Traducción de la letra de la canción Ma Nouvelle-Orléans - Eddy Mitchell
Información de la canción En esta página puedes leer la letra de la canción Ma Nouvelle-Orléans de - Eddy Mitchell. Canción del álbum Jambalaya tour, en el género Эстрада Fecha de lanzamiento: 31.12.2006 sello discográfico: Polydor France Idioma de la canción: Inglés
Ma Nouvelle-Orléans
(original)
Violent, angoissant, cruel, inhumain
Portant pourtant, un joli prnom fminin
L’ouragan Katrina noie mon Jambalaya
Le bayou sera toujours blue
Ma Nouvelle-Orlans, berceau du blues enfant
Dieu semble t’avoir blesse, oublie et ddaigne
Je parle du Dieu argent, du dollar frmissant
Des promesses du Texan, menteur mais pourtant prsident
Le quartier franais n’est plus ce qu’il tait
Les plantations en Louisiane sentent moins bon
Mais le crole n’oublie pas de fter le mardi gras
Cajun, a sera mieux demain
Ma Nouvelle-Orlans, des vautours viennent souvent
Touristes, voyeurs en manque des sensations dplaces
Ils viennent te voir pleurer, regretter le pass
Ils payent la demande, la belle histoire du Dixieland
Ma Nouvelle-Orlans, berceau du blues enfant
Dieu semble t’avoir blesse, oublie et ddaigne
Je parle du Dieu argent, du dollar trbuchant
Des promesses du Texan, menteur mais pourtant prsident.
(traducción)
Violento, angustioso, cruel, inhumano
Portant pourtant, un joli prnom fminin
L'ouragan Katrina noie mon Jambalaya
Le bayou sera toujours blue
Ma Nouvelle-Orlans, berceau du blues enfant
Dieu semble t'avoir blesse, oublie et ddaigne
Je parle du Dieu argent, du dolar frmissant
Des promesses du Texan, mentor mais pourtant prsident
Le quartier franais n'est plus ce qu'il tait
Las plantaciones en Louisiane sentent moins bon
Mais le crole n'oublie pas de después de le mardi gras
Cajún, a sera mieux demain
Ma Nouvelle-Orlans, des vautours vienent souvent
Touristes, voyeurs en manque des sensaciones dplaces
Ils viennent te voir pleurer, lamentter le pass
Ils payent la demande, la belle histoire du Dixieland
Ma Nouvelle-Orlans, berceau du blues enfant
Dieu semble t'avoir blesse, oublie et ddaigne
Je parle du Dieu argent, du dollar trbuchant
Des promesses du Texan, menteur mais pourtant prsident.