentielles |
Il est propre, bosseur PDG d’une PMI |
Il trompe sa femme avec la secrétaire depuis une décennie |
Il fait ses d’voirs dans la cage d’escalier le gosse est émérite |
Famille nombreuse dans un F2 vit avec moins d’un RMI |
Le shmitt est trop zélé il devient un père absent |
Son fiston écoute du rap et il bédave en permanence |
De nos jours on perd d’avance |
Et même avant l’accouchement |
Il est un grand-père modèle mais il rêve souvent d’attouchement |
Elle est belle, célèbre, elle est douce et trop fragile |
Elle est partout elle traine ses fesses entre partouzes et cocaïne |
Comme la plupart des go faciles elle aime vraiment l’oseille |
Indépendante la fille se prend pour une starlette des temps modernes |
Bosser pour des clopinettes lui s’est dit «j'ai trop trimé» |
Mais il est seul SDF maintenant qu’il dort métro Crimée |
À base de médiocrité, on opère a cœur ouvert |
La poétique du bitume a vu jusqu’où la peur nous mène |
Car on est loin d’avoir grandi dans un domaine résidentiel |
Ma bohème s'écrit sans thème, c’est poème et chrysanthème |
Dans la rue j’ai vu trop d’chiennes et des problèmes existentiels |
Ici tous les gosses ont peur des prochaines présidentielles |
On est loin d’avoir grandi dans un domaine résidentiel |
Ma bohème s'écrit sans thème, c’est poème et chrysanthème |
À l’antenne j’ai vu trop d’chiennes et des problèmes existentiels |
Ici tous les gosses ont peur des prochaines présidentielles |
Une chronique ordinaire, le vague à l'âme est sur le macadam |
Il est saoul au chômage et quand il rentre le soir il bat sa femme |
En bas ça crame et la voix du vice fait du rabattage |
Pendant qu’la daronne prend des coups c’est elle se tue à la tache |
Il est chauffeur de bus il taffe dans la pression |
Dépressif, il se chie d’sus depuis sa dernière agression |
Un enfant perd la raison et se débat dans les songes |
La scène se passe près d’ici et finie par une pendaison |
Y’a beaucoup d’analphabètes, j’vois la situation s’aggraver |
Elle est sur le tapin et subit les menaces d’un albanais |
Elle est à l’angle de l’avenue donc si tu passes regarde la bien |
Elle tourne entre un paquet d’rapiats, des bars à putes, des varapiens |
Elle part à pied, pour bosser tous les matins |
Il est maton et il se plait à persécuter des gamins |
Il est roumain, vole des parcmètres et sacs à main |
Il est braqueur à l’aspiro dans les vitrines des magasins |
Agacé par le destin, le cocktail est formidable |
Juste une Chronique Ordinaire le cortège suit le corbillard |
Ici y’a des tonnes d’ignares donc on manie l’omertà |
Lui il voit p’t'être un espoir au JT d’Harry Roselmack |
Car sur Paris nos mères craquent, il veut repartir au bercail |
Il est vigile et vit la nuit pour seul ami son doberman |
Les gosses veulent des Air Max, Chicken Little et Spiderman |
Mais c’est trop dur quand elle est caissière chez Lidl ou Leader Price |
Car on est loin d’avoir grandi dans un domaine résidentiel |
Ma bohème s'écrit sans thème, c’est poème et chrysanthème |
Dans la rue j’ai vu trop d’chiennes et des problèmes existentiels |
Ici tous les gosses ont peur des prochaines présidentielles |
On est loin d’avoir grandi dans un domaine résidentiel |
Ma bohème s'écrit sans thème, c’est poème et chrysanthème |
À l’antenne j’ai vu trop d’chiennes et des problèmes existentiels |
Ici tous les gosses ont peur des prochaines présidentielles |
Tous les matins c’est pareil, la même rue, les mêmes crétins, les mêmes |
histoires, les mêmes cafés |
La réalité n’est beaucoup plus une |
Les gens c’est comme des animaux, on les aime on les enterre et puis c’est fini |
(traducción) |
Un poco de vida, un poco de ahorro, un poco de jubilación y luego un poco |
tumba |
Nacemos solos, vivimos solos, morimos solos |
Un coche en la parada de autobús, carcasas en el techo rígido |
Un crimen con un cochecito atrapado en el parachoques |
Barjots bombeados, en exceso de alcohol |
Es joven e inconsciente, pensó que era Al Capone |
Él en los shtars como la mayoría de los niggas allí |
Y su vida es un infierno, no obtiene una orden judicial |
La resistencia es la norma, integrada como Zidane |
La han tentado demasiado, acaba con SIDA |
Una imagen, nubes, edificios, una vida miserable |
Vivimos en convivencia con mala suerte y tiroteos |
Tiene barba, barba, a menudo habla de la yihad. |
Ella es viciosa y ampollosa, se pronuncia en una sílaba |
Porque aquí ya no hay más milagros, la muerte es tan vieja como el mundo. |
Así leo en los rostros de sus mujeres y sus hombres sombra |
Un resplandor demasiado poético, porque sus palabras me agotan |
Encadena popo y tise y dice que los jovenes se autodestruyen |
Porque estamos muy lejos de crecer en una urbanización |
Ma bohème se escribe sin tema, es poema y crisantemo |
En la calle vi demasiadas perras y problemas existenciales |
Aquí todos los niños tienen miedo de las próximas elecciones presidenciales. |
Estamos muy lejos de crecer en una urbanización |
Ma bohème se escribe sin tema, es poema y crisantemo |
En el aire vi demasiadas perras y problemas existenciales |
Aquí todos los niños tienen miedo de las próximas elecciones presidenciales. |
Es un CEO limpio y trabajador de un PMI. |
Lleva una década engañando a su mujer con la secretaria |
hace su tarea en el hueco de la escalera el niño es emérito |
Familia numerosa en F2 vive con menos de un RMI |
El shmitt es demasiado entusiasta, se convierte en un padre ausente. |
Su hijo escucha rap y siempre balbucea |
En estos días estamos perdiendo |
E incluso antes de dar a luz |
Es un abuelo modelo pero a menudo sueña con tocar |
Ella es hermosa, famosa, es dulce y demasiado frágil. |
Está en todos lados, arrastra el culo entre orgías y cocaína. |
Como la mayoría de las cosas fáciles, a ella realmente le gusta la acedera. |
Independiente, la chica cree que es una estrella moderna. |
Al trabajar para mini-chopinettes se dijo a sí mismo "he trabajado demasiado" |
Pero está solo sin hogar ahora que está durmiendo en el metro de Crimea. |
Basados en la mediocridad, operamos con el corazón abierto |
La poética del asfalto ha visto hasta dónde nos lleva el miedo |
Porque estamos muy lejos de crecer en una urbanización |
Ma bohème se escribe sin tema, es poema y crisantemo |
En la calle vi demasiadas perras y problemas existenciales |
Aquí todos los niños tienen miedo de las próximas elecciones presidenciales. |
Estamos muy lejos de crecer en una urbanización |
Ma bohème se escribe sin tema, es poema y crisantemo |
En el aire vi demasiadas perras y problemas existenciales |
Aquí todos los niños tienen miedo de las próximas elecciones presidenciales. |
Una crónica ordinaria, la ola al alma está en la pista |
Está desempleado borracho y cuando llega a casa por la noche le pega a su mujer |
Allá abajo arde y late la voz del vicio |
Mientras la daronne da golpes, ella se mata en el trabajo |
Es conductor de autobús, trabaja bajo presión. |
Deprimido, se caga desde su último asalto |
Un niño pierde la cabeza y lucha en los sueños. |
La escena tiene lugar cerca de aquí y termina en un ahorcamiento. |
Hay muchos analfabetos, veo que la situación empeora |
Ella está en movimiento y sufre las amenazas de un albanés. |
Esta en la esquina de la avenida asi que si pasas miralo bien |
Ella rota entre un paquete de rapiats, bares de prostitutas, varapiens |
Ella sale a pie, a trabajar todas las mañanas |
Es guardia y le gusta perseguir a los niños. |
Es rumano, roba parquímetros y monederos. |
Es un ladrón de aspiradoras en escaparates |
Molesto por el destino, el cóctel es genial. |
Solo una crónica ordinaria, la procesión sigue al coche fúnebre |
Aquí hay toneladas de ignorantes así que manejamos la omertà |
Él ve tal vez una esperanza en JT de Harry Roselmack |
Porque en París nuestras madres se quiebran, él quiere volver al redil |
Es vigilante y vive de noche por único amigo su doberman. |
Los niños quieren Air Max, Chicken Little y Spiderman |
Pero es demasiado difícil cuando es cajera en Lidl o Leader Price. |
Porque estamos muy lejos de crecer en una urbanización |
Ma bohème se escribe sin tema, es poema y crisantemo |
En la calle vi demasiadas perras y problemas existenciales |
Aquí todos los niños tienen miedo de las próximas elecciones presidenciales. |
Estamos muy lejos de crecer en una urbanización |
Ma bohème se escribe sin tema, es poema y crisantemo |
En el aire vi demasiadas perras y problemas existenciales |
Aquí todos los niños tienen miedo de las próximas elecciones presidenciales. |
Cada mañana es lo mismo, la misma calle, los mismos cretinos, los mismos |
historias, los mismos cafés |
La realidad ya no es una |
Las personas son como los animales, los amamos, los enterramos y luego se acabó. |