Información de la canción En esta página puedes encontrar la letra de la canción Au cimetière des amours, artista - Saez.
Fecha de emisión: 09.03.2017
Idioma de la canción: Francés
Au cimetière des amours(original) |
Au cimetière des amours, moi j’ai planté ta croix |
Pour recueillir un peu, oui les fleurs d’autrefois |
Et s’il est un jardin qui soit fait de nos cendres |
Comme ils sont des destins qui sont fait pour se pendre |
Au cou d’une moitié au cou d’une colombe |
De ses éternités qui dorment sous les tombes |
Au cimetière des amours, j’y retourne parfois |
Parfois pour y pleurer, pour pisser de joie |
Pour arroser jardin, pour repenser à toi |
Pour caresser ta main, pour pisser sur des croix |
Prendre un bain de soleil et regarder le ciel |
Puis voir les hirondelles rejoindre les tourterelles |
Viennent quelques prénoms quelques bouts de mémoire |
Comme un siècle en chemin vient vous conter l’histoire |
Vient vous conter les cieux de ces cœurs amoureux |
De ces cœurs qui se serrent pour mieux se dire adieu |
Au cimetière des amours, oui je repense à toi |
Puis j’entends les tambours qui font les guerres parfois |
Qui font pleurer les fleurs des jardins de nos vies |
Qui font pleurer mon cœur qui fait tomber la pluie |
Qui fait que les cimetières un beau jour en jardin |
Ressemblent à ces endroits où viennent jouer gamins |
Où se disent amoureux les enfants sacrés |
Oui que jusqu'à la tombe tu seras ma moitié |
Au cimetière des amours, je suis perdu parfois |
À jouer du tambour aux cœurs des filles de joie |
Qui ont perdu leur chemin ou qui passent par là |
Je chante Varsovie mais il n’y a que moi |
Et les fleurs qui se meurent de te savoir partie |
Et les fleurs qui se meurent et chantent Varsovie |
Comme un jardin qui pleure à faire pleurer des croix |
Comme un jardin se meure comme je me meurs de toi |
Au cimetière des amours, on se retrouve un jour |
On se retrouve un jour pour se parler d’amour |
Pour voir passer les heures qui poussent sur les tombes |
Pour regarder les fleurs dessous la pluie qui tombe |
Au cimetière des amours sûr qu’un jour on sera |
Un prénom sur la pierre de ce jardin de croix |
Pour regarder les fleurs je crois bien vu d’en bas |
Venir marier le ciel puis la terre tu vois |
Que me jette la pierre celui qui n’a compris |
Que les amours sous terre ont le cœur infini |
Qui se bat sans un mot qui chuchote au printemps |
Le ruissellement de l’eau quand s'écoule le temps |
Sous la croix moi je crois, moi pourtant qui n’ai cru |
Ici oui que l’amour serait toujours perdu |
Sous la croix moi je crois, que se croise toujours |
Ceux qui ont le cœur qui bat, qui bat comme un tambour |
Aux amoureux perdus, aux amours à la rue |
Aux cœurs qui savent battre, aux cœurs qui savent plus |
Aux yeux dans la tempête, à ces marins perdus |
À nos cœurs, à la fête, à quand on a trop bu |
Aux sanglots déferlants sur mon cœur qui se noie |
Au triste du pleurant, oui quand je pleure de toi |
Aux armes de nos cœurs, aux larmes de nos combats |
À l’ivresse, à la joie de pisser sur des croix |
Au bar de la tristesse, à celle qui m’a pas vu |
À ceux que la vie laisse, aux filles qu’on des vertus |
À ces tristes destins, aux caresses d’un nu |
À la force du poing, aux beautés dévêtues |
À la force des proses, de mon génie de peine |
Au siècle d’amoureux marchant les bords de Seine |
Aux parfums de nos roses ou bien des chrysanthèmes |
Dis-moi quoi de plus beau que se dire que l’on s’aime? |
Au cimetière des amours, oui moi j’entends des voix |
Et le ciel semble sourd à ceux qui vivent là |
Les siècles de poèmes puis les siècles de tendres |
Qui sous les chrysanthèmes n’ont plus cous à se pendre |
Que le coût de la vie, c’est mourir et bien pire |
C’est perdre son amour et garder son empire |
Pour finir à genou, empereur de personne |
Que de ce temps qui passe, puis qui vous abandonne |
Empereur à genou, je suis là sur la terre |
À nourrir de sanglots les fleurs de ce cimetière |
À prier des bons dieux auxquels je ne crois pas |
Oui puisqu’ici de dieu, moi je ne vois que moi |
Dieu de ma solitude, de ma misère humaine |
À ce cœur qui titube, puis qui chante la peine |
Au cimetière des amours, moi je prie des poussières |
De redonner la vie aux enfants de la terre |
Alors, on est tous là au cimetière des amours |
Toi c'était pour Olga, moi c'était pour toujours |
Que je meure à genou devant ces bouts de bois |
Que je meure à genou devant ces bouts de toi |
Dont je me souviens pas, dont je me souviens plus |
Mais dont je sais savoir oui qu’ils se sont perdus |
Dans le fond des mémoires, dans le fond des cimetières |
Dis-moi dessous la tombe qui a gagné la guerre? |
Au cimetière des amours, je suis perdu parfois |
À jouer du tambour aux cœurs des filles de joie |
Qui ont perdu leur chemin ou qui passent par là |
Je chante Varsovie mais il n’y a que moi |
Et les fleurs qui se meurent de te savoir partie |
Et les fleurs qui se meurent et chantent Varsovie |
Comme un jardin de fleurs à faire pleurer des croix |
Comme un jardin qui meure, comme je me meurs de toi |
Au cimetière des amours, oui moi j’entends des voix |
Mais le ciel semble sourd à ceux qui vivent là |
Les siècles de poèmes puis les siècles de tendres |
Qui sous les chrysanthèmes n’ont plus cous à se pendre |
Que le coût de la vie, c’est mourir et bien pire |
C’est perdre son amour mais garder son empire |
Pour finir à genou, empereur de personne |
Que de ce temps qui passe, puis qui vous abandonne |
Au cimetière des amours, moi je repense à toi |
Puis j’entends les tambours qui font les guerres parfois |
Qui font pleurer les fleurs des jardins de nos vies |
Qui font pleurer mon cœur, qui font tomber la pluie |
Sur les ruisseaux de proses de mon génie de peine |
Vont les siècles amoureux marchant les bords de Seine |
Aux parfums de nos roses ou bien des chrysanthèmes |
Dis-moi quoi de plus beau que se dire que l’on s’aime? |
(traducción) |
En el cementerio de los amores planté tu cruz |
Para coleccionar un poco, sí las flores de antaño |
Y si hay un jardín hecho de nuestras cenizas |
Como si fueran destinos que están hechos para colgar |
En el cuello de una media en el cuello de una paloma |
De sus eternidades que duermen bajo las tumbas |
Al cementerio de los amores, vuelvo a veces |
A veces para llorar ahí, para mear de alegría |
Para regar el jardín, para volver a pensar en ti |
Para acariciar tu mano, para mear en cruces |
Tomar el sol y mirar el cielo |
Entonces mira a las golondrinas unirse a las palomas |
Ven algunos nombres algunos pedacitos de memoria |
Como un siglo en el camino viene a contarte la historia |
ven y te cuento los cielos de estos corazones amorosos |
De estos corazones que se aprietan para decir mejor adios |
En el cementerio de los amores, si pienso en ti |
Entonces escucho los tambores que hacen las guerras a veces |
que hacen llorar las flores de los jardines de nuestra vida |
Que hace llorar a mi corazón que hace caer la lluvia |
Quien hace de los cementerios un hermoso dia en el jardin |
Parecen esos lugares donde los niños vienen a jugar |
Donde los niños sagrados se hacen llamar amantes |
Sí que hasta la tumba serás mi mitad |
En el cementerio de los amores, a veces me pierdo |
Tamborileando los corazones de las niñas de la alegría |
Quienes se perdieron o quienes pasan de largo |
Yo canto Varsovia pero solo soy yo |
Y las flores que se mueren por saber que te has ido |
Y las flores que mueren y cantan Varsovia |
Como un jardín que llora por hacer llorar a las cruces |
Como muere un jardín como yo de ti muero |
En el cementerio de los amores nos volvemos a encontrar un día |
Nos encontramos un día para hablar de amor. |
Ver pasar las horas que crecen sobre las tumbas |
Para ver las flores bajo la lluvia que cae |
En el cementerio de los amores seguro que algún día estaremos |
Un nombre en la piedra de este jardín de cruces |
Mirar las flores creo bien vistas desde abajo |
Ven a casarte con el cielo y luego con la tierra que ves |
Tirame la piedra que no entiendo |
Que los amores subterráneos tienen un corazón infinito |
Quien pelea sin una palabra que susurra en la primavera |
El flujo de agua a medida que pasa el tiempo. |
Bajo la cruz creo, pero yo que no creí |
Aquí sí ese amor siempre estaría perdido |
Bajo la cruz creo, que siempre cruza |
Aquellos con un corazón palpitante, palpitando como un tambor |
A los amantes perdidos, a los amores de la calle |
A corazones que saben latir, a corazones que saben más |
A los ojos en la tormenta, a esos marineros perdidos |
A nuestros corazones, a la fiesta, a cuando hemos bebido demasiado |
A los sollozos rompiendo en mi corazón ahogado |
A la tristeza del llanto, si cuando lloro por ti |
A los brazos de nuestro corazón, a las lágrimas de nuestras batallas |
A la borrachera, a la alegría de mear en las cruces |
A la barra de la tristeza, al que no me ha visto |
A los que la vida deja, a las niñas que tienen virtudes |
A estos tristes destinos, a las caricias de un desnudo |
A la fuerza del puño, a las bellezas desnudas |
Por la fuerza de la prosa, de mi genio del dolor |
En el siglo de los enamorados paseando por las orillas del Sena |
Con los aromas de nuestras rosas o crisantemos |
Dime, ¿qué podría ser más hermoso que decir que nos amamos? |
En el cementerio de los amores, sí escucho voces |
Y el cielo parece sordo a los que allí viven |
Los siglos de poemas luego los siglos de ternura |
Quienes bajo los crisantemos no tienen mas cuellos que colgar |
Que el costo de vida se esta muriendo y mucho peor |
Es perder tu amor y mantener tu imperio |
Para terminar de rodillas, emperador de nadie |
Que este tiempo que pasa, luego te abandona |
Emperador de rodillas, estoy aquí en la tierra |
Para alimentar las flores de este cementerio con sollozos |
Rezando a buenos dioses en los que no creo |
si ya que aqui de dios solo me veo a mi |
Dios de mi soledad, de mi miseria humana |
A este corazón que se tambalea, luego canta de dolor |
En el cementerio de los amores rezo polvo |
Para devolver la vida a los hijos de la tierra |
Así que estamos todos aquí en el cementerio de los amores |
Tu eras para Olga, yo era para siempre |
Que muero de rodillas ante estos pedazos de madera |
Que muero de rodillas ante estos pedacitos de ti |
Lo que no recuerdo, lo que ya no recuerdo |
Pero de los que sé saber sí que se perdieron |
En el fondo de los recuerdos, en el fondo de los cementerios |
Dime debajo de la tumba quién ganó la guerra? |
En el cementerio de los amores, a veces me pierdo |
Tamborileando los corazones de las niñas de la alegría |
Quienes se perdieron o quienes pasan de largo |
Yo canto Varsovia pero solo soy yo |
Y las flores que se mueren por saber que te has ido |
Y las flores que mueren y cantan Varsovia |
Como un jardín de flores para hacer llorar a las cruces |
Como un jardín moribundo, como si me estuviera muriendo por ti |
En el cementerio de los amores, sí escucho voces |
Pero el cielo parece sordo a los que allí viven. |
Los siglos de poemas luego los siglos de ternura |
Quienes bajo los crisantemos no tienen mas cuellos que colgar |
Que el costo de vida se esta muriendo y mucho peor |
Es perder tu amor pero mantener tu imperio |
Para terminar de rodillas, emperador de nadie |
Que este tiempo que pasa, luego te abandona |
En el cementerio de los amores pienso en ti |
Entonces escucho los tambores que hacen las guerras a veces |
que hacen llorar las flores de los jardines de nuestra vida |
que hacen llorar a mi corazón, que hacen llover |
En las corrientes de prosa de mi genio trabajador |
Vayan los siglos de amor caminando por las orillas del Sena |
Con los aromas de nuestras rosas o crisantemos |
Dime, ¿qué podría ser más hermoso que decir que nos amamos? |