Información de la canción En esta página puedes encontrar la letra de la canción Le Livre De La Jungle, artista - IAM. canción del álbum Tam Tam De L'afrique, en el genero Поп
Fecha de emisión: 13.04.2006
Etiqueta de registro: Labelle Noir
Idioma de la canción: Francés
Le Livre De La Jungle(original) |
Le drap de la nuit recouvre la ville millénaire |
Une atmosphère, la vigilance est nécessaire |
Des millions d’histoires, en voici une parmi tant d’autres |
Chaque minute désormais te seras conté |
Tard le soir dans les rues du centre de Mars |
Le Livre De La Jungle est ouvert |
Que commence la chasse |
Sans pitié sans remord sans regret |
Sans même sourciller des enfants s’apprêtent |
A faire une arrachée |
Une femme noire fait le trottoir assise sur un mur |
Quel avenir, ça semble dur |
Sûr, je suis fatigué de voir, de croire |
Avoir de l’espoir me paraît dérisoire |
Dégoûté, la situation pourri me nuit pas |
La volonté de m’en tirer fait que je suis là |
Mais ceux qui n’ont pas eu ma chance |
On en parlaient dévalent, s'étalent |
Tout au fond, tout au fond de la spirale |
Dans des sifflets sournois, des serpents |
Du Livre De La Jungle que tu découvres à tes dépends |
Dans la jungle urbaine y a de drôles de spécimens |
Des animaux crapuleux, c’est pas la peine |
Il y a des renards croisés avec des fennecs |
Des rats d'égout, des hyènes |
Des chacals, des loups et des chiennes |
Des rapaces charognards, des vautours, les serpents |
Toute la gamme affamée des insectes rampants |
Et qui vont se dissimuler en des animaux sympathiques |
Pour ensuite se révéler être de violents parasites |
Ce ne sont pas toujours ce que l’on croit |
Des mauvaises bêtes qui sont les pires |
Échangent tous les jours de tête |
Beaucoup de choses me saoul et me gavent grave |
Les caves bavent sur des bases navses |
Mais je fais table-rase |
Ils ont voulus me faire passer pour un violeur, un tueur |
Une menace venue de la planète meurtre |
Pour terroriser la France avec mon micro illégitime |
Un rimeur à gage dans la lignée de Mesrine |
Si je les avait laissé parler il auraient suggérés |
De m’incarcérer pour avoir dis la vérité |
Mais je suis assez malin |
La seule peine dont je suis passible |
J’ai pris des crétins et les ait buté comme des cibles |
Pour toujours parler des tours, je le trouve lourd |
Qu’il ne vienne pas me donner de conseil |
En ce qui concerne l’amour |
La choses est classée par sa catégorie à moi |
C’est que lui fini de baiser sa femme avec le petit doigt |
Bien éduqué je suis un ritale et fière |
Pas comme lui qui a trahi sa race à coups de billets verts |
Je n’ais pas oublié, je garde le goût amers |
Du temps où les français voulaient nous balancer à la mer |
Tout en restant certes lucide et humble |
Je viens directement tiré du Livre De La Jungle |
Je ne suis pas anti-français |
Mais contre la jungle franchouillarde qui |
Nous ressasse ses traditions de druides et |
De bardes, lieux de fond |
Et une nation qui fait bloc démunie |
Elle a la capacité d’intégrer toutes ses ethnies |
La connerie n’a pas d’yeux, elle contamine toutes les races |
Presque toutes les couleurs et toutes les classes |
D’un autre côté certains s’y exposent plus |
A-R-T-N-O, un autre point de vue |
Tourne la platine accompagnant le 107 |
Le saphir en T double sens va bientôt gratter le microsillon |
Sur lesquels mes mots viennent et vont |
Ainsi font, en guise d’introduction |
Les rappeurs blasés qui s’acharnent à rester dans le ton |
Mais moi je m’en moque, étant libre je compose en paix |
Dans l'état d’esprit? |
Des wanna-be me demandent pourquoi je rappe |
Ne m’inspirant d’aucun son puisque j'écris dans le silence |
Bel et bien est-ce que tu mesures maintenant l’importance |
De celui là même qui regarde le monde libre et seul pose un poème |
Nos thèmes écartent spontanément de tous stéréotype fréquent |
Depuis que les médias façonnent l’archétype du jeune en colère |
Qui construit ses vers, et dont les paroles témoigne |
Simplement d’un malaise social disent-ils |
Mais quand ils se seront noyés dans leur bêtise |
J’ajouterai un chapitre décisif à leur analyse |
Tourne, tourne ces pages que je ne les découpent |
Afin qu’ils ne figurent plus jamais dans le grand livre |
Livre De La Jungle page 7, verset 3 |
De nouveaux poètes transforment et révolutionnent la |
Philosophie conceptuelle impériale des hommes |
Dans la sphère rouge est l’oppidum |
Comme dans Rome, pom, les ânes j’assomme et donne |
Un coup de dum-dum, les idiots bad boy pom-pom |
Donc, paix sur ceux qui aiment danser et vivre |
Qui tiennent dans leur cœur toutes les pages du livre |
Depuis des mois, l’info se focalise vite sur les banlieues |
Les problèmes des gens qui y habitent mais |
A les entendre les ennuis sont récents |
Et les cités étaient tranquilles il y a un an |
La banlieue, la banlieue, matin et soir la banlieue |
Les fafs sont heureux, tous ce bruit fait leur jeu |
Au lieu de dépenser des pellicules donnez nous l’argent |
Qu’on puisse enfin construire quelque chose de plus intéressant |
Plus tard on va nous dire qu’on a pas de solution? |
Que notre musique est le reflet d’un mal de vivre |
Eric, ai-je mal? |
non |
Merci j’ai eu peur, je veille sur mon état |
Gardez vos éducateurs |
Stoppez les clichés du genre idées toutes faites |
Casquette, baskets, pas grand chose dans la tête |
Je m’avise, expertise leur hantise, dramatise la crise |
Je n’ai pas besoin de psychanalyse |
Fanatisent, rebaptisent nos entreprises |
Les animalisent mais mmmh je me fais une bise |
Pourquoi? |
Prévoyant malgré tous ça |
J’ai gardé beaucoup de lucidité, un brin d’animosité |
Si le livre était béni, l'égalité est là |
On vient des pages que les gens ne regardaient pas |
Avant tous ce qui se passait |
Les événements qui auraient dus être prévus depuis au moins 10 ans |
Mais l’existentiel poète urbain part à l’arracheur |
Chevaucher le rythme comme une araignée pourrais |
Galoper sur le mur c’est sûr |
Et riches et pauvres réveillez vous |
Aveugles nous sommes |
Tous prisonniers du Livre De La Jungle… |
(traducción) |
La sábana de la noche cubre la ciudad milenaria |
Una atmósfera, la vigilancia es necesaria |
Millones de historias, esta es una de muchas |
Cada minuto ahora te lo dirán |
Tarde en la noche en las calles del centro de Marte |
El libro de la selva está abierto |
Que comience la cacería |
sin piedad sin remordimiento sin arrepentimiento |
Sin siquiera pestañear, los niños se están preparando |
para hacer un arrebatamiento |
Una mujer negra camina por la acera sentada en una pared. |
Que futuro, parece dificil |
Claro, estoy cansado de ver, de creer |
Tener esperanza me parece ridículo |
Disgustado, la situación podrida no me hace daño |
La voluntad de salir adelante me hace estar aquí |
Pero los que no tuvieron mi suerte |
Estábamos hablando de que bajara, se extendiera |
Profundo en el fondo, profundo en la espiral |
En silbidos furtivos, serpientes |
Del Libro De La Selva que descubres por tu cuenta |
En la jungla urbana hay ejemplares divertidos |
Los animales villanos no son una molestia |
Hay zorros cruzados con zorros fennec |
Ratas de alcantarillado, hienas |
Chacales, lobos y perras |
Rapaces carroñeras, buitres, serpientes |
La gama completa de insectos rastreros hambrientos |
Y que se disfrazarán de simpáticos animales |
Sólo para convertirse en parásitos violentos |
No siempre es lo que piensas |
Bestias malas que son lo peor |
Intercambia cabezas todos los días |
Muchas cosas me emborrachan y me llenan |
Las bodegas babean sobre bases navses |
Pero estoy haciendo borrón y cuenta nueva |
Querían hacerme ver como un violador, un asesino |
Una amenaza del asesinato del planeta |
Para aterrorizar a Francia con mi micrófono ilegítimo |
Un rimador contratado en la línea de Mesrine |
Si les hubiera dejado hablar, me habrían sugerido |
Que me encarcelen por decir la verdad |
pero soy bastante inteligente |
El único castigo al que estoy sujeto |
Tomé matones y les disparé como objetivos |
Hablar siempre de torres me resulta pesado |
Que no viene a darme consejos |
Sobre el amor |
La cosa esta clasificada por su categoria para mi |
Es que termino de besar a su mujer con el dedo meñique |
Bien educado soy un rito y orgulloso |
No como el que traicionó a su raza con billetes verdes |
No lo he olvidado, me quedo con el sabor amargo |
Cuando los franceses querían tirarnos al mar |
Aunque sin duda permanece lúcido y humilde |
Vengo directamente de El libro de la selva |
no soy anti-frances |
Pero contra la selva franca que |
Nos detenemos en sus tradiciones de druidas y |
De bardos, lugares de fondo |
Y una nación que se mantiene unida indefensa |
Ella tiene la capacidad de integrar todas sus etnias. |
La mierda no tiene ojos, contamina todas las razas |
Casi todos los colores y todas las clases. |
Por otro lado, algunos están más expuestos a ella. |
A-R-T-N-O, otro punto de vista |
Gira el tocadiscos que acompaña al 107 |
El T-zafiro bidireccional pronto estará rayando el LP |
En el que mis palabras van y vienen |
Así que, a modo de introducción |
Los raperos hastiados que se esfuerzan por mantenerse en sintonía |
Pero no me importa, siendo libre compongo en paz |
¿De humor? |
Quiero preguntarme por qué rapeo |
Inspirado por ningún sonido mientras escribo en silencio |
Bien y bien ahora mides la importancia |
Del mismo que mira el mundo libre y solo posa un poema |
Nuestros temas se desvían espontáneamente de todos los estereotipos comunes |
Desde que los medios de comunicación dieron forma al arquetipo del joven enojado |
Quien construye sus versos, y cuyas palabras testifican |
Simplemente un malestar social dicen |
Pero cuando se han ahogado en su estupidez |
Añadiré un capítulo decisivo a su análisis. |
Gira, gira estas páginas para que no las corte |
Para que nunca vuelvan a aparecer en el libro mayor. |
El libro de la selva página 7, verso 3 |
Los nuevos poetas están transformando y revolucionando el |
Filosofía conceptual imperial de los hombres |
En la esfera roja está el oppidum |
Como en Roma, pom, burros toco y doy |
Una foto de porristas tontos, tontos y malos |
Así que paz para aquellos que aman bailar y vivir. |
Quienes guardan en sus corazones todas las páginas del libro |
Durante meses, las noticias se han centrado rápidamente en los suburbios. |
Los problemas de la gente que vive allí pero |
Para escucharlos, los problemas son recientes. |
Y las ciudades estaban tranquilas hace un año |
El suburbio, el suburbio, mañana y tarde el suburbio |
Los favoritos están felices, todo ese ruido está jugando su juego. |
En vez de gastar película danos el dinero |
Que finalmente podemos construir algo más interesante. |
Más tarde se nos dirá que no tenemos solución? |
Que nuestra música es el reflejo de un dolor en la vida |
Eric, ¿me duele? |
No |
Gracias me asusté, vigilo mi estado |
Mantenga a sus educadores |
Detén los clichés del género de las ideas prefabricadas |
Gorra, zapatillas, no mucho en la cabeza. |
Tomo nota, evalúo su inquietante, dramatizo la crisis |
No necesito psicoanálisis |
Fanatizar, renombrar nuestras empresas |
Animalízalos pero mmmh me doy un beso |
¿Por qué? |
Anticipando a pesar de todo eso |
Guardé mucha lucidez, un poco de animosidad |
Si el libro fue bendecido, la corbata está ahí. |
Venimos de las páginas que la gente no miró |
Antes de todo lo que pasó |
Eventos que deberían haber sido planeados durante al menos 10 años. |
Pero el poeta urbano existencial se va al garete |
Sigue el ritmo como lo haría una araña |
Galopando en la pared seguro |
Y ricos y pobres despiertos |
ciegos estamos |
Todos los presos del Libro de la Selva... |