| Tel un Jack Sparrow, je remonte mes manches
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| J’assure pas, j’assure plus, sans mon verre sur la planche
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| Tel un Jack de trop, du dimanche au dimanche
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| J’assume pas, non j’assume plus, je ne suis plus étanche
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| C’est pas la mer à boire tu sais, juste un peu d’eau salée
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| Sous l’eau, et saoulé, sur mon îlot isolé
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| J’ai des idées noires tu sais, une mouche dans un verre de lait
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| Même si je perds la mémoire, je bois pour oublier
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| Et j’entends les sirènes, résonner au loin
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| Elles vont, elles viennent, chercher les marins
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| Et j’entends les sirènes, dans la tempête au loin
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| Avec la vie qu’je mène, elles viendront pour moi demain
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| Tel un Jack Sparrow, je remonte mes marches
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| Je les servais les mecs comme moi tu sais, dans ma chemise blanche
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| À trinquer un peu trop, perroquet sur la planche
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| Mon rein à couler comme un radeau qui prend l’eau, et qui flanche
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| C’est pas la mer à boire tu sais, juste un peu d’eau salée
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| Sous l’eau, et saoulé, sur mon îlot isolé
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| J’ai des idées noires tu sais, une mouche dans un verre de lait
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| Même si je perds la mémoire, je bois pour oublier
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| Et j’entends les sirènes, résonner au loin
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| Elles vont, elles viennent, chercher les marins
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| Et j’entends les sirènes, dans la tempête au loin
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| Avec la vie qu’je mène, elles viendront pour moi demain
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| J’entends les sirènes, j’ai plongé profond
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| Ma tristesse est comme la mer, elle n’a pas de fond
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| Tel un Jack Sparrow, je rabaisse mes manches |