| J’ai avalé la bouteille de rhum jamaïcain
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| Oui, tu m’auras vraiment fait chier jusqu'à la fin
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| C’est si facile de comprendre, maintenant que je sais
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| J’ai été con de ne pas voir que tu me trompais
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| J’ai réussi à creuver les pneus de ta voiture
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| Hé oui, hé oui, je sais, quelques fois la vie est dure
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| J’ai volé l’argent que tu cachais sous le sommier
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| Tu sauras où il est, pas besoin de le chercher
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| J’ai pissé sur le lit en souvenir de ces moments
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| Qu’on a passé à s’aimer comme des cons, tendrement
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| J’ai parlé à ta mère, elle regrette de t’avoir eu
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| Elle a porté une merde, c’est bien fait pour son gros cul
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| J’ai envoyé un mot aux amis qui nous connaissent
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| Pour leur annoncer que tu préférais d’autres fesses
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| Ton grand ami Mathieu, je te conseille de l’appeler
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| C’est fait, maintenant il sait pour toi et sa bien-aimée
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| Je pense à cet enfant, celui qu’on désirait tant
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| Je lui souhaite de mourir, où qu’il soit dans le néant
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| J’ai peut-être trop bu, l’alcool pour moi est si doux
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| Dans quelques heures j’aurai peut-être la corde au cou
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| Je vais foutre le feu à notre beau nid d’amour
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| J’espère que les voisins trouveront le chien dans la cour
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| Tu m’as détruit, tu es le plus beau des grands salauds
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| Je rêve du jour où tu seras laid, vieux et gros
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| Mais toi, toi tu t’en fous
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| Mais toi, toi tu t’en fous
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| Mais toi, toi tu t’en fous
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| Mais toi, toi tu t’en fous |