| Be bop, pieds nus sous la lune, sans foi, ni toit, ni fortune
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| Je passe mon temps à faire n’import’quoi
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| Sur les pistes, noires de préférence quand le démon de la danse
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| Me prend le corps, je fais n’import’quoi, tout va bien
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| Sur un jerk électronique, se nouent des amours ludiques
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| Be bop, la vie, c’est n’importe quoi
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| C’est la fête, c’est psychédélique, me demande pas c’que j’fabrique
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| Je te répondrai n’importe quoi, j’en sais rien
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| Dum di da, je m'étourdis, ça ne suffit pas à m’faire oublier que t’es plus là
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| J’ai gardé cette photo sur moi, ce photomaton que t’aimais pas
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| Si tu r’viens, n’attends pas qu’au bout d’une corde mon corps balance
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| Be bop, pieds nus sous la lune, sans foi, ni toit, ni personne
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| Je crois bien que j’ferais n’importe quoi
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| Pour te voir cinq minutes encore à Sables d’or près des dunes
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| Je te raconterai n’importe quoi, ce sera bien
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| Dum di da, je m'étourdis, ça ne suffit pas à m’faire oublier que t’es plus là
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| J’ai gardé cette photo sur moi, ce photomaton que t’aimais pas
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| Si tu r’viens, n’attends pas que je sois tombé pour la France
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| Pour te voir cinq minutes encore à Sables d’or près des dunes
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| Je te raconterai n’importe quoi, ce sera bien
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| Dum di da, je m'étourdis, ça ne suffit pas à m’faire oublier que t’es plus là
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| J’ai gardé cette photo sur moi, ce photomaton que t’aimais pas
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| Si tu r’viens, n’attends pas que je sois tombé pour la France |