| Au bord de l’envie tu ressens
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| Le doute l’espoir a chaque instant
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| Perdus au fond de tes pensees
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| Tu vas finir par te trouver
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| Le reflet de la glace devient flou
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| La barre du trac te pends au cou
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| Et la douceur de l’esprit
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| Te donnes le souffle de vie
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| Tu Prends tout cet amour qui te portes
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| Tes doigts se croisent pour faire en sorte
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| Que tes faiblesses deviennent poussiere
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| Que tu oublies de te faire la guerre
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| Tu Prends tout cet amour qui t’emportes
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| Tes mains se croisent pour faire en sorte
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| Que tes prieres caressent le rideau noire
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| Que tes yeux s’ouvrent car c’est ton soir
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| Et puis tu avances le long du couloir
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| Au milieu des regards
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| Derriere ton visages tu caches les failles
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| Et le teint blafard
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| Tu ramasses la moindre etincelles
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| De ceux qui te soutiennent
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| Le reflet de la glace devient flou
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| La bar du trac te prends au cou
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| Et la douceur de l’esprit
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| Te donnes le souffle de vie
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| Tu Prends tout cet amour qui te portes
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| Tes doigts se croisent pour faire en sorte
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| Que tes faiblesses deviennent poussiere
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| Que tu oublies de te faire la guerre
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| Tu Prends tout cette amour qui te portes
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| Tes mains se croisent pour en faire en sorte
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| que tes prieres caressent le rideau noire
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| Que tes yeux s’ouvrent car c’est ton soir
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| C’est ton soir
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| Tu Prends tout cet amour qui t’emportes
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| Tes doigts se croisent et vont faire en sorte
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| que tes faiblesses deviennent poussieres
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| Il est bien loin le temps de la guerre
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| Tu Prends tout cet amour qui t’emportes
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| Vers des milliers de reves peu importe
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| Quand tes prieres caressent le rideau noire
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| Que tes yeux s’ouvrent car
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| C’est ton soir |