Información de la canción En esta página puedes encontrar la letra de la canción Histoire vraie, artista - Sinik. canción del álbum Malsain, en el genero Иностранный рэп и хип-хоп
Fecha de emisión: 16.02.2009
Restricciones de edad: 18+
Etiqueta de registro: Six-0-Nine
Idioma de la canción: Francés
Histoire vraie(original) |
Ce soir c’est comme toujours, c’est dans la té-c' qu’on est coincés frère |
Puisqu’on a que ça à faire faut faire un puisqu’on sait l’faire |
On tape trois caisses, c’est déjà assez puisqu’on est trois seulement |
Un soir galère alors on roule histoire de passer le temps |
C’est vrai que c’est drôle à part pour les moteurs qu’on fait hurler |
Mais nique sa mère, c’est pas nos caisses donc on les fera brûler |
Je suis pas une pute, il faut que je rentre puisque le chemin ça use |
Avant de finir l’essence, on prête les caisses il faut que chacun s’amuse |
C’est vrai que c’est louche, on gare les trois Fiesta dans la cité |
On fume et on rigole mais ce qu’on sait pas c’est qu’on est déjà pistés |
Il est déjà tard, putain c’est vrai qu’on voit pas le temps passer |
Le shit ça rend aveugle, on a même pas vu les keufs s’entasser |
J’aime pas les 'teurs, pourtant ce soir je crois pas qu’ils sont drôles |
Et puisqu’on les a vu, chacun pour soi, chacun dans son hall |
Tout le monde se cache, ça fait une heure et on sort tous d’un coup |
Si y’en a un qui saute on ira tous puisqu’on est tous sin-cou |
Ce soir c’est aud-ch, même si c’est mal c’est comme ça qu’on se comporte |
En plus nous on est 15, eux ils sont deux et ils embarquent mon pote |
On est partant pour ces pédés qui sortent je sais pas d’où |
Sa mère c’est un carnage, y’a des patates qui partent de partout |
Chacun se disperse, mais moi j’ai pas fini puisque je m’entête |
Faut que je brûle ma caisse, même si y’a plus de 100 keufs à moins de 100 mètres |
Donc j’ai pas le temps, je laisse ma voiture au bord du trottoir |
Je peux rien y faire, je sais que c’est grave mais il est trop tard |
C’est une histoire vraie, une histoire vraie |
Le lendemain je ti-sor avec la violence de la veille en tête |
Faut plus que je traîne, pas le temps de se venter mec je suis wanted |
Aucun respect, je te jure la té-c' est pleine de teur-inspec |
Je me rends direct, puisqu’ils sont là pour moi autant rester |
Je les accompagne, dans la panique mes gars restent à l’affût |
Je peux plus rien faire à cet instant je me trouve en garde-à-vue |
Tout d’suite ça change, si je dis un mot je sais que dans ce cas on me shoot |
Menottes serrées comme si mes mains c'était du caoutchouc |
Un jour plus tard, ça fait déjà trois fois qu’ils m’interrogent |
J’vois qu’ils s'énervent, moi je rigole comme si tout était rose |
Bientôt deux jours, c’est vrai que la suite je la connais par cœ ur |
Y’aura ce bâtard de juge, moi tout ce tralala j’en ai pas peur |
Enfin ils me sortent, pour moi y’a pas grand-chose à espérer |
Je suis sale mais bon, pas le temps de le dire puisque je suis déféré |
Tout le monde se place, c’est plus le moment de se faire remarquer |
10 heures tapante, et ces tards-bâ me conduisent au parquet |
C’est une histoire vraie, une histoire vraie |
Ça fait trois heures que je suis là et j’attends seul que les juges prennent |
leurs places |
Putain de dépôt, là où tous les voyous écrivent leurs blases |
J’ai que cinq minutes pour voir mon avocat commis d’office |
En trois heures j’ai écrit «Sinik nique la police» |
J’espère plus rien, en fait j’ai qu’une envie c’est m’endormir |
Quoi qu’il arrive, quand je sortirai j’essaierai encore pire |
Je rentre dans la salle, je vois que mes potes sont venus me soutenir |
Merci même si on se parle plus je devais de m’en souvenir |
Bâtard de juge, en fait plus il parle et plus je m’en fous |
Il me dit «je crois que même votre mère ne croit plus en vous» |
J’aime plus grand-chose pourtant y’a des gens qui me sont très chers |
Je suis hébergé mais pas eu de chance c'était aux Bergères |
Je sais qu’ils veulent me foutre en cage comme si j'étais féroce |
Comme si j’avais une préférence pour le préfet de Corse |
Tout le monde se lève, ça se voit déjà qu’ils vont être formels |
Ils veulent m’enfermer pour que je ne puisse plus faire de mal |
Faut qu’on les blesse très grave même si au fond ça crée des tensions |
Je suis jamais détendu ma vie c’est pire que la détention |
Faut qu’on les blesse très grave même si au fond ça crée des tensions |
Je suis jamais détendu ma vie c’est pire que la détention |
C’est une histoire vraie, une histoire vraie |
Putain ça y est j’y suis, ça fait déjà longtemps que je parle plus |
J’ai le moral mort et depuis peu j’suis devenu barbu |
Système de chien, à cet instant je suis au bout de l’hameçon |
J’attends plus rien à part des t-shirts et des caleçons |
Je reçois que dalle, je refuse de croire que mes potes n’ont pas de liasses |
Les jours s’entassent comme toutes ces lettres envoyées par Diam’s |
Toujours pareil, il m'écrivent tous qu’il faut pas s’en faire |
Mais nique sa mère, la taule c’est barbelés et barres de fer |
L’endroit est triste, on dirait que tout est fait pour m'écœurer |
Aucune ambiance, des fois la nuit j’entends des mecs pleurer |
J’ai plus le sommeil, c’est tellement difficile d’aller se coucher |
La taule c’est sale, y’en a qui se cachent avant d’aller se doucher |
C’est quoi cette vie? |
Faut que je reste droit parce que je suis je suis pas |
chez moi |
Putain de maton, y’en a certain ils ont le même âge que moi |
Pas grave cousin, faut encaisser, apprendre à prendre sur soi |
C’est presque rien, je suis mal du matin jusqu'à 11 du soir |
Je vois pas de sortie, j’y pense peu parce que ce sera plus tard |
Dehors ça pue, y’a police partout mais justice nulle part |
J’ai plus la pêche, je ramasse des feuilles même si j’ai plus de textes |
Je préfère prier plutôt que d’cramer mon crâne au Subutex |
Tout ça c’est loin, quand on y pense on se dit un jour peut-être |
Encore heureux que le samedi à minuit c’est jour de fête |
Pour moi c’est clair, c’est pas si peu qui m’a servi de leçon |
Vivement que je sorte, que je vois mes potes et que je reprenne vite le son |
(traducción) |
Esta noche es como siempre, es en el tee que estamos atrapados hermano |
Como solo tenemos que hacer eso, tenemos que hacer uno ya que sabemos cómo hacerlo. |
Golpeamos tres cajas, eso es suficiente ya que solo somos tres |
Problemas de una noche, así que conducimos para pasar el tiempo |
Es cierto que es gracioso excepto por los motores que hacemos aullar |
Pero al diablo con su madre, no son nuestras cajas, así que las quemaremos |
No soy puta, tengo que irme a casa porque el camino lo desgasta |
Antes de terminar el gas, prestamos las cajas que todos tienen para divertirse |
Es verdad que es sospechoso, aparcamos las tres Fiestas en la ciudad |
Fumamos y nos reímos pero lo que no sabemos es que ya nos están rastreando |
Ya es tarde carajo es cierto que no vemos pasar el tiempo |
El hachís te ciega, ni siquiera hemos visto a los policías amontonarse |
No me gustan, pero esta noche no creo que sean divertidos. |
Y como los vimos, cada uno por su lado, cada uno en su salón |
Todos se esconden, ha pasado una hora y salimos todos a la vez |
Si hay uno que salta vamos todos ya que todos somos pecado-cou |
Esta noche es aud-ch, incluso si es malo, así es como nos comportamos |
Además somos 15, ellos son dos y shipean a mi amigo |
Nos espera que salgan estos maricas, no sé dónde |
Su madre es una carnicería, hay papas que salen por todos lados |
Todos se dispersan, pero no he terminado porque soy terco. |
Tengo que quemar mi auto, aunque haya más de 100 policías a 100 metros |
Así que no tengo tiempo, dejo mi auto en la acera |
No hay nada que pueda hacer al respecto, sé que es malo, pero es demasiado tarde |
Es una historia real, una historia real. |
Al día siguiente salgo con la violencia del día anterior en mente |
Necesito más de lo que paso el rato, no hay tiempo para presumir, hombre, me buscan |
Sin respeto, lo juro, está lleno de tor-inspec |
Voy directo, porque ellos aquí por mí bien podrían quedarse |
Los acompaño, en pánico mis muchachos se mantienen al pendiente |
no puedo hacer nada en este momento estoy bajo custodia |
Inmediatamente cambia, si digo una palabra sé que en este caso me dispararán. |
Esposas apretadas como si mis manos fueran de goma |
Un día después, ya me han interrogado tres veces. |
Veo que se enojan, me río como si todo fuera color de rosa |
Casi dos días, es cierto que el resto me lo sé de memoria |
Habrá este juez bastardo, yo todas estas cosas no tengo miedo |
Por fin me sacan, para mi no hay mucho que esperar |
Estoy sucio pero bueno, no hay tiempo para decirlo ya que estoy referido |
Todos tomen asiento, es más tiempo para hacerse notar |
Son las 10 en punto, y estas trasnochadas me llevan al suelo |
Es una historia real, una historia real. |
He estado aquí durante tres horas y estoy solo esperando a que los jueces tomen |
sus asientos |
Maldito depósito, donde todos los matones escriben sus blases |
Solo tengo cinco minutos para ver a mi abogado de oficio |
En tres horas escribí "Sinik que se joda la policía" |
No espero nada, de hecho solo quiero quedarme dormido |
No importa qué, cuando salga lo intentaré incluso peor |
Entro en la habitación, veo que mis amigos han venido a apoyarme. |
Gracias aunque hablemos mas tenia que recordar |
Juez bastardo, de hecho cuanto más habla más me da igual |
Él dice: "Creo que ya ni tu madre cree en ti" |
No amo mucho, pero hay personas que son muy queridas para mí. |
Estoy alojado pero no tuve suerte de que fuera en Bergères. |
Sé que quieren enjaularme como si fuera feroz |
Como si tuviera preferencia por el prefecto de Córcega |
Levántense todos, ya se ve que van a ser formales |
Quieren encerrarme para que no pueda hacer más daño |
Tenemos que lastimarlos muy seriamente aunque en el fondo genere tensión. |
Nunca he relajado mi vida es peor que la detención |
Tenemos que lastimarlos muy seriamente aunque en el fondo genere tensión. |
Nunca he relajado mi vida es peor que la detención |
Es una historia real, una historia real. |
Maldita sea, eso es todo, estoy aquí, he estado hablando mucho tiempo ya |
Mi moral está muerta y recientemente me puse barbudo. |
Sistema de perros, ahora mismo estoy enganchado |
No espero nada más que camisetas y calzoncillos |
No entiendo una mierda, me niego a creer que mis amigos no tienen paquetes |
Los días se acumulan como todas estas cartas enviadas por Diam's |
Siempre lo mismo, todos me escriben que no te preocupes |
Pero al diablo con su madre, la prisión es alambre de púas y barras de hierro. |
El lugar es triste, parece que todo está hecho para enfermarme. |
Sin vibra, a veces por la noche escucho llorar a los niggas |
Ya no tengo sueño, es tan difícil ir a la cama |
La carcel esta sucia, hay algunos que se esconden antes de ir a bañarse |
¿Qué es esta vida? |
Tengo que permanecer recto porque yo no soy |
en mi casa |
Guardia de mierda, hay algunos que tienen la misma edad que yo |
No es gran cosa primo, tienes que cobrar, aprende a asumirlo tú mismo |
Es casi nada, estoy enfermo desde la mañana hasta las 11 de la noche |
No le veo salida, le pienso poco porque será después |
Afuera apesta, hay policías por todas partes pero justicia en ninguna |
Estoy más pescando, recojo hojas aunque tenga más textos |
Prefiero rezar que quemarme el cráneo con Subutex |
Todo esto está muy lejos, cuando piensas en ello te dices a ti mismo un día tal vez |
Todavía feliz de que el sábado a la medianoche sea un día de celebración. |
Para mí está claro, no es tan poco lo que me enseñó una lección |
No puedo esperar a que salga, vea a mis amigos y vuelva al sonido rápidamente. |