
Fecha de emisión: 02.11.2017
Restricciones de edad: 18+
Etiqueta de registro: Polydor France
Idioma de la canción: Francés
La vraie vie(original) |
L'âme est saturée, j’ai carburé pour m’assurer de… |
Non, y a trop de gens qui comptent sur nous |
(ok) |
Premiers mots du deuxième album, toujours avec mon frère |
On était venu en paix, et on revient en guerre |
On a touché le ciel, cette fois on touche le soleil |
On a ouvert nos cœurs, donc ouvre grand tes oreilles |
J’ai croisé des démons, avec leurs belles toisons |
Ils voulaient prendre mon talent, le transformer en poison |
J’ai dit «non», alors ils ont reculé |
Puis j’ai rappé un texte et la lumière, les a brûlés |
L’amour que j’ai pour mon frère est toujours vainqueur |
Même la mort ne pourrait le stopper |
Car s’il meurt, je l’aurai toujours dans mon cœur |
Et il me tardera de partir pour le rejoindre, de l’autre côté |
Dans ce milieu j’ai été très déçu, j’te l’dis tout d’suite |
Comme la fois où Orelsan nous a refusé l’feat |
Pourtant il sait combien on l’aime |
Allez, sans rancune, mais un peu quand même |
Alors j’ai écrit, jusqu'à en être mort le soir |
Pour que mon rappeur préféré un jour s’en morde les doigts |
J’ai, enfilé ma blouse pour me protéger d’la bouse |
Au fait, j’représente toujours Toulouse |
Le rap français est choqué, il pensait pas nous trouver là |
On m'écoute en Suisse, en Belgique, à la Réunion, à Nouméa |
J’fais le plus bel art, j’rentre dans le nexus |
J’tire dans le plexus, j’suis l’nec plus ultra |
J’investis à long termes |
J’arrache le cœur des adversaires pour les donner comme offrande à mon frère |
On s’en cogne des commentaires |
J’te jure que par rapport à celui-là, notre premier album c’est d’la merde |
Du rap, j’en ai bouffé, j’te jure j’ai tout fait |
Quand les chiffres sont sortis j’ai cru qu’ces fils de putes allaient s'étouffer |
Non je sais j’vous taquine |
J’vois l’reflet de la fierté d’mes proches dans mon disque de platine |
Donc, lève ton V en l’air, si t’es visionnaire |
Le jour où on sera milliardaire, vous serez tous millionnaires |
Toujours là pour nous aider |
Génération j’achète l’album mais j’ai même pas de quoi écouter l’CD |
Mais y’a encore de l’espoir, c’est ça qu’ils veulent prouver |
Mes fans, c’est ma famille, c’est ma force j’veux les couver |
Ils nous ont soutenu, quand on était au plus bas |
Pourtant je sais qu’un jour, ils seront plus là |
Eh oui bandit, les p’tits ont grandi |
Maintenant on a d’la barbe on est plus si gentils |
On va durer, peu importe les barrières |
On a acheté des pelles, pour enterrer vos carrières |
Eh les mecs, arrêtez d’vous battre et d’comparer vos muscles |
Arrêtez un peu d'être fiers d'être qu’une bande d’incultes |
Et les filles, vous êtes pas qu’une paire de seins et un cul |
Arrêtez de danser sur des musiques qui vous insultent, et… |
C’est inévitable |
Comment je te kicke ça |
C’est inimitable |
C’est du véritable son, oui, oui, il m’est vital |
Jusqu'à la victoire |
Ce n’est pas qu’une passion, non |
Comme un match amical, soutien médical; |
J’suis en méditation |
Je navigue dans la nuit, je débite, je dévie; |
pas d’invitation |
Dans ma case j’encaisse et j’entasse des tout petits bouts d’rimes |
Pas en face, j’déteste, j’efface toutes leurs filouteries |
Toujours pas de chaîne en or autour du cou, pourtant… j’pourrais acheter la |
bijouterie |
Petit tu t'écartes, avec tes gars tu vas à l'écart |
Ne joue pas au poker avec moi dans ma manche j’ai toutes les cartes |
Faut qu’tu t'écales, regarde: |
Sous tes pieds j’ai mis du C4 |
On s’croise un de ces quatre t’es pas cap' de kicker comme je kicke ouais t’es |
insacquable |
Bigflo et Oli toujours insécables, pas comme le KitKat |
On débite, on évade, on fait le spectacle |
On prend du biff, tu prends des baffes; |
appelle un psychiatre |
Mais dire mon flow mes rimes sont trop crédibles, toujours impeccables |
C’est pour cette mère qui galère avec son crédit |
Pour ce petit qui ne veut pas de l’avenir qu’on lui prédit |
Pour ceux qui ont perdu leur taf, qui se sentent écartés |
Pour les enfants dans les hôpitaux, qui rêvent de s'échapper |
Cet album c’est pour ces «au-revoir», ces «je t’aime» qu’on a pas dit |
Pour toutes les fois où on a pas pu remplir le caddie |
Pour nos amis, nos familles, nos amours et nos morts |
Mais surtout pour ceux qui y croient encore |
Bientôt j’arrête, bientôt j’reviens au pays |
J’en ai marre de les voir se vanter, médire |
Bientôt je les enlève, bientôt j’retire le treillis |
Bientôt j’retourne à la vraie vie |
Ha, ha, ha, ha |
La vraie vie hein? |
Ha, ha, ha, ha |
J’me revois au fond de la salle, la basse qui déforme le torse |
Le crépitement des flashs, la foule qui ressent l’effort |
On y a mis les tripes, on est presque devenu tarés |
J’entends la voix d’mon frère qui m’dit: «Défonce tout si un jour j’arrête» |
Des milliers d’têtes, des salles complètes de Marseille à Verdun |
Dans ce tourbillon j’ai pas eu l’temps de pleurer la mort de certains! |
Quand je m’amuse, j’culpabilise |
Un fou me gueule dans ma tête il m’dit qu’le disque ne se fera pas tout seul |
Putain de système scolaire, j’gobe plus leurs histoires |
Ils m’ont tellement traité de faible que j’ai failli y croire |
Tu t’rends compte? |
Moi, l’petit joufflu de l'école de la rue du Taur |
J’devenais le plus jeune rappeur d’Europe à être disque d’or |
Peur de devenir un connard, de faire partie de ces pitres |
Tu sais ces stars qui se plaignent pour des photos et nous voient comme des |
chiffres |
J’ai refusé des chèque parce que j’avais la flemme |
Dans mes textes, je disais: «Aime ta mère» et j’faisais pleurer la mienne |
Mais quel con j'étais quand j’y pense |
J’pensais qu'à mes belles baskets, j’voulais faire partie de la deuxième France |
Pas les sous pour une canette, j’en étais presque fou |
Et je m’imaginais que les riches étaient bien plus heureux que nous |
J’m'étais trompé, j’ai fait le tour de la France et de la question |
J’ai vu des p’tits plein d’rêves et des gamines en manque d’affection |
Faut que j’pète le score ouais faire de la thune c’est tentant |
J’sais pas si j’aurai un tube, j’arrive pas à faire semblant |
Mes proches essaient d’me préparer au pire |
Bienveillants ils m’disent: «Le rap ça dure pas toute une vie, une carrière |
c’est rapide» |
Quand ils sont en studio, ils ont le regard vide |
Ils savent tous que si ça marche pas, moi j’me suicide ! |
Je veux rire à m’en déchirer les abdos |
Brûler nos complexes et nos vielles pulsions d’ados |
J’te compte masquer nos peurs derrière des insultes sans mentir |
Assumer ses pleurs, parait qu’c’est ça grandir |
T’imagines la gueule de ma mère si l’album floppe? |
Imagine le silence et la honte devant tous mes potes |
Imagine moi sans l’rap avec mon crâne, mes bras ballants |
Imagine si j’vous avais pas, hein? |
Si j’avais pas d’talent |
À 3 ans des tuyaux dans l’nez j’ai dit non au cimetière |
La faucheuse m’a dit: «J'te laisse une chance si tu casses tout avec ton frère» |
J’ai signé l’contrat, avant de partir en roue libre |
Mais je stresse, je sais qu’elle m’attend en coulisse |
Mon cher hip-hop, t’es décevant |
Ils sortent un album tous les six mois, je sors un classique tous les deux ans |
Et j’ai une équipe en or, hardcore |
Si tu m’enlèves mon cœur, moi j’respire encore |
J'évacue mes fractures et chacune de mes ratures |
Mature faut que j’assure, quand mes lacunes saturent |
J’vise la lune et j'évacue mes peurs |
L'écriture de ma plume comme armure |
J’rappe avec le cœur, j’fais pas ça pour m’acheter une voiture |
J’ai croisé ceux dans la galère qui m’auraient tout donné |
Dîné avec des millionnaires qui m’ont même pas payé l’café |
Que mon frère et que la chance m’accompagne |
J’vous ferai signe, si on arrive en haut de la montagne |
De l’autre côté du miroir, j’voulais devenir quelqu’un |
On a cru en notre histoire, on a forcé l’destin |
J’ai failli m’perdre dans l’superficiel et l’paraître |
Et j’ai pris l’temps d'écouter, d’regarder par la fenêtre |
Cet album c’est pour le petit, qui s’ennuie en bas des tours |
C’est pour ces vieux en manque d’amour, qui comptent les jours |
Pour les passionnés, les p’tits rappeurs de ma ville |
Pour mon meilleur pote qui a peur, qui sait pas quoi faire de sa vie |
C’est pour les pas sur du tout, bouffés par le doute |
Pour les timides, qui font demi-tour avant un rendez-vous |
C’est pour les pas musclés, les complexés qui vivent quand même |
Ceux qui ont jamais pris l’avion mais veulent la villa sur la mer |
J’te promets pas les grands discours qu’on aime entendre |
Moi j’ai pas d’mensonges ou de rêves à te vendre |
Pas d’retouches, pas de paillettes pour être précis |
Moi, j’te rappe juste, la vraie vie |
(traducción) |
El alma está saturada, he alimentado para asegurarme... |
No, hay demasiada gente que cuenta con nosotros. |
(OK) |
Primeras palabras del segundo disco, aún con mi hermano |
Vinimos en paz y volvemos en guerra |
Tocamos el cielo, esta vez tocamos el sol |
Abrimos nuestros corazones, así que abre tus oídos |
Conocí demonios, con sus bellos vellones |
Quisieron tomar mi talento, convertirlo en veneno |
Dije 'no' así que retrocedieron |
Luego golpeé una línea y la luz, los quemé |
El amor que le tengo a mi hermano siempre sale victorioso |
Ni la muerte pudo detenerlo |
Porque si muere, siempre lo tendré en mi corazón. |
Y estaré deseando irme para unirme a él en el otro lado |
En este ambiente me decepcionó mucho, te lo digo enseguida |
Como la vez que Orelsan nos negó la hazaña |
Sin embargo, él sabe cuánto lo amamos. |
Vamos, sin resentimientos, pero un poco de todos modos |
Así escribí, hasta que morí por la noche. |
Para que mi rapero favorito algún día se muerda los dedos |
Yo, me puse la blusa para protegerme del estiércol |
Por cierto, sigo representando a Toulouse |
El rap francés está conmocionado, no pensó que nos encontraría allí. |
La gente me escucha en Suiza, Bélgica, Reunión, Numea |
Hago el arte más hermoso, entro en el nexo |
Disparo en el plexo, soy lo máximo |
Invierto a largo plazo |
Arranco los corazones de los oponentes para dárselos como ofrenda a mi hermano. |
No nos importan los comentarios. |
Te juro que comparado con este nuestro primer disco es una mierda |
Rap, me lo comí, te juro que hice todo |
Cuando salieron los números pensé que estos hijos de puta se atragantarían |
No, sé que te estoy tomando el pelo |
Veo el reflejo del orgullo de mis seres queridos en mi disco de platino |
Así que levanta tu V en el aire, si eres un visionario |
El día que seamos multimillonarios, todos seréis millonarios |
Siempre ahí para ayudarnos |
Generación compro el disco pero no tengo ni que escuchar el CD |
Pero todavía hay esperanza, eso es lo que quieren probar |
Mis fans, es mi familia, es mi fuerza, quiero cubrirlos |
Nos respaldaron, cuando estábamos abajo |
Sin embargo, sé que un día no estarán allí |
Sí bandido, los pequeños han crecido |
Ahora tenemos barbas, ya no somos tan agradables. |
Vamos a durar, sin importar las barreras |
Compramos palas, para enterrar sus carreras |
Hola chicos, dejen de pelear y comparar sus músculos. |
Deja de estar orgulloso de ser un montón de sin educación |
Y chicas, no sois solo un par de tetas y un culo |
Deja de bailar con música que te insulta, y... |
Es inevitable |
como te pateo |
es inimitable |
Es sonido real, sí, sí, es vital para mí. |
hasta la victoria |
No es solo una pasión, no |
Como un apoyo médico amistoso; |
estoy en meditacion |
navego en la noche, traqueteo, me desvío; |
Sin invitación |
En mi caja colecciono y amontono pedacitos de rima |
No de frente, odio, borro todos sus trucos |
Sin embargo, todavía no tengo cadena de oro alrededor de mi cuello... Podría comprar el |
joyería |
Chico te desvías, con tus chicos te desvías |
No juegues al póquer conmigo bajo la manga. Tengo todas las cartas. |
Tienes que alejarte, mira: |
Bajo tus pies pongo C4 |
Nos encontramos con uno de estos cuatro que no eres capaz de patear como yo pateo, sí lo eres |
inexpugnable |
Bigflo y Oli siempre irrompibles, no como el KitKat |
Debitamos, escapamos, montamos el show |
Tomamos biff, tomas bofetadas; |
llamar a un psiquiatra |
Pero di mi flujo, mis rimas son demasiado creíbles, siempre impecables |
Es para esta madre que lucha con su crédito |
Para este niño que no quiere el futuro que se le pronostica |
Para aquellos que perdieron su trabajo, que se sienten excluidos |
Para los niños en los hospitales, que sueñan con escapar |
Este disco es para esos "adios", esos "te quiero" que no dijimos |
Por todas las veces que no pudimos llenar el carrito |
Por nuestros amigos, nuestras familias, nuestros amores y nuestros muertos |
Pero especialmente para aquellos que todavía creen |
Pronto me detengo, pronto vuelvo a casa |
Estoy cansado de verlos presumir, chismear |
Pronto me los quitaré, pronto me quitaré el uniforme |
Pronto volveré a la vida real. |
Ja-ja-ja-ja-ja |
la vida real eh? |
Ja-ja-ja-ja-ja |
Me veo al fondo de la sala, el bajo que deforma el torso |
El crepitar de los destellos, la multitud sintiendo la tensión |
Le metimos las tripas, casi nos volvemos locos |
Escucho la voz de mi hermano que me dice: "Aplasta todo si un día paro" |
Miles de cabezas, salas llenas de Marsella a Verdun |
¡En este torbellino no tuve tiempo de llorar la muerte de algunos! |
Cuando me divierto me siento culpable |
Un loco me grita en la cabeza, me dice que el disco no se va a hacer solo |
Maldito sistema escolar, ya no compro sus historias |
Me llamaron tan débil que casi lo creí |
¿Te das cuenta? |
Yo, el gordito de la escuela de la rue du Taur |
Me convertí en el rapero más joven de Europa en ser disco de oro. |
Miedo de convertirme en un pendejo, de ser uno de esos payasos |
Ya conoces a esas estrellas que se quejan por las fotos y nos ven como |
cifras |
Rechacé los cheques porque era flojo |
En mis textos decía "Ama a tu madre" y hacía llorar a la mía |
Pero que idiota fui cuando lo pienso |
Pensé que mis hermosas zapatillas, quería ser parte de la segunda Francia. |
No es el dinero para una lata, estaba casi loco |
Y pensé que los ricos eran mucho más felices que nosotros |
Me equivoqué, di la vuelta a Francia y la pregunta |
He visto niños llenos de sueños y niños necesitados de afecto |
Tengo que romper el puntaje, sí, ganar dinero es tentador |
No sé si tendré un tubo, no puedo fingir |
Mis seres queridos tratan de prepararme para lo peor |
Benevolente me dicen: "El rap no dura toda la vida, una carrera |
es rápido" |
Cuando están en el estudio miran fijamente |
¡Todos saben que si no funciona, me mato! |
Quiero reírme hasta que se rompan mis abdominales |
Quemando nuestros complejos y nuestros viejos impulsos adolescentes |
Pretendo esconder nuestros miedos tras insultos sin mentir |
Hazte cargo de tus lágrimas, parece que eso es lo que es crecer |
¿Te imaginas la cara de mi madre si el álbum fracasara? |
Imagina el silencio y la vergüenza frente a todos mis amigos. |
Imagíname sin rap con mi cráneo, mis brazos colgando |
Imagínate si no te tuviera a ti, ¿eh? |
Si no tuviera talento |
A los 3 años, pipas en la nariz, le dije no al cementerio |
El ángel de la muerte me dijo: "Te daré una oportunidad si rompes todo con tu hermano" |
Firmé el contrato, antes de marcharme libre |
Pero insisto, sé que ella me está esperando en el backstage |
Mi querido hip-hop, eres decepcionante |
Ellos sacan un disco cada seis meses, yo saco un clásico cada dos años |
Y tengo un equipo de oro, duro |
Si me quitas el corazón, todavía estoy respirando |
Evacuo mis huesos rotos y cada una de mis borraduras |
Maduro tengo que asegurar, cuando mis carencias saturan |
Apunto a la luna y evacuo mis miedos |
Escribiendo mi pluma como armadura |
Rapeo con el corazón, no hago esto para comprarme un auto |
Conocí a aquellos en problemas que me darían todo |
Cené con millonarios que ni siquiera pagaron mi café |
Que mi hermano y la suerte me acompañen |
Te avisaré si llegamos a la cima de la montaña. |
Del otro lado del espejo, quería convertirme en alguien. |
Creímos en nuestra historia, forzamos el destino |
Casi me pierdo en lo superficial y lo aparente |
Y me tomé el tiempo de escuchar, de mirar por la ventana |
Este album es para el peque, que se aburre al pie de las torres |
Es para esos viejos hambrientos de amor, contando los días |
Para los entusiastas, los pequeños raperos de mi ciudad |
Para mi mejor amigo que tiene miedo, que no sabe que hacer con su vida |
Esto es para los que no están seguros, comidos por la duda. |
Para los tímidos, que dan la vuelta antes de una cita |
Es para los no musculosos, los acomplejados que aún viven |
Los que nunca han volado pero quieren la villa sobre el mar |
No te prometo los grandes discursos que nos gusta escuchar |
No tengo mentiras ni sueños para venderte |
Sin retoques, sin brillo para ser precisos. |
Yo, solo te rapeo, la vida real |
Nombre | Año |
---|---|
Tu Es ft. Bigflo & Oli | 2020 |
Plus tard | 2018 |
Libre ft. Bon Entendeur, Edouard Baer | 2020 |
Demain ft. Petit Biscuit | 2018 |
Coup de Blues / Soleil ft. Bon Entendeur | 2020 |
Dommage | 2017 |
L'hymne de nos campagnes 2019 ft. Zaz, L.E.J, Claudio Capéo | 2020 |
Sur la lune | 2018 |
Bienvenue chez moi | 2018 |
Rendez-vous là-haut | 2018 |
Alors alors | 2017 |
C'est que du rap ft. Black M, Soprano | 2018 |
La vie normale | 2017 |
Mytho | 2017 |
Promesses | 2018 |
Je suis | 2017 |
Pour un pote ft. Jean DUJARDIN | 2017 |
Moments ft. Bigflo & Oli | 2021 |
Papa ft. Fabian Ordonez | 2017 |
Gangsta | 2016 |