| Ma tête est un volcan, mon cœur est un iceberg
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| Que ma mère pourrait faire fondre avec une seule de ses larmes
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| Avec une seule de ses larmes
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| J’ai rappé ma life, ils m’ont dit que c'était de l’art
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| Ils veulent pas qu’on avance parce qu’ils savent qu’on les baise
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| Parce qu’ils savent qu’on les baise
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| J’leur ai vendu la mort, ils m’ont vendu du rêve
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| La faiblesse des hommes restera toujours les femmes
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| On cueille toujours les roses même en sachant qu’elles fanent
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| J’suis paranoïaque, j’fais des pics dans la rue mais j’me méfie des fans
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| J’ai gagné du terrain, j’ai perdu des frères
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| J’vais finir enterré pour tout ce que j’ai fait
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| Ça tire dans la mêlée sans compter les corps
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| Et tu passes à la télé le jour de ta mort
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| Cendrillon commence le chiffre avant minuit
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| Laisse pas trainer ta fille la nuit
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| Son portefeuille est plein, mais son regard est vide
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| Elle pop une pilule, elle rentre dans la matrice
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| Bonhomme Pendu 2, mon public est magique
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| Ils vont bientôt m’lâcher mais j’en ai rien a foutre
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| Mais j’en ai rien a foutre, on va monter en flèche et redescendre comme la
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| foudre
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| C’est la guerre entre, nous on a grandi ensemble
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| Notre amitié a fini en cendres
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| J’ai tiré dans le noir pour mieux voir où j’allais
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| J’me méfie des vivants, j’me méfie des morts
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| L’homme est tellement mauvais, qu’ils ont tué Jésus et qu’ils le tueraient
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| encore
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| J’leur ai donné du juice, ils sont devenus mes ennemis
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| J’fais du cob mais j’dors mal, crois pas que j’mène la belle vie
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| Le vécu, les paroles, le micro, la mélodie
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| Ils sont tellement attardés qu’ils m’prennent pour un érudit
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| J’leur ai donné du juice, ils sont devenus mes ennemis
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| J’fais du cob mais j’dors mal, crois pas que j’mène la belle vie
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| Le vécu, les paroles, le micro, la mélodie
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| Ils sont tellement attardés qu’ils m’prennent pour un érudit
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| J’leur ai donné du juice, ils sont devenus mes ennemis
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| J’fais du cob mais j’dors mal, crois pas que j’mène la belle vie
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| Le vécu, les paroles, le micro, la mélodie
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| Ils sont tellement attardés qu’ils m’prennent pour un érudit |