Información de la canción En esta página puedes encontrar la letra de la canción Les caméléons, artista - Columbine. canción del álbum Enfants terribles, en el genero Рэп и хип-хоп
Fecha de emisión: 20.04.2017
Restricciones de edad: 18+
Etiqueta de registro: VMS
Idioma de la canción: Francés
Les caméléons(original) |
Pourquoi le week-end tu sors pas? |
Pourquoi le week-end tu sors pas? |
Les enfants te mentent pas |
J’te vois faire les cents pas |
J’suis en bas, pourquoi tu n’descends pas? |
Pourquoi le week-end tu sors pas? |
J’veux pas sortir sans toi |
Le jour s’efface, la nuit s'écrit |
L’problème, c’est qu’j’veux pas dormir seul |
Que j’fréquente tout le temps |
Les mêmes amis, on sort en ville |
Quand est-ce qu’on arrêtera de boire? |
Et qu’on s’dira les choses en face |
Pour combattre l’ennui |
J’suis un stratège comme Napoléon |
Le monde est p’tit: on en fait le tour en une seule nuit |
Seuls, dans dix ans on s’marie |
J’lirai même pas mon propre livre |
Qu’est-ce qu’on attend pour vivre? |
Connaître un milliard de vues, un milliard de rues |
Un milliard de moments perdus |
Mets la fête sur pause faut qu’on cause |
On s’explique en buvette, on déballe |
On s'écarte de leur groupe |
Ils nous ressemblent pas |
Le vent nous porte à contre-courant dans la foule |
Y’a qu’ma bite qui fait la nuit debout |
On manquait de rien, on manquait de tout |
Perdu dans le dernier wagon du dernier métro |
Elle veut m’embrasser, mais elle s’auto-censure |
C’est trop dur pour toi? |
Change la difficulté, dans le menu |
On s’dit au revoir sur l’quai d’la rue |
J’entends des sanglots à travers les murs |
Jette moi tous tes problèmes à la figure, j’les avalerai |
Tu peux m'écouter en vrai, enlève tes écouteurs |
J’viendrai t’chercher à l’heure, j’vais pas te laisser toute seule |
Ivre mort dans ses bras, elle me protège |
J’peux pas t’ramener chez ma mère |
Elle dit que c’est pas un hôtel |
J’veux m’envoler d’ici comme Bruce Wayne |
Dans un nid de chauve-souris |
Comme un frisbee au-dessus des barbelés |
C’est toujours à moi d’aller vers eux |
De forcer les rencontres et le courant nous emporte |
T’attendais la buvette pour avouer tes sentiments |
Depuis l’temps que j’attendais ce moment |
Mais tu vois pas qu’on vole au-dessus d’un nid d’rapaces |
Qu’il n’y a plus de place dans leurs soirées |
Qu’ils nous laisseront jamais rentrer |
On longe les murs sans âme |
J’vais dormir seul, encore une fois |
J’rêve d’un royaume où on est rois |
J’rêve d’un royaume où on est rois |
J’veux qu’tu saches que |
J’voulais t’dire que je crois que je t’aime, que j’oublie peu |
Qu’les années passent sans dire adieu |
Qu’on pointe nos armes sans ouvrir feu |
À tout à l’heure ou dans mille ans |
J’fais l’tour du monde en ambulance |
J’entends tes pleurs sur l’répondeur |
Tu m’cherches dehors, comme le bonheur |
Sortir le soir, ça sert à rien à chaque fois |
J’préfère charbon chez moi |
Pour ça que le week-end je sors pas |
Ils disent qu’ils traînent en bas de la tour mais j’les vois jamais |
Tout le monde ment: personne ne traîne en bas la journée |
Les chiens m’aboient dessus quand je traverse la rue |
J’suis pas l’bienvenue ici |
J’veux fusionner la nuit et l’après-midi |
T’es dans ta bulle, j’vais la crever, yo |
Nos rêves changent leur programme télé |
Viens on part, on s'évade |
T’inquiète pas, les nuages masqueront les orages |
Le temps d’une balade sauvage |
On quitte la piscine pour l’océan |
On prend l’autoroute la plus proche d’ici |
Participe, j’t’en prie |
Prends le volant, je porte tes valises |
Tes valises, tes valises, tes valises |
Ton sac à dos, ta sacoche |
C’est pas l’temps qui nous emporte |
C’est une Porsche sans vitres teintées |
Pour mieux apprécier le paysage |
Laisse les petits gérer les rains-té |
La voisine s’occupera du chat |
Est-ce que tu crois qu’il est jaloux de toi? |
On fera l’amour sur l’champ de bataille |
Enlève l'épouvantail dans ton jardin intime |
J’décortique ta peau pour avoir le noyau |
J’porte le bendo sur l’dos comme un escargot |
Fais demi-tour au prochain virage |
Y’a qu’mon ego dans l’histoire |
Nos filles seront les femmes qu’on aurait voulu avoir |
Nos filles seront les femmes qu’on aurait voulu avoir |
On est des caméléons devant le miroir |
Des lucioles dans la forêt noire |
Pardon papa, maman, mais j’veux pas faire les mêmes erreurs que vous |
Putain c’est fou, on a les mêmes goûts |
Y’a qu’tes lèvres qui n’ont pas les mêmes rêves |
On vient au score, on est menés dans la partie |
Le film de notre vie fera des millions d’entrées |
De janvier à décembre, on pourra se baigner |
La descente aux enfers, commence à freiner |
Tu lis un roman sur un transat |
J’suis au studio, j’assure les transactions |
Pour le shopping, trois grands sacs |
Tu tournes la tête, j’t’embrasse la joue dans la tentation |
Et on reporte notre évasion dans dix ans |
Quand on aura plus rien à perdre |
En attendant, nos vêtements sont trop différents des leurs |
On s’fond dans le décor, on leur fait peur |
T’es pas comme eux, cherche pas à l'être |
La fenêtre ouverte, les oiseaux nous regardent baiser |
La beauté du monde dans les transitions |
Entre les positions, les rotations de ton entrejambe |
Dans ma chambre, le lieu du crime |
Où l’enfant est mort d’impatience |
On construira une banlieue rose |
Où même les femmes seront dangereuses |
On choisira jamais notre camp |
Change de veste, de chemise, comme un caméléon |
Ton porte-monnaie, à moitié plein ou à moitié vide? |
Personne le sait |
Pourquoi le weekend tu sors plus? |
Personne le sait |
Si on s’est vus cette nuit? |
Personne le sait |
Les gens qui ne s’ennuient pas sont inintéressants |
Ils veulent faire comme leurs parents |
Nous, on est dans l’train du turfu |
J’t’envoie des messages à rallonge, t’es déjà convaincue |
Toutes les femmes de ma vie discutent dans un même lit |
Elles soufflent sur des bougies |
Mais les années sont des incendies |
Les incendies? |
J’les éteins pas, j’les laisse brûler |
La moindre mélancolie me fait hurler |
On s’oublie pas |
Aucun de mes amis d’enfance ne connaîtra le succès |
On s’oublie pas |
J’suis obligé de quitter la ville pour m’faire sucer |
Si on est seuls dans dix ans, on s’retrouvera |
Sinon, et bah, on s’oubliera |
Notre paradis est à deux pas |
Reste en buvette, j’irai sans toi |
As-tu vraiment besoin d’ce diplôme pour avoir confiance en toi? |
Si j’t’aide, c’est uniquement pour mon plaisir |
Le pire de mes souvenirs est le plus joyeux des tiens |
Au final, j’vais bien |
Quand j’reste chez moi, quand j’pense qu'à plaire |
À mon miroir |
Comme quand j’regarde dans tes yeux |
J’ai fini le jeu à 100% |
Allez, dispersez-moi tous ces enfants |
Aux quatre coins du monde |
Quand ils se croiseront, ils se reconnaîtront |
Dans la foule, comme des caméléons |
Les caméléons |
(traducción) |
¿Por qué no sales los fines de semana? |
¿Por qué no sales los fines de semana? |
Los niños no te mienten |
te veo paseando |
Estoy abajo, ¿por qué no bajas tú? |
¿Por qué no sales los fines de semana? |
no quiero salir sin ti |
El día se desvanece, la noche se escribe |
El problema es que no quiero dormir solo. |
Que frecuento todo el tiempo |
Los mismos amigos, salimos a la ciudad |
¿Cuándo dejaremos de beber? |
Y que diremos las cosas cara a cara |
Para combatir el aburrimiento |
Soy un estratega como Napoleón |
El mundo es pequeño: le damos la vuelta en una noche |
Solos, en diez años nos vamos a casar |
Ni siquiera leeré mi propio libro. |
¿Qué estamos esperando para vivir? |
Conozca mil millones de visitas, mil millones de calles |
Mil millones de momentos perdidos |
Pon la fiesta en pausa, tenemos que hablar |
Nos explicamos en el bar, desempacamos |
Nos alejamos de su grupo |
no se parecen a nosotros |
El viento nos lleva contra la corriente en la multitud |
Es solo mi polla la que hace que la noche se levante |
No nos faltaba nada, nos faltaba todo |
Perdido en el último vagón del último metro |
Quiere besarme, pero se censura |
¿Es demasiado difícil para ti? |
Cambia la dificultad, en el menú |
Nos despedimos en el muelle de la calle |
Escucho sollozos a través de las paredes |
Tírame todos tus problemas, me los tragaré |
Puedes escucharme de verdad, quítate los auriculares |
Te recogeré a tiempo, no te dejaré solo. |
Borracho muerto en sus brazos, ella me protege |
No puedo llevarte de vuelta con mi madre. |
Ella dice que no es un hotel. |
Quiero volar de aquí como Bruce Wayne |
En un nido de murciélagos |
Como un frisbee sobre el alambre de púas |
Siempre depende de mí ir a ellos. |
Para forzar encuentros y la corriente nos lleva |
Estabas esperando el bar para confesarte tus sentimientos |
He estado esperando este momento durante tanto tiempo |
Pero no ves que estamos volando sobre un nido de aves rapaces |
Que ya no hay lugar en sus fiestas |
Nunca nos dejarán entrar |
Caminamos a lo largo de las paredes sin alma |
Me voy a dormir solo, una vez más |
Sueño con un reino donde seamos reyes |
Sueño con un reino donde seamos reyes |
quiero que sepas que |
Quería decirte que creo que te amo, que difícilmente lo olvido |
Que pasen los años sin decir adios |
Que apuntemos nuestras armas sin abrir fuego |
Nos vemos pronto o dentro de mil años |
voy a dar la vuelta al mundo en una ambulancia |
Escucho tu llanto en el contestador |
Me buscas afuera, como la felicidad |
Salir de noche es inútil cada vez |
prefiero el carbón en casa |
Por eso no salgo los fines de semana |
Dicen que cuelgan de la torre pero nunca los veo |
Todo el mundo miente: nadie se queda abajo todo el día |
Los perros me ladran cuando cruzo la calle |
no soy bienvenido aquí |
Quiero fusionar la noche y la tarde |
Estás en tu burbuja, la voy a reventar, yo |
Nuestros sueños cambian su programa de televisión |
Ven vamos, vamos a escapar |
No te preocupes, las nubes esconderán las tormentas. |
Tiempo para un paseo salvaje |
Dejamos la piscina por el océano. |
Tomamos la carretera más cercana desde aquí. |
Participa, por favor |
Toma el volante, yo cargo tus maletas |
Tus maletas, tus maletas, tus maletas |
Tu mochila, tu cartera |
No es el tiempo lo que nos lleva |
Es un Porsche sin vidrios polarizados. |
Para apreciar mejor el paisaje |
Deja que los más pequeños se encarguen de las lluvias |
El vecino cuidará del gato. |
¿Crees que está celoso de ti? |
Haremos el amor en el campo de batalla |
Quita el espantapájaros de tu jardín íntimo |
Pelé tu piel para obtener el núcleo |
llevo el bendo en la espalda como un caracol |
Dar la vuelta en la siguiente curva |
Sólo está mi ego en la historia |
Nuestras hijas serán las mujeres que nos hubiera gustado tener |
Nuestras hijas serán las mujeres que nos hubiera gustado tener |
Somos camaleones en el espejo |
Luciérnagas en el bosque oscuro |
Lo siento papá, mamá, pero no quiero cometer los mismos errores que tú. |
Maldita sea, es una locura, tenemos el mismo gusto. |
Solo tus labios no tienen los mismos sueños |
Llegamos al marcador, estamos abajo en el juego |
La película de nuestra vida hará millones de entradas |
De enero a diciembre, podemos nadar. |
El descenso a los infiernos, empieza a frenar |
Lees una novela en una tumbona |
Estoy en el estudio, hago las transacciones. |
Para ir de compras, tres bolsas grandes. |
Giras la cabeza, beso tu mejilla en la tentación |
Y posponemos nuestra huida en diez años |
Cuando no tenemos nada que perder |
Mientras tanto, nuestra ropa es muy diferente a la de ellos. |
Nos mezclamos, los asustamos |
No eres como ellos, no intentes serlo |
La ventana abierta, los pájaros nos ven follar |
La belleza del mundo en transiciones |
Entre las posiciones, tus rotaciones de entrepierna |
En mi habitación, la escena del crimen |
Donde el niño murió de impaciencia |
Construiremos un suburbio rosa |
Donde incluso las mujeres serán peligrosas |
Nunca elegiremos nuestro lado |
Cambia de chaqueta, de camisa, como un camaleón |
Tu billetera, ¿medio llena o medio vacía? |
Nadie lo sabe |
¿Por qué sales más los fines de semana? |
Nadie lo sabe |
¿Nos vimos anoche? |
Nadie lo sabe |
Las personas que no están aburridas no son interesantes. |
Quieren ser como sus padres. |
Estamos en el tren de turba |
Te mando mensajes largos, ya estás convencido |
Todas las mujeres de mi vida hablando en una cama |
Soplan velas |
Pero los años son fuegos |
¿Incendio? |
No los apago, los dejo quemar |
La más mínima melancolía me hace gritar |
no nos olvidamos |
Ninguno de mis amigos de la infancia tendrá éxito. |
no nos olvidamos |
Tengo que salir de la ciudad para dejarme mamar |
Si estamos solos en diez años, nos encontraremos de nuevo |
De lo contrario, bueno, nos olvidaremos |
Nuestro paraíso está a la vuelta de la esquina. |
Quédate en el bar, me voy sin ti |
¿Realmente necesitas ese título para tener confianza? |
Si te ayudo es solo para mi placer |
El peor de mis recuerdos es el más feliz de los tuyos |
al final estoy bien |
Cuando me quedo en casa, cuando solo pienso en complacer |
a mi espejo |
Como cuando te miro a los ojos |
Terminé el juego al 100% |
Vamos, dispérsame a todos estos niños |
Alrededor del mundo |
Cuando se encuentren, se conocerán |
En la multitud, como camaleones |
camaleones |