| On dit des mots qu’on ne pense pas
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| À trop crier on reste sans voix
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| La vie nous sépare, le temps ne répare pas
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| Les cœurs en éclats, les cœurs en éclats
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| On s’fait du mal parfois sans l’vouloir
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| On s’retrouve seul dans un long couloir
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| On prie pour remonter le temps
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| Juste une seconde avant de détruire tout espoir
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| Ce soir, ma solitude et moi, on parle que de toi
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| On attend tous les deux que tu reviennes
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| Quand il n’y a que tes yeux qui me retiennent
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| Ce soir, ma solitude et moi
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| C’est fou comme on a froid
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| J’me nourris de silences, et tout me pèse
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| Je sauve les apparences mais rien n’m’apaise
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| Quand les sanglots ont tué la joie
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| Quand on s’est pardonnés trop de fois
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| On rêve, on s’dessine un présent
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| Un peu plus beau qu’avant
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| Pour aller vivre où l’amour est roi
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| Ce soir, ma solitude et moi, on parle que de toi
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| On attend tous les deux que tu reviennes
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| Quand il n’y a que tes yeux qui me retiennent
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| Ce soir, ma solitude et moi
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| C’est fou comme on a froid
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| J’me nourris de silences, et tout me pèse
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| Je sauve les apparences mais rien n’m’apaise
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| Ce n’est pas ta main dans mes cheveux
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| C’est juste le vent capricieux
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| Qui souffle sur nos souvenirs
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| Et qui me vole à ton sourire
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| Ce n’est pas toi derrière la porte
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| C’est juste le vent qui t’emporte
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| Le silence ne sait pas mentir
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| Ce soir, ma solitude et moi, on parle que de toi
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| On attend tous les deux que tu reviennes
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| Quand il n’y a que tes yeux qui me retiennent
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| Ce soir, ma solitude et moi
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| C’est fou comme on a froid
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| J’me nourris de silences, et tout me pèse
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| Je sauve les apparences mais rien n’m’apaise |