
Fecha de emisión: 08.12.2016
Restricciones de edad: 18+
Etiqueta de registro: Seine Zoo
Idioma de la canción: Francés
Humanoïde(original) |
Est-ce que tu t’es d’jà fait rabaisser par celle que t’aimais secrètement? |
Gentille en privé mais, d’vant les gens, cruelle et légère |
Est-ce que t’as d’jà tapé quelqu’un juste pour qu’on te respecte? |
Sans excuse, est-ce que t’as d’jà regretté au point d’ber-ger? |
Est-ce que tu t’es d’jà dit: «Faut qu’j’me secoue, j’ai plus 16 ans»? |
N'être plus qu’une âme perdue, errer et rôder des heures |
Voir un mec s’faire racketter, appeler au s’cours et pisser l’sang |
Dans le même wagon du RER où t'étais seul |
Est-ce que t’as détourné l’regard? |
Dégoûté face à ta propre lâcheté |
Est-ce qu’après t’as fait des trucs de malade juste pour t’racheter? |
Est-ce pour ça qu’t’as été violent quand la prof t’a jeté? |
Est-ce que tu t’es identifié au taf de Kourtrajmé? |
Est-ce que tu gardais, à l'époque |
Des secrets d’famille lourds don’t tu peux même pas parler à tes potes? |
Même pas deux balles pour un café, rêvais-tu d’sauter la serveuse? |
L'été, à Paris, dans les parcs, tu sortais la serviette |
Est-ce que t’as d’jà ressenti l’ivresse en t’imaginant la tristesse |
De ceux qui te connaissent si tu t’faisais sauter la cervelle? |
Est-ce que t’as d’jà ressenti la nature, au point qu'ça en soit douloureux? |
Aimerais-tu partir en souhaitant bonne chance à tous les reufs? |
Est-ce que tu t’es d’jà menti à toi-même? |
Est-ce que t’as été surpris quand on t’a dit: «On tient à toi, mec»? |
Est-ce que tu serais fidèle, même terrifié avec un flingue sur la tempe? |
Est-ce que t’as honte de vérifier qu’t’es bien coiffé sur la tof? |
As-tu déjà brisé d’tes mains la vitrine d’un zin-gam? |
Victime du seum et du stress qui détruit nos organes |
En regardant goutter ton sang, t’es-tu déjà planqué |
Pour recompter ta somme jusqu'à c’qu’un condé t’assomme? |
Est-ce que tu t’réveilles au milieu d’la nuit? |
Encore une inspi' |
En sachant qu’l’alcool et les spliffs abîment le corps et l’esprit |
T’es-tu remis avec elle après qu’elle t’ait été infidèle? |
Est-ce que t’oublies que tu l’as détestée et t’as envie d’elle? |
Est-ce que, pour n’pas la gifler, t’as dû te battre contre l’instinct? |
T’es-tu juré que plus jamais tu perdrais l’contrôle à c’point? |
Est-ce que t'étais comme vide quand ils t’ont annoncé? |
T’en es-tu voulu de n’pas pleurer sa mort? |
Est-ce que tu t’es forcé? |
Est-ce que c’est venu plus récemment, pour un détail anodin? |
Au point de chialer toute la nuit sur un vieux son de rap français? |
J’ai pas fait d'études, j’emmerde tes politiques, j’ai pas fait HEC |
J’ai pas b’soin d'ça pour m’exprimer quand j’vois des pauvres sur la chaussée |
J’connais les tafs de merde, les potes qui partent, le shit dans la chaussette |
J’me suis longtemps d’mandé si j’pouvais faire quelque-chose mais, là, je sais |
Non, j’ai pas fait l’ENA ni Sciences Po', j’ai pas fait HEC |
J’ai pas b’soin d'ça pour m’exprimer quand j’vois des pauvres sur la chaussée |
J’connais les tafs de merde, les potes qui partent, le shit dans la chaussette |
J’me suis longtemps d’mandé… |
J’viens d’un monde où même les morts sont à vendre, j’avance car l’avenir |
m’attire |
Et j’réponds aux questions du morceau d’avant par l’affirmatif |
Personne pour alléger nos peines, tu f’rais quoi à notre place? |
Y’a des choses qu’on doit faire seul, personne pourra lécher nos plaies |
À notre place, parcourir la ville avec mes chats crevés |
Partager chaque grain, noyer notre chagrin dans chaque rre-ve |
Trempés jusqu’aux os sous l’averse, des chats de gouttière |
Dans cette vie sans saveur, on cherche les goûts d’hier |
Alors le sang se verse, elle attend son sauveur, ma princesse |
Mais, un jour, j’partirai sans affaire, attiré par les sens inverses |
Cette envie d’bombarder quand tous les feux sont rouges |
J’ai l’esprit daltonien, toi, tu fais l’mal quand t'étales ton bien |
Mes pensées enfermées dans une tôle hermétique |
Un amour infini pour mes proches qui m’pardonnent, ceux qui tolèrent mes tics |
Peu d’respect pour les colleurs d'étiquettes, vu qu’mon cœur a la couleur des |
tigres |
Le sang glacial sous la polaire, j’médite |
J’te parle d’honneur, d'éthique, nos parents ont souffert debout |
Chaque victoire, ils sont fiers de nous, pour ça qu’on leur dédie |
J’ai la colère des p’tits à qui on d’mande de choisir d’un coup leur métier |
Qui a conseillé la conseillère d’orientation? |
Ma jeunesse: son cœur est en sang, l’oseille est en rotation |
Profiter sans faire attention t’emmène en centre de rétention |
Obligé d’s’enterrer dans l’son, trouver une putain d’raison d’vivre |
J’ai frappé dans les murs, mais ça résonne vide |
C’est pour les gosses à l’allure bizarre, les voleurs, les Elephant Man |
Les mecs instables qu’ont des putains d’valeurs mais les défendent mal, |
humanoïde |
Entrer dans ce monde plat nous dessert; |
j’plane, est-ce le désir? |
J’ai peur que d’moi car le sage n’est pas d’ceux qui craint le sabre |
Ecrivrain le soir, j’rappe sur les dunes pendant des heures |
Un petit grain de sable, la solitude m’inspire des airs |
Et j’entends tout ce rap dans mon crâne, comme des mantras qui m’entravent |
Et, même quand on montera, y’a toujours quelque chose qui manquera |
Tant que j’continuerai à reculer pour compter mes pas |
Le pire, c’est d’capter qu’c’est même pas qu’on t’aimait pas, c’est juste qu’on |
t’ignorait |
Pire qu’un robot d’Asimov, ta vie: un casino |
T’es quasiment en liberté enfermé dans des cases immenses |
Une femme battue se fait carna, carnage désincarné |
Sang écarlate sur le carrelage, moi, je garde ça dans un carnet |
Trop de mômes en prison, fuis ce monde oppressant |
Trop de moments précieux, vis le moment présent |
J’emmerde l’horloger, tu f’rais mieux de réfléchir |
Famille de réfugiés jamais relogée |
Quand j’parle de valeur, ils m’parlent de premiers prix |
Ils méprisent la maîtrise, je maîtrise le mépris |
En dépit de l’esprit, on est pris dans les cris |
Seul face à mon reflet: aucune symétrie |
Et puis j’ai rendu la seule qui m’aimait triste |
Celle qui s'était éprise de mes tristes débris |
Et mes regrets, mes tripes, car j’ai vu depuis |
Mes écrits la détruire, la déprime l’amaigrir |
Quand l’amour rend aigri, ça t’vient fatalement |
Comme la fin d’un monde où l’soleil mourant est gris |
Meurtri comme un ermite, je ne décris que l'éternité |
Putride devient l’esprit qu’on a pétri de modernité |
Je ne vois que des vitrines mais, ce qui brille, nous le ternissons |
Des crises, des crimes, des cris, des griffes que nous vernissons |
C’est pour les cyborgs défectueux, les Elephant Man |
Les mecs instables qu’ont des putains d’valeurs mais les défendent mal, |
humanoïde |
Comme si ça pouvait m’porter malheur de croire à mon propre bonheur |
Je crois qu'ça m’fait peur tellement j’ai souffert |
Encore un texte rempli d’aveux, pour toi, si l’amour rend aveugle |
Pourquoi l’ai-je embrassée les yeux ouverts? |
Comme si ça pouvait m’porter malheur de croire à mon propre bonheur |
Je crois qu'ça m’fait peur tellement j’ai souffert |
Encore un texte rempli d’aveux, pour toi, si l’amour rend aveugle |
Pourquoi l’ai-je embrassée les yeux ouverts? |
(traducción) |
¿Alguna vez has sido humillado por la persona que amabas en secreto? |
Agradable en privado pero, frente a la gente, cruel y ligero. |
¿Alguna vez has abofeteado a alguien solo para obtener respeto? |
Sin una disculpa, ¿alguna vez te has arrepentido tanto? |
¿Alguna vez te has dicho: "Tengo que sacudirme, ya no tengo 16"? |
Ser nada más que un alma perdida, vagar y merodear durante horas |
Ver a un tipo ser estafado, pedir ayuda y orinar sangre |
En el mismo vagón RER donde estabas solo |
¿Miraste hacia otro lado? |
Disgustado por tu propia cobardía |
¿Hiciste algunas cosas malas después solo para compensarte? |
¿Por eso te pusiste violento cuando el profesor te dejó? |
¿Se identificó con el trabajo de Kourtrajmé? |
¿Mantuviste entonces |
¿Secretos familiares pesados que ni siquiera puedes contarles a tus amigos? |
Ni dos balas por un café, ¿soñaste con tirarte a la camarera? |
En el verano, en París, en los parques, sacaste la toalla |
¿Alguna vez has sentido la embriaguez imaginando la tristeza? |
De los que te conocen si te volaste los sesos? |
¿Alguna vez has sentido tanto la naturaleza que te dolía? |
¿Te gustaría irte deseando suerte a todos los huevos? |
¿Alguna vez te has mentido a ti mismo? |
¿Te sorprendió cuando te dijeron: "Nos preocupamos por ti, hombre"? |
¿Serías fiel, incluso aterrorizado con una pistola en la cabeza? |
¿Te da vergüenza revisar tu cabello en el tof? |
¿Alguna vez has roto la ventana de un zin-gam con tus manos? |
Víctima del semen y del estrés que destruye nuestros órganos |
Mirando tu sangre gotear, ¿alguna vez te has escondido? |
¿Contar tu suma hasta que un condé te noquea? |
¿Te despiertas en medio de la noche? |
Otra inspiración |
Sabiendo que el alcohol y los porros dañan el cuerpo y la mente |
¿Volvieron a estar juntos después de que ella les fuera infiel? |
¿Olvidas que la odiabas y la quieres? |
¿Tuviste que luchar contra el instinto para no abofetearla? |
¿Juraste que nunca volverías a perder el control así? |
¿Estabas como vacío cuando te anunciaron? |
¿Se arrepintió de no haber estado de luto por su muerte? |
¿Te obligaste? |
¿Vino más recientemente, por un detalle trivial? |
¿Hasta el punto de llorar toda la noche con un viejo sonido de rap francés? |
No estudié, a la mierda sus políticas, no hice HEC |
No necesito eso para expresarme cuando veo gente pobre en el camino |
Conozco los trabajos de mierda, los amigos que se van, el hachís en el calcetín |
Durante mucho tiempo me pregunté si podría hacer algo, pero ahora sé |
No, no hice ENA ni Sciences Po', no hice HEC |
No necesito eso para expresarme cuando veo gente pobre en el camino |
Conozco los trabajos de mierda, los amigos que se van, el hachís en el calcetín |
Me pregunté durante mucho tiempo... |
Vengo de un mundo donde hasta los muertos están a la venta, sigo adelante porque el futuro |
me atrae |
Y respondo afirmativamente a las preguntas de la canción anterior |
Sin nadie que alivie nuestro dolor, ¿qué harías tú en nuestro lugar? |
Hay cosas que debemos hacer solos, nadie puede lamer nuestras heridas |
En nuestro lugar, vagan por la ciudad con mis gatos muertos |
Comparte cada grano, ahoga nuestras penas en cada sueño |
Empapados hasta los huesos en el aguacero, gatos callejeros |
En esta vida sin sabor, buscamos los sabores de ayer |
Entonces la sangre se derrama, ella espera a su salvador, mi princesa |
Pero, un día, me iré sin negocio, atraído por las direcciones opuestas. |
Este deseo de bombardear cuando todas las luces están rojas |
Tengo la mente daltónica, tú, haces el mal cuando muestras tu bien |
Mis pensamientos encerrados en una sábana hermética |
Un amor infinito para mis seres queridos que me perdonan, los que toleran mis tics |
Poco respeto por las etiquetas adhesivas, ya que mi corazón es del color de |
tigres |
Sangre fría bajo el vellón, medito |
Te hablo de honor, de ética, nuestros padres sufrieron de pie |
Cada victoria, están orgullosos de nosotros, por eso les dedicamos |
Tengo el enfado de los pequeños a los que les piden elegir su profesión de repente |
¿Quién aconsejó al orientador? |
Mi juventud: su corazón está sangrando, la acedera está girando |
Disfrutar sin cuidado te lleva a un centro de detención |
Obligados a enterrarse en el sonido, encontrar una maldita razón para vivir |
Llamé a las paredes, pero suena vacío |
Es para niños raros, ladrones, Hombre Elefante. |
Los tipos inestables que tienen jodidos valores pero los defienden mal, |
humanoide |
Entrar en este mundo plano nos perjudica; |
Estoy drogado, ¿es deseo? |
Sólo me temo a mí porque el sabio no es de los que temen a la espada |
Escritor por la noche, rapeo en las dunas durante horas |
Un granito de arena, la soledad me inspira melodías |
Y escucho todo este rap en mi cabeza, como mantras que me atan |
Y, incluso cuando subimos, siempre falta algo |
Mientras siga retrocediendo para contar mis pasos |
Lo peor es darte cuenta que ni siquiera es que no nos gustes, es que nosotras |
te ignoré |
Peor que un robot Asimov, tu vida: un casino |
Eres bastante libre encerrado en cajas enormes |
Una mujer maltratada recibe carna, carnicería incorpórea |
Sangre escarlata en los azulejos, yo, lo guardo en un cuaderno |
Demasiados niños en prisión, huyen de este mundo opresivo |
Demasiados momentos preciosos, vive el momento |
Al diablo con el relojero, será mejor que pienses |
La familia de refugiados nunca se mudó |
Cuando hablo de valor me hablan de primeros premios |
Desprecian la maestría, yo domino el desdén |
A pesar del espíritu, estamos atrapados en los gritos |
Solo frente a mi reflejo: sin simetría |
Y luego puse triste al único que me amaba |
El que se enamoró de mis tristes restos |
Y mis arrepentimientos, mis agallas, porque he visto desde |
Mis escritos la destruyen, la deprimen, la adelgazan |
Cuando el amor te amarga, inevitablemente llega a ti |
Como el final de un mundo donde el sol moribundo es gris |
Magullado como un ermitaño, solo describo la eternidad |
Pútrido se convierte en el espíritu que moldeamos desde la modernidad |
Solo veo ventanas pero lo que brilla lo empañamos |
Crisis, crímenes, llantos, garras que barnizamos |
Esto es para los cyborgs defectuosos, el Hombre Elefante. |
Los tipos inestables que tienen jodidos valores pero los defienden mal, |
humanoide |
Como si pudiera traerme mala suerte creer en mi propia felicidad |
Creo que me da tanto miedo que sufrí |
Otro texto lleno de confesiones, para ti, si el amor te ciega |
¿Por qué la besé con los ojos abiertos? |
Como si pudiera traerme mala suerte creer en mi propia felicidad |
Creo que me da tanto miedo que sufrí |
Otro texto lleno de confesiones, para ti, si el amor te ciega |
¿Por qué la besé con los ojos abiertos? |
Nombre | Año |
---|---|
Dans l'univers ft. Vanessa Paradis | 2019 |
On verra | 2015 |
Elle pleut ft. Nemir | 2019 |
Juste pour voir ft. Nekfeu | 2018 |
Mauvaise graine | 2016 |
Éternité ft. Nekfeu | 2018 |
Nique les clones, Pt. II | 2015 |
Tricheur ft. DAMSO | 2019 |
Ma dope ft. Spri Noir | 2015 |
Saturne ft. Sneazzy, S.Pri Noir | 2016 |
Turn Up ft. Nekfeu | 2021 |
Cheum | 2019 |
En face ft. Nekfeu | 2020 |
Princesse ft. Nemir | 2015 |
Paire d'As ft. Nekfeu | 2021 |
Moins un ft. Nekfeu | 2021 |
Avant tu riais ft. Clara Luciani | 2016 |
Les étoiles vagabondes | 2019 |
Egérie | 2015 |
Galatée | 2016 |