| Y’a tous ces rêves que je veux vivre éveillé
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| J’ai 24 heures pour essayer
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| Demain seront-ils balayés?
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| Y’a ces histoires que je veux vous raconter
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| Y’a toutes ces peurs que je veux dompter
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| Avant de rire à leur santé
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| Ton corps loge dans l’horloge de mes pensées
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| Je vois les aiguilles danser
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| Que le temps s’arrête, que le temps s’arrête
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| J’veux traverser le monde en long, en large, en travers
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| Explorer mes années jusqu'à ce qu’elles deviennent lumière
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| Sans jamais voir faner ni les roses, ni les prières
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| Que le temps s’arrête, que le temps s’arrête
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| J’veux traverser la vie quitte à marcher de travers
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| La chance est de sortie, ce soir elle te paie un verre
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| Et si apprécie, on trinque même à nos hivers
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| Y’a toutes mes peaux par des flashs traversés
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| Ces mélodies que j’ai versé
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| Y’a toutes ces larmes qui m’ont bercé
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| J’ai marché sur tant de fils barbelés
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| Entre deux mondes écartelés
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| À mesure que tu m’appelais
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| Ton corps loge dans l’horloge d’une vie passée
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| Avant qu’on soit dépassés
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| Que le temps s’arrête, que le temps s’arrête
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| J’veux traverser le monde en long, en large, en travers
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| Explorer mes années jusqu'à ce qu’elles deviennent lumière
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| Sans jamais voir faner ni les roses, ni les prières
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| Que le temps s’arrête, que le temps s’arrête
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| J’veux traverser la vie quitte à marcher de travers
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| La chance est de sortie, ce soir elle te paie un verre
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| Et si apprécie, on trinque même à nos hivers
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| Une pente qui nous plante le long des heures éreintées
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| On s’attire, on se tente dans des décors qui mentent
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| Si on court, si on court, on finira éreintés
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| Que le temps s’arrête, que le temps s’arrête
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| J’veux traverser le monde en long, en large, en travers
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| Explorer mes années jusqu'à ce qu’elles deviennent lumière
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| Sans jamais voir faner ni les roses, ni les prières
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| Que le temps s’arrête, que le temps s’arrête
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| J’veux traverser la vie quitte à marcher de travers
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| La chance est de sortie, ce soir elle te paie un verre
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| Et si apprécie, on trinque même à nos hivers |