Traducción de la letra de la canción La Famille - Jeanne Cherhal
Información de la canción En esta página puedes leer la letra de la canción La Famille de - Jeanne Cherhal. Canción del álbum Jeanne Cherhal, en el género Поп Fecha de lanzamiento: 15.04.2002 sello discográfico: tot Ou tard, VF Musiques Idioma de la canción: Francés
La Famille
(original)
Je suis né j'étais marmot
Déjà au bord du berceau ça piaffait à tout-va
Ce gosse ne ressemble à rien
A personne d’entre nous qui peut dire d’où il vient
Ah que n’ai-je donc pas glissé
Des mains du chirurgien
Qui m’a sorti comme un chien
Comme le dernier d’une portée
Mais y a la famille, et la famille, ça vous envahit
C’est comme ça que j’ai eu dix ans
Je me suis tu en rêvant mais les rêves d’un gosse
Chez nous c'était mal venu
Soit t’es un dur et c’est bien soit le frangin te rosse
Ah que n’ai-je donc pas brûlé
Le cocon familial
Son plafond aux poutres sales
Qu' j’ai tant voulu voir tomber
Mais y a la famille, et la famille, ça anéantit
D' la gnôle au p’tit déjeuner
Alors vint la puberté qui n' me fit pas de cadeau
J’ai voulu être poète
Mais les seuls vers de chez nous se récitaient cul sec
Ah que n’ai-je donc pas pillé
La cave de mes vieux
Le pinard de leurs aïeux
Bien plus que moi adoré
Mais y a la famille, et la famille, ça vous crucifie
Après-demain je vais crever
D’une mort programmée d’un beau suicide en sorte
Et quand mon glas va sonner
Je m’en irai les regarder de l’autre côté de la porte
Ah que n’ai-je donc pas crié
Du temps où bien vivant
J’aurais pu à bout portant
Leur gueuler que la famille
C’est elle qui m’a tué
(traducción)
nací yo era un mocoso
Ya al borde de la cuna andaba dando cabriolas
Este niño no parece nada
A ninguno de nosotros que pueda decir de dónde viene
ay que no me he resbalado
De las manos del cirujano
¿Quién me sacó como un perro?
Como el último de una camada
Pero hay familia, y familia, se apodera de ti
Así es como conseguí diez
He estado soñando pero los sueños de un niño
Con nosotros fue malo
O eres duro y eso está bien o el hermano te golpea
ay que no queme
El capullo familiar
Su techo con vigas sucias
Que tanto deseaba ver caer
Pero hay familia, y familia, destruye
De la bebida al desayuno
Luego vino la pubertad que no me hizo ningún favor
yo queria ser poeta
Pero los únicos versos de casa fueron recitados de abajo hacia arriba