Traducción de la letra de la canción Le surveillant général - Michel Sardou
Información de la canción En esta página puedes leer la letra de la canción Le surveillant général de - Michel Sardou. Canción del álbum L'album de sa vie 100 titres, en el género Эстрада Fecha de lanzamiento: 17.10.2019 sello discográfico: Mercury Idioma de la canción: Francés
Le surveillant général
(original)
En ce temps-là
Monsieur le surveillant des classes secondaires
Etait un peu efféminé
En ce temps-là
Je lisais «Le Grand Meaulnes»
Et après les lumières
Je me faisais plaisir
Je me faisais dormir
Je m’inventais un monde
Rempli de femmes aux cheveux roux
J’ai dit de femmes pas de jeunes filles
Cette année-là
Je n’oublierai jamais le regard de vipère
Que m’avait lancé ce vieux rat
Cette année-là
J’avais posé les yeux sur la croupe incendiaire
De ma professeur de droit
Elle avait mis le feu en moi
J’avais avalé la lumière
J’aurais aimé la terre entière
Seulement les femmes pas les jeunes filles
Pauvre de moi
Monsieur le surveillant des classes secondaires
Passait ses nuits à espionner
Pauvre de moi
Du couloir des secondes au dortoir des premières
Comment les jeunes étaient couchés
Bien sur le dos les bras croisés
Sur la couverture de laine
Des fois qu’on aurait des idées
Pauvre taré pauvre Chimène
C’est pourtant là
Que durant des années j’ai rêvé d’adultère
Que je n’ai jamais consommé
Et que chaque nuit je tiens dans mes bras
Une femme trop fière
Qui se refuse à me donner
Un peu plus que le nécessaire
Parce que j’hésite à la défaire
De son carcan de préjugés
Parce que je n’ai pas la manière
J’ai presque envie de lui confier
Qu’en ce temps là
J’avais un surveillant des classes secondaires
Mais ça la ferait rigoler
(traducción)
En aquellos tiempos
Sr. Superintendente de Clases Secundarias
era un poco de niña
En aquellos tiempos
Estaba leyendo "Le Grand Meaulnes"
Y después de las luces
me estaba divirtiendo
me puse a dormir
estaba inventando un mundo
Lleno de mujeres pelirrojas
dije mujeres no jovencitas
Este año
Nunca olvidaré la mirada de víbora.
¿Qué me tiró esa vieja rata?
Este año
Había puesto mis ojos en la grupa incendiaria
De mi profesor de derecho
ella me había prendido fuego
me habia tragado la luz
deseo toda la tierra
Solo mujeres, no niñas
Ay de mí
Sr. Superintendente de Clases Secundarias
Pasó sus noches espiando
Ay de mí
Del pasillo de los segundos al dormitorio de los primeros