Letras de Dans mon lit - Bigflo & Oli

Dans mon lit - Bigflo & Oli
Información de la canción En esta página puedes encontrar la letra de la canción Dans mon lit, artista - Bigflo & Oli. canción del álbum La vraie vie, en el genero Рэп и хип-хоп
Fecha de emisión: 02.11.2017
Restricciones de edad: 18+
Etiqueta de registro: Polydor France
Idioma de la canción: Francés

Dans mon lit

(original)
Yeah yeah, ok
Seul dans mon lit j’regarde la fissure sur mon plafond
Elle s'étire pour devenir un point d’interrogation
J’fixe la peinture défraîchie
Impossible de dormir j’commence à réfléchir
J’pense à mes amis qui désertent notre ville
Monter à Paris parce que c’est là-bas l’avenir
Par téléphone on s'écrit mais c’est plus la même histoire
J’regrette nos samedis soirs
C’est la vraie vie, la pure réalité
Les copines, les études estompent les amitiés
J’marche seul sur un sentier abrupt
J’suis une armure vide, c’est donc ça la vie d’adulte
C’est dur c’que le temps passe vite
Y’a ceux qui fument pour le ralentir
J’pleure mais j’suis pas si triste
J’suis un boxeur mais j’suis pacifiste
On veut un futur bien à huiler, une voiture stylée
Prêt à tout pour l’obtenir même à dealer
On est un bon ton plein de rêves qui poussent mais très peu d’entre nous
traverserons le filet
J’repense à mes colères qu’il faudrait que je gère
Le feu et l'éclair, je veux un peu d’air
J’veux taire les problèmes aux fonds d’mes poches
Pourtant mes colères font du mal à mes proches
J’respire, j’repense à cette fille qui m’a dit: «Hé l’artiste t’as la belle vie
espèce de pauv' type»
En la regardant, j’ai vu qu’elle était ivre
En fouillant dans ses yeux, j’ai su qu’elle était triste
Et j’y repense toutes les nuits
Plusieurs musiques mais on danse qu’une seule vie
Et c’est souvent dans le plus grand des silences, que tout est dit
Au max de moi même, lève les bras, bouge la tête et je t’emmène
On ira pagayer dans la tempête
Ceux qui parlent, ceux qui se plaignent, on les emmerde
Quand j’kick c’est comme si j’racontais des trucs sales devant le psy
Mon p’tit, sache que j’anticipe ce qui s’cache, sois attentif
Prend le temps de vivre une vie sage
T’as compris «Ohlala!
Il parle encore de rap celui-là!»
Si c’est des buildings j’arriverais comme Godzilla
J’fous le fire et tu seras pas de taille, mec
Quand Biggie, Biggie, Biggie fait les Mics Checks
J’pense à ceux qui dorment par terre
Le matin qui s’lève sans confiture sur les tartines
Et les filles, qui entre deux verres
Perdent leur innocence dans le coin d’un parking
L’amour, t’es où?
Tu nous manques ici bas
Fais-le, pour nous, pour les gens qui se battent
On laissera pas la haine dominer
Ces menteurs veulent nous embobiner
Ils veulent nous faire avaler des couleuvres
Leur oeuvre, c’est d'&lifier nos douleurs
Ils veulent qu’on s’oppose
Névrose, qu’on explose
Moi je viens de la ville rose
Obligé d’aimer les couleurs
On est jamais contents de c’qu’on a
Crois moi, à peine arrivés à un endroit qu’on pense à déménager
Et les sages le savent
Quand les poissons rêvent de voler, les oiseaux rêvent de nager
Toujours dans mon lit, en tee-shirt et caleçon
J’regarde toujours la fissure sur mon plafond
Dans le noir j’me détends, j’essaye encore
Lundi soir, 5h30, Faudrait que j’m’endorme
Faudrait que j’m’endorme
Faudrait que j’m’endorme
Y’a l’aiguille qui tourne
Faudrait que j’m’endorme
J’ai tout essayé, j’ai tout essayé, j’ai tout essayé
Faudrait que j’m’endorme
Oli
Faudrait que j’m’endorme
Ils doivent tous dormir, insomnie j’ai l’habitude
Sud Ouest, ma latitude
Et c’est dans l'écriture, que mes phrases prennent de l'&litude
Ma mère est fière mais rêve que j’fasse de grandes études
Mais j’serai jamais médecin on est d’accord
Il me reste quoi de l'école?
Des blagues et la table de Pythagore
J’ai beau être sur les ondes, plaquer des accords
Je sauverai jamais le monde avec des métaphores
C’est dingue, faut que je dorme mais j’me questionne
Peur d'être dans la norme, j’voulais être un grand homme
Le rap sens pèse des tonnes, des fois j’vois leurs fantômes
J’fixe mon téléphone, j’attends l’appel de personne
Tu sais, moi j’attends mon heure
Et j’ai mis mon cœur sur répondeur
Tu trouveras derrière les lignes de mes phrases
Sinon laisse un message
J’regarde ma vieille peluche pleine de poussière
Sur la table, au milieu d’mes affaires
Et j’la compare à ma peur car j’m’y suis habitué
Mais ça fait longtemps que j’aurais dû m’en défaire
Si j’m’en sépare, j’ferai bien l’deuil
Elle est là, entouré de plein d’feuilles
J’la regarde et je me sens un brin seul
L’impression qu’elle me fait un clin d'œil
Je revois le visage de ce type que j’ai croisé dans la gare
Il avait mon âge, ça fait mal quand j’y pense
Il a dit «J'm'endors dehors tous les soirs»
Sous la couette, j’ai honte d’avoir répondu «Bonne chance»
Cette ville, un film d’action
Effractions, agressions, on entend ça d’puis minots
Ma voisine a la même vie qu’Al Pacino
Elle prend des pilules et perd son fric au casino
Tous ces choix qui nous séparent
Il faut se battre quand on s'égare
Ce putain de poids devant le miroir
J’me revois seul à l'écart
J’gratte quand il est tard
J’pense qu’au rap depuis le départ
Moi j’ai la poisse, si j’touche du bois c’est pour ramasser les échardes
Une sirène d’ambulance s’est glissée sous ma fenêtre
La main sur le cœur, j’ai trop peur qu’il s’arrête
Enfant du divorce, à force on se dit
Que l’amour c’est comme le loto
Ça n’arrive qu’aux autres
5h du mat et les secondes resserrent l'étaux
Encore une fois j’m'étais promis d’me coucher tôt
Et j’ai des flashs de mon zénith
Ils n’y voient que du feu, j’aperçois le phénix
Au fait poto là-haut c’est comment?
Paraît que dans ce biz, la cocaïne prend les commandes
Paraît qu’tu flippes, paraît qu’t’es triste, affolant
Que tu regrette ce que t’as dit, pas étonnant
Une villa sur la mer, pour ma mère
C’est pas la mer à boire, j’veux plus voir ses cernes dans la brume
J'écris tard le soir, dans mon laboratoire
J’veux finir ma vie au soleil, j’demande pas la lune
20 ans, j’ai pas vu le temps passer
Y’a ces regrets que j’peux pas remplacer
À chaque fois les souvenirs s’entassent
Le coussin dans les bras, j’m’imagine l’enlacer
Oli, solide, l’autiste, fier
L’ovni, du cro-mi, solitaire
Il est tard je sais, les gens vont bientôt au taf
Mais j’reste là dans les bras d’Morphée
Alors j’respire, j’temporise
J’m’imagine dans les cieux
J’fais comme un perfectionniste face à la Tour de Pise
J’ferme les yeux
Faudrait que j’m’endorme
Faudrait que j’m’endorme
Faudrait que j’m’endorme
J’attends l’marchand d’sommeil
Bigflo &Oli tu connais, non?
Deuxième album on l’a fait, fréro
Merci à ceux qui soutiennent
A notre ville et ailleurs
Big Up Big Up
A notre ville et ailleurs
La Vraie Vie Partie I
Quoi?
La suite c’est… Chut
Derniers mots du deuxième album
Toujours avec mon frère!
(traducción)
si si, esta bien
Solo en mi cama miro la grieta en mi techo
Se estira para convertirse en un signo de interrogación
Miro la pintura descolorida
no puedo dormir empiezo a pensar
Pienso en mis amigos que abandonan nuestra ciudad
Sube a París porque ese es el futuro
Por teléfono nos escribimos pero ya no es la misma historia
Lamento nuestras tardes de sábado
Esta es la vida real, pura realidad.
Novias, estudios desdibujan amistades
Camino solo por un camino empinado
Soy una armadura vacía, así que esta es la vida adulta.
Es difícil cómo pasa el tiempo
Hay quien fuma para bajarle el ritmo
lloro pero no estoy tan triste
Soy boxeador pero soy pacifista
Queremos un futuro bien al petróleo, un coche con estilo
Listo para hacer cualquier cosa para llevarlo incluso al distribuidor
Somos un buen tono lleno de sueños que crecen pero muy pocos de nosotros
cruzará la red
Pienso en mi ira que tendría que manejar
Fuego y relámpagos, quiero un poco de aire
Quiero mantener los problemas en el fondo de mis bolsillos en silencio.
Sin embargo, mi ira lastima a mis seres queridos
Respiro, pienso en esta chica que me dijo: "Oye artista, que tengas una buena vida
tu pobre tipo"
Mirándola vi que estaba borracha
Mirándola a los ojos, supe que estaba triste.
Y lo pienso todas las noches
Muchas canciones pero solo bailamos una vida
Y es a menudo en el mayor de los silencios que todo se dice
Al máximo de mí, levanta los brazos, mueve la cabeza y te llevo
Iremos a remar en la tormenta
A los que hablan, a los que se quejan, los jodemos
Cuando pateo es como si estuviera diciendo cosas sucias frente al psiquiatra.
Hijita mía, sabe que me anticipo a lo que está oculto, sé atenta
Tómese el tiempo para vivir una vida sabia
Entendiste “¡Ohlala!
¡Todavía está hablando de rapear ese!"
Si son edificios llegaré como Godzilla
Disparo y no serás rival, hombre
Cuando Biggie, Biggie, Biggie hace las comprobaciones de micrófonos
Pienso en los que duermen en el suelo
La mañana que se levanta sin mermelada en la tostada
Y las chicas, que entre dos tragos
Pierden su inocencia en la esquina de un estacionamiento
¿Amor, dónde estás?
Te extrañamos aquí abajo
Hazlo, por nosotros, por la gente que lucha
No dejaremos que el odio gobierne
Estos mentirosos quieren embaucarnos
Quieren hacernos tragar serpientes
Su trabajo es elevar nuestros dolores
Quieren que nos opongamos
Neurosis, que explotamos
vengo de la ciudad rosa
Tiene que gustar los colores
Nunca estamos contentos con lo que tenemos.
Créeme, acabamos de llegar a un lugar al que pensamos mudarnos
Y los sabios lo saben
Cuando los peces sueñan con volar, los pájaros sueñan con nadar
Todavía en mi cama, en camiseta y boxers
Todavía estoy mirando la grieta en mi techo
En la oscuridad me relajo, lo intento de nuevo
Lunes por la noche, 5:30 a.m., debería quedarme dormido
debería quedarme dormido
debería quedarme dormido
Ahí está la aguja que gira
debería quedarme dormido
Lo intenté todo, lo intenté todo, lo intenté todo.
debería quedarme dormido
oli
debería quedarme dormido
Todos deben estar durmiendo, el insomnio al que estoy acostumbrado
Sudoeste, mi latitud
Y es en la escritura donde mis frases adquieren &litud
Mi madre está orgullosa pero sueña que haga grandes estudios.
Pero nunca seré médico, estamos de acuerdo.
¿Qué queda de la escuela?
Las bromas y la tabla de Pitágoras
Puedo estar en las ondas de radio, tocar acordes
Nunca salvaré el mundo con metáforas.
Es una locura, tengo que dormir pero me pregunto
Miedo de estar en la norma, quería ser un gran hombre
El rap sensual pesa toneladas, a veces veo sus fantasmas
Miro mi teléfono, estoy esperando que alguien llame
Sabes que estoy esperando mi momento
Y puse mi corazón en el contestador automático
Encontrarás detrás de las líneas de mis frases
De lo contrario, deje un mensaje
miro mi viejo peluche lleno de polvo
Sobre la mesa, en medio de mis cosas
Y lo comparo con mi miedo porque me acostumbré
Pero debería haberme deshecho de él hace mucho tiempo.
Si me despido, me irá bien en el luto.
Ella está allí, rodeada de muchas hojas.
La miro y me siento un poco solo
Siento que me está guiñando un ojo
Veo la cara de ese tipo con el que me crucé en la estación de tren.
El tenia mi edad, me duele cuando lo pienso
Él dijo: "Me quedo dormido afuera todas las noches"
Debajo del edredón, me da vergüenza haber dicho "Buena suerte"
This Town, una película de acción
Robos, asaltos, escuchamos eso de entonces, niños
Mi vecino tiene la misma vida que Al Pacino
Toma pastillas y pierde su dinero en el casino.
Todas estas elecciones que nos separan
Tienes que pelear cuando te pierdes
Ese maldito peso frente al espejo
Me veo de nuevo solo lejos
Me rasco cuando es tarde
Solo pienso en el rap desde el principio.
Yo tengo mala suerte, si toco madera es para recoger las astillas
Una sirena de ambulancia se deslizó debajo de mi ventana
Mano en mi corazón, tengo demasiado miedo de que se detenga
Hijo del divorcio, nos decimos
Que el amor es como la lotería
solo le pasa a los demas
5 a.m. y los segundos van apretando los vicios
Una vez más me había prometido acostarme temprano.
Y tengo destellos de mi cenit
Todo lo que ven es fuego, yo veo el fénix
Por cierto, hermano, ¿cómo está?
Parece que en este negocio, la cocaína se está apoderando
Parece que te estás volviendo loco, parece que estás triste, enloquecedor
Que te arrepientas de lo que dijiste, no me extraña
Una villa en el mar, para mi madre
No es mar para beber, ya no quiero ver sus ojeras en la bruma
Escribo tarde en la noche en mi laboratorio.
Quiero terminar mi vida en el sol, no pido la luna
20 años, no he visto pasar el tiempo
Hay estos arrepentimientos que no puedo reemplazar
Cada vez que los recuerdos se acumulan
El cojín en mis brazos, me imagino abrazándolo
Oli, sólido, autista, orgulloso
OVNI, cro-mi, solitario
Es tarde lo sé, la gente va a trabajar pronto.
Pero me quedo ahí en los brazos de Morfeo
Así que respiro, contemporizo
Me imagino en los cielos
Actúo como un perfeccionista frente a la Torre de Pisa
cierro mis ojos
debería quedarme dormido
debería quedarme dormido
debería quedarme dormido
Estoy esperando al mercader dormido
Bigflo &Oli lo sabes, ¿verdad?
Segundo álbum lo hicimos hermano
Gracias a los que apoyan
A nuestra ciudad y a otros lugares
A lo grande A lo grande
A nuestra ciudad y a otros lugares
Vida Real Parte I
¿Qué?
El siguiente es... Silencio
Últimas palabras del segundo álbum.
Siempre con mi hermano!
Calificación de traducción: 5/5 | Votos: 1

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