| Tu sais je claque des dents toute la nuit
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| Et je vole au dessus de l’océan, sombre comme la tombe où
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| Repose notre amour
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| Ceci est mon corps et mon sang
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| Te souviens-tu qu’on avait un rencard?
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| Te souviens-tu me voir oublier?
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| Mais je ne t’en veux pas, non… Si, non
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| Enfin si… Je t’en veux un peu quand même
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| Putain ce que j’suis crevé
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| Putain j’peux même plus m’endormir, à laisser passer les
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| Taxis vides
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| Les mêmes p’tits trous, mêmes journaux, mais la machine
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| Tourne à vide
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| 7h du matin sur les boulevards, j’voulais juste les mêmes
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| Choses que tout le monde
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| Et le temps est dégueulasse, et notre amour boit la tasse
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| Et je tourne toute la journée, et toi tu sais pas comment
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| Entrer
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| Et je tourne toute la journée, sous les ponts, noyé dans
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| L’alcool
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| Toi que j’ai connu vivante comme une folle
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| Dépression n°7, chérie mais la vie nous met en miettes
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| Et je claque des dents, devant tout ce verre brisé
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| Poésie jetée par les fenêtres, et le génie qui se
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| Débraguette
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| Dépression n°7, au moins je t’aurais laissé que des
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| Lettres
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| Et je tourne toute la journée, et toi tu sais pas comment
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| Entrer
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| Et je tourne toute la journée, sous les ponts, noyé dans
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| L’alcool
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| Toi que j’t’ai connu vivante comme une folle
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| Je suis pas Roméo, mais toi t’es pas Juliette
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| Tes cents sales rumeurs feront bis dans ma tête
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| Chérie, et dépression n°7
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| Chérie, c’est pas là que ça s’arrête, chérie |