| Les enfants ont toujours les joues roses,
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| L'œil malicieux, maladroits quand ils causent,
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| Parfois leurs jeux peuvent devenir méchants, violents,
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| Quand ils singent l’attitude des grands.
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| La fille ainée se remet en cause,
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| Quinze ans déjà, pas de cœur en osmose,
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| Elle croit encore à ce prince, Ö combien charmant,
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| Mais viendra-t-il un jour? |
| Çà Dieu sait quand.
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| Que la vie leur paraissait rose,
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| Les barbes à papa, les nougats,
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| Les pâtes à la guimauve,
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| Au temps de leur premier printemps.
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| Les enfants on toujours de drôles de goûts,
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| Me peignent en vert, en martien, en indien, en sioux,
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| Puis ils s’endorment, et se réveillent tout étonnés,
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| De me trouver ainsi maquillé.
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| Je subis leurs lois, je suis leur chose,
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| Souffre-douleur consentant avec qui l’on cause,
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| Se souviendront-ils de moi quand ils seront devenus grands?
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| Vieillir est vraiment un jeu d’enfant.
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| Que la vie leur paraissait rose,
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| Le kiosque à musique les cerfs-volants
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| Dans le ciel qui se sauvent,
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| Au temps de leur premier printemps.
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| Au temps de leur premier printemps.
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| (Merci à françois pour cettes paroles) |