| Hmm, hmm-hmm-hmm, hmm-hmm-hmm, hmm-hmm-hmm | 
| Hmm, hmm-hmm-hmm, hmm-hmm-hmm, hmm-hmm-hmm | 
| J’ai cru apercevoir ton ombre à travers de la vitre, dehors | 
| Éperdument grisée je renonce à mon libre arbitre, encore | 
| Alors que le monde entier crie «Qui s’y frotte s’y pique», je dors, je dors | 
| Je trinque à notre vieille idylle qui fera les gros titres, demain à l’aurore | 
| Il est tard, il est tard | 
| Mais j’espère encore tu m’aimes, juste pour ce soir | 
| Il est tard, il est tard | 
| Mais je voudrais que pour deux minutes | 
| Tu me reprennes dans ton histoire, dans ton histoire | 
| Dans ton histoire | 
| J’ai cru respirer ton odeur, je l’avais désiré si fort | 
| Dans cet endroit hanté par toi, des images, je les dévore | 
| Alors que toutes les liqueurs éclaboussent les quais, je sors, je sors | 
| Mais j’ai cru apercevoir tes silhouettes se glisser dans mon angle mort | 
| Il est tard, il est tard | 
| Mais j’espère encore tu m’aimes, juste pour ce soir | 
| Il est tard, il est tard | 
| Mais je voudrais que pour deux minutes | 
| Tu me reprennes dans ton histoire, dans ton histoire | 
| Il est tard, il est tard | 
| Mais j’espère encore tu m’aimes, juste pour ce soir | 
| Il est tard, il est tard | 
| Mais je voudrais que pour deux minutes | 
| Tu me reprennes dans ton histoire, dans ton histoire | 
| Il est tard, il est tard | 
| J’espère encore que tu m’aimes | 
| J’espère encore que tu m’aimes | 
| J’espère encore que tu m’aimes | 
| Que tu m’aimes, que tu m’aimes | 
| Que tu m’aimes, que tu m’aimes | 
| Que tu m’aimes, que tu m’aimes |