Información de la canción En esta página puedes encontrar la letra de la canción Chronique D'un Tueur, artista - Roméo Elvis. canción del álbum Famille Nombreuse, en el genero Рэп и хип-хоп
Fecha de emisión: 05.12.2014
Restricciones de edad: 18+
Etiqueta de registro: Back in the Dayz
Idioma de la canción: Francés
Chronique D'un Tueur |
Téléphone en main, j’attends le signal |
Garé dans la rue depuis quelques minutes |
La victime se prénomme Alexandre |
Et porte un pull large, un bob pourri |
Des basket de crevard pour gosse de riche |
Hein, soudain le GSM se réveille, SMS pour Elvis: |
«Éradique Alex et rapplique à la daar» |
J’ai pas mis ma veste en cuir par pur hasard |
Le sang s’efface plus facilement de mes manches tachetées |
Pouf, le bruit du silencieux se camoufle dans la foule |
Et touche Alex, en prend pleine figure |
Boum, le corps atterrit sur le béton |
Laissant tous les passant sur cette question: |
«Est-ce un assassinat, un AVC, une rupture d’anévrisme ?» |
Je cultive les brûlures et les risques |
Le pneu crisse et le moteur tourne, bye bye |
Prend le ring de toute vitesse |
Anonyme, impoli, sur la rue, je destroy |
Laisse passer l’excellent prince de la mort pour des pesos |
Conscience dans boite à gant, argent dans la tête |
Je te pète pour une poignée de biftons |
Même si les rondes des poulets se font nombreuses |
J’arpente en silence dans la pénombre et les milieux de Bruxellas |
Argent dans la tête, je te pète pour une poignée de biftons |
Même si les rondes des poulets se font nombreuses |
J’arpente en silence dans la pénombre et les milieux de Bruxellas |
Cette fois c’est compliqué, j’ai merdé, c’est grave |
J’ai laissé des traces sur le pistolet |
Les flics arrivent en ribambelle au squat |
Pour faire péter la porte, boum, coup de bélier |
Mais ma horde à disparu, elle se disperse dans la flore |
Charles Manson, Richard Ramirez et Boston Bomber |
J'évalue des corps pour dresser des stats |
Loveur de la mort des autres, je me fais la malle |
Lorsque la police et les gendarmes se confondent |
Cagoulé, je ne dégomme que du beau monde |
Tire sur les leaders, détruis les growbox qui font pousser la weed |
Le crime s’achète pour quelques billets |
Conscience dans boite à gant, argent dans la tête |
Je te pète pour une poignée de biftons |
Même si les rondes des poulets se font nombreuses |
J’arpente en silence dans la pénombre et les milieux de Bruxellas |
Argent dans la tête, je te pète pour une poignée de biftons |
Même si les rondes des poulets se font nombreuses |
J’arpente en silence dans la pénombre et les milieux de Bruxellas |
Toc, toc, toc laisse moi entrer |
J’ai de mauvaises nouvelles à t’annoncer |
Assassinat sordide, à sa sortie de prison le sort tombe sur Samy |
Balle dans la tête et coup de canif |
Contournant sa silhouette avec le bout d’une craie |
Le policier m’annonce que Samy croulait sous les dettes |
J’arrive à temps, fait tes valises, on trace |
La mort de Samy n’a pas suffit, ah, c’est dégueulasse |
Et c’est comme ça que ça se passe dans les allées sombres |
Et mon ombre me fout les boules et j’alerte les condés |
C’est comme ça que ça se passe dans les allées sombres |
Mon ombre me fout les boules et j’alerte les condés |
Et toc, toc, toc, tu ne réponds plus |
Et toc, toc, toc, tu ne réponds plus |
Le sang se répand sur le sol comme une tache de peinture |
Et les odeurs parlent, ça s’est certain |
Un corps mort gît sur le sol depuis longtemps |
J’ai alerté les ambulances, pas de panique amigo |
En manque d’hémoglobine |
Mon pote suffoque à ses propres conneries |
Du-per depuis longtemps, d’une traite je bois le rhum |
Et le vice traîne dans mes idées noires |
Elvis est triste, Romeo le console |
Mais l’ulcère me perce et me fait du mal |
Attaque sournoise, 'vec des tas d’obstinés |
J’irai tirer sur les fils de pute |
Mitrailler les gosses de riches |
Et téléphone en main j’attends le signal |
Et téléphone en main j’attends le signal… |
Elvis Roméo |